MOTION DE DENONCIATION DE LA FIDH DU 23 OCTOBRE 2014
SUR SA COMPLICITE AVEC LES GRAVES VIOLATIONS DES DROITS DE L’HOMME
EN CÔTE D’IVOIRE
Nous sommes une fois de plus réunis
ici ce jeudi 23 octobre 2014 devant le siège de la FIDH non pas pour vous
interpeller sur les graves violations des Droits de l’Homme qui se poursuivent
en Côte d’Ivoire comme nous l’avons fait lundi devant Amnesty, mardi auprès de
la Croix Rouge ou encore hier avec la CIMADE, mais pour dénoncer votre
complicité criminelle dans la tragédie ivoirienne.
La Résistance ivoirienne et
panafricaine de France a interpellé la FIDH à de nombreuses reprises sur la
situation alarmante des atteintes aux libertés fondamentales particulièrement
concernant les partisans réels ou supposés de l’ancien Régime en proie à toutes
sortes de tortures physiques et morales depuis l’installation de OUATTARA à la
tête du pays par bombes franco-onusiennes interposées après une décennie de
rébellion armée.
Nous étions sous vos fenêtres le 25
juillet 2012[1] en proie à un
désarroi indescriptible après le nouveau massacre de l’Ouest perpétré à NAHIBLY
5 jours plus tôt[2] par les FRCI/DOZO
de la rébellion institutionnalisée par la Communauté internationale. Nous
parlions déjà de centaines de nouvelles victimes là où vous n’en reconnaissiez
que 13. Plus de 2 ans après ce drame à caractère génocidaire, les enquêtes sont au point mort non seulement
à NAHIBLY, mais à DUEKOUE, ANONKOUA KOUTE et partout où la rébellion armée
commanditée par OUATTARA a ensanglanté le pays depuis 2002 (BLOLEQUIN,
GUITROZON, BANGOLO, BOUAKE, ABOBO, YOPOUGON, KORRHOGO,…). Et ce ne sont pas vos
quelques gesticulations de circonstance et notamment vos 2 récents communiqués
de presse[3]
qui vont nous empêcher de dénoncer la part active que vous prenez dans la falsification
de la jeune Histoire de la Côte d’Ivoire
libre et indépendante qui subit un Régime aussi illégitime que liberticide
depuis le 11 avril 2011. Pire, vous avez cherché à faire croire que vous étiez
particulièrement choqué par le drame de NAHIBLY dont vous avez cependant
volontairement minoré le bilan. Vous vous êtes même constitués partie civile
auprès des victimes de ce drame barbare dont Alex Saint-Joël GNONSIAN. Ce
témoin rescapé de NAHIBLY a pourtant été assassiné par les FRCI dans la nuit du
31 décembre 2013[4] et vous portez une
lourde responsabilité dans son assassinat sauvage que vous n’avez même pas
dénoncé !
Le 16 juin 2014, nous étions encore
devant votre ONG qui n’a plus de non gouvernemental que le nom tant sa
complicité avec les vassaux africains et l’Organisations des Nantis Unis qui
nous dirigent est avérée. Par la voix de votre responsable Afrique Florent
GEEL, vous vous réjouissiez alors que le Président du MIDH, Drissa TRAORE une
des deux organisations avec lesquelles vous envisagez de fusionner –à moins que
ça ne soit déjà fait- ait été élu Vice-Président de la FIDH et porte selon vous
haut les valeurs de Défense des Droits de l’Homme dans le monde et en Côte
d’Ivoire en particulier et Blablabla… Sauf que « votre » Drissa
TRAORE est un partisan avéré de OUATTARA et s’est vu remettre la médaille du
mérite nationale par Henriette DIABATE en présence des responsables de la FIDH[5].
Vous êtes membres de la CFCPI
(Coalition Française pour la Cour Pénale Internationale)[6] et pas seulement
malheureusement pour l’aider à accomplir la noble mission assignée à la CPI sur
le papier qui est de sanctionner les crimes contre l’Humanité, mais visiblement
bien plus pour vous assurer qu’elle veille bien sur la protection des intérêts
occidentaux dont elle est devenue le bras judiciaire. Nous en voulons pour
preuve votre « photo de famille » [7] prise en compagnie
de Fatou BENSOUDA la procureur alibi de la diversité de la CPI
« mandatée » pour ne pas dire « formatée » pour n’instruire
qu’à charge tous les pro-GBAGBO qui seront transférés à LA HAYE au mépris du
droit le plus élémentaire à une Justice équitable.
Nous ne sommes pas venus cette fois
juste pour vous interpeller, ni par ce que manifester dans les rues de Paris,
de France et d’Europe serait notre sport favori. Nous sommes tous des parents occupés
et responsables. Si nous mettons nos obligations familiales et professionnelles
de côté pour venir vous interpeller sous vos fenêtres, c’est pour relayer les
souffrances de celles et ceux au pays qui
continuent de subir les exactions du Régime de Terreur qui s’est abattu sur la
Côte d’ivoire après près d’une décennie de rébellion armée sanguinaire. C’est aussi parce que nous n’avons pas encore
atteint le seuil de colère légitime, de désarroi et de souffrance de certains
de nos vaillants camarades de lutte. Dédicace spéciale à maman Yvette Stanley
PRAGER[8]
qui nous a montré le chemin d’un engagement total et sincère dans la lutte
jusqu’au sacrifice de sa propre vie.
Parce que vous faites partie de ceux qui continuent d’imputer la
responsabilité de la crise postélectorale au Président Laurent GBAGBO sur la
base de la prétendue victoire d’Alassane OUATTARA que vous avez reconnue[9] ;
Parce que vous vous êtes réjoui de son transfèrement-déportation à
la CPI ainsi que de celui du Ministre Charles Blé GOUDE[10]
ou encore que vous appelez à celui de Simone GBAGBO[11]
;
Parce que vous mentionnez la responsabilité de « milices libériennes pro-GBAGBO »
qui auraient ensanglanté la Côte d’Ivoire non seulement pendant la crise
postélectorale mais également après ;
Parce que toutes vos prises de position dans la tragédie
ivoirienne ont contribué et contribuent encore à alimenter les procédures
judiciaires à l’encontre des seuls pro-GBAGBO que nous sommes fiers d’être dans
le sens où nous nous reconnaissons dans les valeurs de respect de la légalité
constitutionnelle et du droit des peuples qu’il incarne ;
Pour
toutes ces raisons et d’autres que nous ne manquerons pas de vous rappeler, vous avez l’impérieuse obligation de fournir
les preuves incontestables sur lesquelles vous vous appuyez pour justifier vos
accusations à l’encontre de Laurent GBAGBO et de tous ceux qui se retrouvent
derrière les barreaux quand ce n’est pas au cimetière pour l’avoir de façon
réelle ou supposée soutenu.
Faute de preuves et de témoignages
réels et corroborés des crimes imputés à l’ancien pouvoir, vous vous fondez sur
la reconnaissance par la « communauté internationale » de la victoire
de OUATTARA aux élections présidentielles de 2010 pour imputer la plupart des
crimes de la crise postélectorale au seul camp GBAGBO. Vous n’êtes pourtant pas
sans savoir que cet adoubement que vous relayez a été fait en violation de la
Constitution ivoirienne mais aussi de toutes les normes juridiques nationales,
régionales et même internationales ! Et ce n’est pas nous qui le disons
car connaissant notre parti pris surabondant, vous aurez raison d’en dénoncer
le caractère partisan, mais c’est Pierre SANE qui n’est autre que l’ancien
Secrétaire Général d’Amnesty[12]. Nous ne
comprenons toujours pas pourquoi d’ailleurs vous qui prétendez appartenir au
camp de la paix n’avez pas défendu la solution pacifique du recomptage des voix
proposée par Laurent GBAGBO pour vider le contentieux postélectoral !
Depuis 2002, les crimes impunis se sont
accumulés faisant des dizaines de milliers de victimes directes sans compter
toutes les victimes collatérales de l’exil, de la dislocation familiale,
engendrées par ce régime sanguinaire qui ne dit pas son nom[13]…
Les graves violations des
droits de l’Homme et la dissuasion par la Terreur de toute velléité de
contestation ne touchent pas seulement l’opposition. Sur les milliers de
prisonniers politiques qui ont été arbitrairement arrêtés et incarcérés,
rappelons-nous qu’il n’y pas seulement des partisans de l’ancien Régime :
Que dire de l’embastillement
de Basile Mahan Gahé[14] ce grand combattant de la
liberté syndicale arrêté pour avoir refusé de suivre le mot d’ordre de grève
lancé par la rébellion armée à laquelle il n’adhérait pas et mort des suites
des sévices subis pendant plus de 18
mois pour avoir exercé son droit le plus inaliénable de faire ou de ne pas
faire grève justement ?
Que dire encore des
souffrances endurées par les centaines de prisonniers politiques souvent
anonymes et pas toujours partisans de l’ancien régime qui croupissent toujours
dans les geôles du Régime[15] ? Ces véritables
boucliers humains et monnaie d’échange du pouvoir sont pourtant présumés
innocents jusqu’à ce que les charges retenues contre eux soient établies tandis
qu’ils subissent toutes sortes de tortures physiques et morales dans des
conditions de détention inhumaines[16] et sans avoir été jugés
depuis plus de 3 ans. « Jugez-nous
ou libérez-nous » clament-ils légitimement à l’occasion de la grève de
la faim illimitée qu’ils s’apprêtent à reprendre incessamment sous peu. Et nous
ne parlons même pas des détenus politiques morts des suites de blessures
volontaires lors de vraies fausses mutineries ou encore faute de soins. Nous avons une pensée spéciale pour Joël PEKOULA prisonnier politique décédé à la MACA après bien
d’autres le 10 novembre 2013 suite à
plusieurs refus de le transférer à l’hôpital.
Mais il n’y a pas qu’en prison que l’assistance médicale
fasse défaut et c’est toute la société civile ivoirienne qui est touchée par
l’incapacité des pouvoirs publics actuels à assurer les soins les plus
élémentaires. Et nous en voulons pour preuve la mort d’Awa FADIGA, belle et
jeune mannequin fauchée en plein vol faute d’avoir pu accéder aux soins
légitimes que son état requérait. On est loin des projets
faramineux, aussi coûteux qu’indécents au regard de la vétusté et de la
pauvreté des moyens consacrés à la santé tel cet hôpital privé de luxe de la fondation Children of
Africa[17] ou encore de l’Assurance
Maladie Universelle[18] prévue par le régime précédent, mais qui n’a jamais
pu vraiment voir le jour pour cause de rébellion meurtrière et de partition du pays.
Pendant qu’Awa FADIGA[19] succombait à ses
blessures faute de soins dans un hôpital bondé et sous-équipé d’ABIDJAN, d’autres se faisaient dorloter dans des
hôpitaux parisiens.
Sur
l’impunité des graves violations des Droits humains qui se poursuivent en Côte
d’Ivoire, on pourrait encore citer le drame du
jeune Joël TIEMOKO assassiné récemment pour avoir seulement satisfait
des besoins naturels sur un site de logements sociaux en construction (ou ne serait-ce par plutôt parce
qu’il était militant du FPI ?). Il y a encore l’assassinat du journaliste Désiré
OUE[20]
le 14 novembre 2013 qui survient après ceux de ses confrères Antoine MASSE en
2004 et Sylvain GAGNETAUD en mai 2011. Son assassinat barbare d’une balle en
plein torse sous les yeux de sa famille ligotée n’a même pas fait l’objet du
moindre début d’enquête en dépit des annonces faites il y a près d’un an pour
calmer les esprits. Alex Saint-Joël GNONSIAN témoin survivant du massacre de
NAHIBLY précité en 2012 après celui de DUEKOUE en 2011[21]
était supposé être protégé par vous la
FIDH ainsi que par l’ONUCI comme nous l’avons déjà rappelé.
Pour
tous ces crimes odieux et gratuits, les assassins parfois identifiés courent
toujours en liberté.
Mais
c’est également dans les cercles proches de l’actuel parti au pouvoir que des
morts suspectes appellent des enquêtes et des expertises indépendantes aux
résultats incontestables pour faire toute la lumière sur les graves événements
qui ont endeuillés la Côte d’Ivoire toutes ses dernières années. Nous pensons
notamment à l’élimination d’IB dont nous sommes loin de mesurer le rôle dans
les crimes impunis du Commando Invisible d’ABOBO de plus de 700 hommes qu’il a
commandés pendant toute la crise postélectorale
(et sans doute bien en amont !). La manifestation de la vérité sur
ses heures sombres de l’Histoire récente de la Côte servirait à n’en pas
douter la vérité sur d’autres tragédies
impunies, comme le massacre d’ANONKOUA KOUTE[22] ou encore les dossiers très médiatisés avec
forts enjeux judiciaires de l’attaque de la RTI du 16 décembre 2010, de la mort
des 7 femmes et du bombardement du marché d’ABOBO[23]
de mars 2011, ainsi que de nombreuses autres affaires non élucidées telle la
disparition d’Yves LAMBLIN, de Stéphane Frantz di RIPPEL et de leurs
collaborateurs au NOVOTEL d’ABIDJAN début avril 2011 après le non moins tragique
et étouffé assassinat du très gbagbophile mais néanmoins très français Philippe
REMOND[24].
Et nous ne vous parlons même pas de l’affaire KIEFFER qui a été largement
instrumentalisée pour faire tomber GBAGBO et dont le juge d’instruction Patrick
RAMAEL a été détaché de la Justice française pour devenir Conseiller de
OUATTARA en charge de la réforme de la Justice[25]. Beau gage
d’indépendance !
Rappelons d’ailleurs sur la
question de l’impunité contre laquelle vous prétendez combattre, la force
Licorne s’est rendue coupable de nombreux crimes largement documentés comme la
fusillade de l’Hôtel Ivoire du 9 novembre 2004[26]. Nous pensons d’ailleurs
que c’est parce que la prescription décennale des crimes pour engager une
action sera bientôt atteinte que tout est fait pour enterrer l’affaire MAHE[27] en empêcher ses proches de
témoigner (notamment son frère Jacques et son neveu Basile en proie à toutes
sortes de maltraitances ici en France depuis près de 2 ans). Pourquoi vous FIDH
si soucieux de la lutte contre l’impunité n’avez-vous pas relayé la plainte de
la COPAVIL[28] (COllectif des Patriotes
VIctimes de la force Licorne) contre l’Armée française suite aux dizaines de
jeunes Patriotes au Mains nues tués par balle et aux centaines de blessés rien
que le 9 novembre 2004 devant l’Hôtel Ivoire ? Les preuves de ce massacre
sont pourtant réelles et largement diffusées, sans compter les témoignages des
milliers de victimes qui ne demandent qu’à être entendues pour être peut-être
enfin reconnues.
Nous avons tant de preuve de
votre implication dans la tragédie ivoirienne que nous n’attendons plus rien de
vous sauf à ce que vous soyez enfin touchés par la grâce ou le virus de la
Vérité au service de laquelle vous prétendez être. En revanche nous sommes
convaincus qu’il nous appartient de dénoncer votre complicité dans
l’installation de régimes vassaux de l’Occident en Afrique et ailleurs au
service du pillage des ressources des peuples qui y vivent. L’opinion publique
tant nationale qu’internationale est certes soumise à toutes sortes
d’instrumentalisation de l’Histoire, mais elle ne restera pas dupe longtemps de
votre alliance de fond ou purement stratégique avec les forces maléfiques des
nantis qui nous dirigent dont le milliardaire Georges SOROS.
En septembre 1999, vous avez exfiltré le petit
juge RDR Epiphane ZORO BI[29] après qu’il ait
délivré le faux certificat de nationalité à Dramane OUATTARA. Votre protégé
présenté comme un expert indépendant à la CPI est vraiment petit dans tous les sens du terme
pour avoir pris le parti avec les forces de l'ombre (OUATTARA, SOROS,
SCHEUER,...) de prendre le pouvoir coûte que coûte en Côte d'Ivoire.
Aujourd'hui avec des régiments d'ONG aux appellations plus trompeuses les unes
que les autres : MIDH, Cité de la Tolérance, CNVD, et vous-même FIDH, il fait le travail de nettoyeur qu'on lui a
demandé de faire transformant les victimes en bourreau et vice versa comme s'il
souffrait d'un mal dont on n'a pas fini de mesurer la toxicité : le syndrome de
STOCKOLM ! « On peut tromper une partie
du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut
pas tromper tout le peuple tout le temps» disait
Abraham LINCOLN. Et
nous conclurons sur un autre
proverbe, africain celui là, repris par Charles Blé GOUDE auquel nous renvoyons
tous ceux qui veulent vraiment servir la vérité en Côte d’Ivoire comme
ailleurs : « Réclamons les
dents de la panthère à celui qui a mangé
[1] Voir la motion du 25
juillet 2012 que nous vous avions déposée en annexe de la présente motion
[6] Rappelons que la FIDH
est membre de la CFCPI (Coalition
Française pour la CPI) : http://www.cfcpi.fr/spip.php?rubrique8#organisation http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2014/07/le-plan-commun-de-la-cpi-et-nervis-pour.html
[7] Rappelons que la FIDH
est membre de la CFCPI (Coalition Française
pour la CPI) : http://www.cfcpi.fr/spip.php?rubrique8#organisation http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2014/07/le-plan-commun-de-la-cpi-et-nervis-pour.html
[8] Hommage à Yvette par
Grégory Protche « Une toute
petite bonne femme mais une grande Dame » : http://www.legrigriinternational.com/2014/10/yvette-ble-goude-stanley-koudou-prager-gregory-protche-version-texte.html
[12] Article de Pierre SANE de mars 2011 « La logique de l’absurde » dans
lequel il annonce déjà ce qui arrivera quelques semaines plus tard : « Sauf si l’objectif délibéré était de
conduire le pays à la guerre, guerre civile cette fois, afin de justifier
l’intervention extérieure ! A ce moment-là, ce qui paraît absurde aujourd’hui
sera logique et rationnel demain. » :
http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2011/03/07/2427550_pierre-sane-cote-d-ivoire-la-logique-de-l-absurde.html) Le 8 mars 2011 Pierre
SANE pense que le pire est derrière nous et qu’une intervention extérieure
n’est plus à craindre : http://regardscroises.ivoire-blog.com/archive/2011/03/07/pierre-sane-cote-d-ivoire-la-logique-de-l-absurde.html.
Sur la victoire électorale de Laurent GBAGBO
voir les deux vidéos de Nicoletta FAGIOLO sur les élections de 2010: https://www.youtube.com/watch?v=KE7su34LyEo et https://www.youtube.com/watch?v=gwb3no-ypJk
[13] Mémorandum en images non exhaustif sur la tragédie
ivoiriennes depuis 2002 :
[14]Basile Mahan Gahé est mort pour avoir défendu la liberté
syndicale : http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2013/09/mort-pour-avoir-defendu-la-liberte.html
[15]Sur la grève de la faim :http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2014/09/greve-de-la-faim-des-prisonniers_6.html
[16]Sur la situation des prisonniers politiques ivoiriens en
proie à toutes sortes de tortures morales et physiques :
http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2014/09/les-prisons-sous-ouattara-sont-devenues.html
http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2014/09/les-prisons-sous-ouattara-sont-devenues.html
[18] « On ira Jusqu’au bout », livre témoignage de Clotilde OHOUOCHI
Ministre de la Santé sous GBAGBO de 2000 à 2005 paru aux Editions L’Harmattan
juin 2013
[20] Vérité et Justice pour Désiré OUE : http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2014/03/verite-et-justice-pour-desire-oue.html
[22]Ville martyre d’Anonkoua Kouté. Civils violés, torturés,
brûlés vifs par les rebelles en mars 2011. Leur crime : avoir reçu la
Première Dame également députée d’ABOBO. Bilan : 24 morts, 40 blessés,
centaines de disparus et exode massif. http://youtu.be/o7cO2pl43qk ; http://presse.ivorian.net/informations/?p=2189 ;
http://cotedivoire-lavraie.over-blog.fr/article-hrw-ils-les-ont-tues-comme-si-de-rien-n-etait-2eme-partie-des-civils-brules-vifs-105177957.html
[27]Interview de Jacques DAHOU,
le frère de Firmin MAHE depuis un des hôpitaux dans lequel il est « détenu » depuis près de deux
ans http://www.youtube.com/watch?v=qVBmQzfjWRQ ; Interview
de Jacques DAHOU parue dans Billets d’Afrique de Survie Mai 2014 : http://survie.org/auteur/jacques-dahou ; http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2014/02/affaire-mahe-quand-la-justice-francaise.html
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