LE PETIT JUGE EPIPHANE ZORO BI : LA CREATURE DE OUATTARA ET DE SES MAITRES OCCIDENTAUX
Epiphane ZORO BI est ce juge ivoirien présenté comme expert indépendant de la CPI à l'audience de confirmation/infirmation des charges pesant sur Charles Blé GOUDE.
Epiphane ZORO BI en'est pas du tout le défenseur des Droits de L'Homme qu'il prétdend être au service de la manifestation de la vérité, de la justice et de la réparation du préjudice des victimes, mais bien un maillon de l'immense toile tissée par SOROS au plan mondial pour diriger le monde sans en avoir l'air en éliminant tous ceux qui les empêchent de piller tranquillement les richesses dont ils ont besoin pour garantir le train de vie des Occidentaux qui nous dirigent. Ce ne sont pas seulement des ONG, ce sont également des institutions comme celles de la francophonie, les institutions onusiennes (dont l'UNESCO qui passe son temps à créer de faux prix comme le pseudo prix HB pour la Paix qu'elle donne alternativement à des gens qui le méritent (comme les grands-mères argentines) et à des gens qui devraient être empêchés de nuire comme HOLLANDE et le couple maudit OUATTARA (http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2014/03/les-paillettes-de-sang-des-elephants.html).
La dépendance totale du "petit Juge" Epiphane ZORO BI à l'égard de son mentor OUATTARA n'est donc plus a prouver. Comme beaucoup de lecteurs avisés, on sait d'abord que c'est lui qui a délivré le très contesté certificat de nationalité qui a permis à OUATTARA de se prévaloir de la nationalité ivoirienne.
Il s'agit d'un certificat de nationalité délivré par ZORO BI en 1999 sur la base d'un extrait d'acte de naissance falsifié que vous pourrez trouver en pièce photo jointe... Le petit Juge est vraiment petit dans tous les sens du terme pour avoir pris le parti avec les forces de l'ombre (OUATTARA, SOROS, SCHEUER,...) de prendre le pouvoir coûte que coûte en Côte d'Ivoire. Aujourd'hui avec des régiments d'ONG aux appellations plus trompeuses les unes que les autres : MIDH, Cité de la Tolérance, CNVD, FIDH... il fait le travail de nettoyeur qu'on lui a demandé de faire transformant les victimes en bourreau et vice versa comme s'il souffrait d'un mal dont on n'a pas fini de mesurer la toxicité : le syndrome de STOCKOLM !. Mais l'histoire de la Côte d'Ivoire est trop récente pour qu'on puisse ainsi la falsifier sous nos yeux comme l'a rappelé Blé Goudé dans sa formidable allocution du jeudi 02 octobre.
A comparer avec ces autres documents qui attestent bien que le Sieur OUATTARA indépendamment de sa nationalité "douteuse" (qui en soi n'est pas un problème ; c'est juste qu'elle contredit gravement les termes de l'article 35 de la Constitution ivoirienne adoptée à plus de 86% par référendum le 01 octobre 2000), s'est également prévalu d'une autre nationalité en l'occurrence celle du Burkina Faso, ce que la Constitution ivoirienne interdit pour les candidats à la plus haute et noble fonction de la République de Côte d'Ivoire.
Ce chien de garde de l'ordre néocolonial a d'ailleurs pleinement conscience du problème persistant de la nationalité d'Alassane OUATTARA puisqu'il plaide pour une modification de la Constitution comme vous pouvez le lire sur le lien suivant :
POLITIQUE
Epiphane Zoro, magistrat, Dg de la Cnf : “La révision de la Constitution est impérieuse”
Publié le mardi 21 janvier 2014 | Nord-Sud
"Dans cette interview qu’il nous a accordée, le juge Epiphane Zoro, directeur général de la Commission nationale de la francophonie, ancien fonctionnaire onusien, recommande une révision par voie référendaire de la Constitution, notamment en son article 35, pour éviter toutes surprises désagréables lors des prochaines consultations électorales..."Lire la suite sur :http://news.abidjan.net/h/485115.html#.Ut6glWFgs_k.facebook
N'oublions pas ensuite le rôle du Juge Epiphane ZORO BI qui lui a sans nul doute valu en récompense le poste de DG de l'AICF (Agence Ivoirienne de Coopération Française), rôle de premier plan donc qu'il a joué dans le film de propagande toxique de Benoît SCHEUER : "CÔTE D'IVOIRE, POUDRIERE IDENTITAIRE" dont il est l'un des témoins à charge principaux aux côtés de Jean-Philippe KABORE le fils d'Henriette DIABATE que l'on fait passer pour un responsable d'ONG burkinabé totalement impartial dans le film et d'Abdou TOURE le sociologue prétendument indépendant devenu ensuite porte-parole et ambassadeur plénipotentiaire de OUATTARA au BURKINA FASO toujours en poste à ce jour.
Ce petit juge de DIMBROKO que la CPI a présenté comme un expert indépendant a les mains tâchée de sang ivoirien certes mais aussi congolais car les institutions qui le financent sont habiles à recycler leurs agents et à les déplacer sur l'échiquier du monde au gré de leurs funestes intérêts... Tandis qu'il cherchait à faire croire qu'il avait fui une mort certaine sous GUEI après la délivrance du certificat de nationalité frauduleux précité à OUATTARA en 1999, il a continué après à laisser entendre que sa vie était constamment menacée sous GBAGBO et qu'il ne pouvait même pas passer au BURKINA à cause des menaces de feu BOGA DOUDOU (paix à son âme et maudits soient ses meurtriers qui courent toujours !).
Extrait d'un article de Jeune Afrique consacré à cet affidé du RDR de longue date : [NDLR : on est en mars 2004 et le petit juge a publié son livre "Désarmer la violence" hostile au Président GBAGBO quelques semaines plus tôt ]: "il a pris l'avion pour la RD Congo où il doit diriger le projet « Restauration du système judiciaire pénal » à Bunia, dans l'est du pays. Un vaste programme mis en place par l'ONG belge RCN justice et démocratie. La mission occupera au moins six mois celui qui est installé à Bruxelles depuis juin-juillet 2001. Il y est arrivé en provenance de Ouagadougou où il ne devait pourtant séjourner que quelques jours avant de retourner à Abidjan. Il n'en sera rien : à peine arrivé, Zoro est invité par le ministre burkinabè de la Sécurité Djibrill Bassolé à quitter dans les vingt-quatre heures le territoire sans autre explication si ce n'est qu'Émile Boga Doudou, l'homologue ivoirien de Bassolé, s'est ému au téléphone que le Burkina tolère chez lui la présence d'un « élément subversif »."
En 2001 déjà son nom est mentionné dans un article concernant un certain Tapé KOULOU présenté comme un fondateur de journal ultranationaliste en Côte d'Ivoire. Ce qui est intéressant dans ce cas là, c'est que nous ne sommes qu'en 2001, mais que déjà les pro-OUATTARA distillent leur propagande de guerre et que Blé GOUDE est présenté comme "Blé la gachette" et accusé à l'époque déjà de tous les crimes de la terre : "Tapé Koulou a toujours été soutenu dans sa croisade par des "leaders d'opinion" comme Ble Goudé Charles dit Ble la machette, ancien secrétaire général de la FESCI (Fédération des étudiants et scolaires de Côte d'Ivoire) qui s'était tristement illustré dans la guerre des machettes ayant endeuillé les campus du pays et qui, intervenant au cours de la conférence de presse, n'a pas craint de déclarer: "celui qui tue mes parents, je tue ses parents".
Il est soutenu aussi par Damana Pickass de la jeunesse du Front populaire ivoirien (FPI, au pouvoir), qui invite ses militants à rester mobilisés et vigilants pour faire face "à une véritable tentative de déstabilisation de la Côte d'Ivoire", ainsi que par M. Serikpa Dakoury, le meneur des activistes de la "Sorbonne", cette armée de désoeuvrés que l'on retrouve dans toutes les manifestations ultra nationalistes. "
On doit également au petit juge partisan de DIMBROKO le livre totalement à charge contre le Président Laurent GBAGBO et tous ceux qui le soutiennent paru en 2004 aux éditions KARTHALA : "Désarmer la violence" en sus des éléments rapportés par Charles Blé GOUDE dans sa magistrale allocution de fin d'audience concernant son appartenance au RDR. Sur son engagement revendiqué au sein du RDR d'Alassane OUATTARA, voir les liens ci-dessous :
Le chien de garde Epiphane ZORO BI ne va pas s'arrêter là dans ses bons offices ouattaristes puisqu'il crée et dirige le MIDH (Mouvement Ivoirien des Droits de l'Homme) le 08 octobre 2000 avec son ami Maître Ibrahim DOUMBIA, ONG locale dont la tâche principale semble avoir consisté à expurger autant que faire se peut les exactions des rebelles des rapports "officiels" et publics sur la situation des droits de l'Homme (le MIDH est d'ailleurs très lié à la FIDH de même que la LIDHO (Ligue Ivoirienne des Droits de l'Homme) qui émarge également au budget de l'OSIWA (Fédération Internationale des Ligues des Droits de l'Homme) et nous leur avions déjà consacré la fin de notre article sur sa participation active dans la mise à mort de la Côte d'Ivoire libre et indépendante : http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2014/01/avant-de-ceder-lavaine-et-inutile.html) :
Alex Saint-Joël GNONSIAN a été lâchement assassiné dans la nuit du 30 au 31 décembre 2013, alors qu’il était l’un des principaux témoins des tueries de NAHIBLY qui ont fait plusieurs centaines de morts et de disparus depuis le 20 juillet 2012, massacres en masse qui visent à faire disparaître ou dissuader les victimes de cette tragédie de témoigner (trois autres disparitions de victimes de NAHIBLY sont également à déplorer le même jour) :
http://nouveaucourrier.net/massacres-de-nahibly-duekoue-un-temoin-genant-execute-par-les-frci-la-responsabilite-de-la-fidh-engagee
http://nouveaucourrier.net/decouverte-de-fosses-communes-a-duekoue-des-proches-du-temoin-assassine-chargent-lonuci
Rappelons qu’Alex Saint-Joël GNONSIAN était supposé bénéficier de la protection de l’ONUCI et du soutien de la FIDH qui s’est constituée partie civile dans ce dossier alors même que son responsable Afrique Florent GEEL continue de nier l’ampleur des massacres de DUEKOUE de 2011 tout en cautionnant activement la politique d’Alassane OUATTARA. Ce n’est pas la récente mise en scène des petits déboires à la frontière de ce M. Afrique de la FIDH, ni les petits bémols mis dans le soutien de cette dernière à l’endroit d’Alassane OUATTARA qui nous empêcheront de dénoncer sa complicité passive dans les crimes subis par le peuple ivoirien depuis 2002. Vous trouverez ci-dessous quelques liens sur la légitime méfiance que nous sommes en droit d’éprouver à l’endroit de la FIDH eût égard à son parti pris surabondant pour les autorités de fait qui sévissent aujourd’hui en CÔTE D’IVOIRE :
http://news.abidjan.net/p/63387.html
http://nouveaucourrier.net/massacres-de-nahibly-duekoue-un-temoin-genant-execute-par-les-frci-la-responsabilite-de-la-fidh-engagee
http://nouveaucourrier.net/decouverte-de-fosses-communes-a-duekoue-des-proches-du-temoin-assassine-chargent-lonuci
Rappelons qu’Alex Saint-Joël GNONSIAN était supposé bénéficier de la protection de l’ONUCI et du soutien de la FIDH qui s’est constituée partie civile dans ce dossier alors même que son responsable Afrique Florent GEEL continue de nier l’ampleur des massacres de DUEKOUE de 2011 tout en cautionnant activement la politique d’Alassane OUATTARA. Ce n’est pas la récente mise en scène des petits déboires à la frontière de ce M. Afrique de la FIDH, ni les petits bémols mis dans le soutien de cette dernière à l’endroit d’Alassane OUATTARA qui nous empêcheront de dénoncer sa complicité passive dans les crimes subis par le peuple ivoirien depuis 2002. Vous trouverez ci-dessous quelques liens sur la légitime méfiance que nous sommes en droit d’éprouver à l’endroit de la FIDH eût égard à son parti pris surabondant pour les autorités de fait qui sévissent aujourd’hui en CÔTE D’IVOIRE :
Réception de la FIDH par Alassane Dramane OUATTARA en juin 2011 :
http://news.abidjan.net/p/63387.html
Discours de la Présidente de la FIDH qui répète inlassablement combien elle est honorée d’être reçue par le "Président" OUATTARA tandis que tant de nos camarades de lutte sont exécutés, torturés, expropriés,... :
Vidéo de Maître Drissa TRAORE, Vice Président de la FIDH qui dans cette interview du 01 avril 2011 légitime l’intervention armée et prétend que toutes les solutions pacifiques ont été mises en oeuvre pour solutionner la crise. Il ne parle même pas du recomptage des voix.
Discours du même Drissa TRAORE du 17 août 2013 dans lequel il parle de son "élévation" au grade d'officier de l'ordre du mérite ivoirien : http://www.midhci.org/actualite/detail?id=142
Les photos de la cérémonie de remise de médailles où l’on voyait Drissa TRAORE ancien Président du MIDH et actuel vice-Président de la FIDH en train de recevoir sa distinction de la Grande Chancelière Henriette DIABATE en janvier 2013 ont bizarrement disparu du Net.
Mais on en retrouve une sur le lien suivant :
http://www.midhci.org/mediatheque/photos
Débats auxquels a participé Florent GEEL dans lequel il minore totalement le bilan des victimes des forces rebelles et franco-onusiennes en reconnaissant la prétendue victoire d'Alassane OUATTARA :
01/12/2011
http://www.france24.com/fr/20111130-debat-LaurentGbagbo-Courpenaleinternationale-CotedIvoire/
01/12/2011
http://www.france24.com/fr/20111130-debat-LaurentGbagbo-Courpenaleinternationale-CotedIvoire/
Mais ce qui nous intéresse avant tout ici, c'est de montrer comme le petit juge de DIMBROKO que d'aucuns aiment à dire solitaire est irrévocablement relié à la sanguinaire pieuvre-OSF de SOROS et ses milliers de ramifications à travers le monde. C'est ainsi qu'à la tête de l'ONG "Cité de la Tolérance", avec le concours d'OSIWA :
« La jeunesse face au défi de la restauration de l’espace démocratique en Côte d’Ivoire. » Tel est le thème principal autour duquel, plus de quarante étudiants issus des différents établissements des régions de Côte d’Ivoire ont été invités. Et ce, dans le cadre de l’exécution de son projet intitulé « Appui à la participation des jeunes à la restauration de l’espace démocratique en Côte d’Ivoire », avec l’appui financier de Open Society Initiative for West Africa (OSIWA)." Voir l'article en entier : http://news.abidjan.net/h/439847.html
Comme je m'attendais à ce qu'ils supprime cet article (les nettoyeurs du Net sont rapides et efficaces pour nous délester des bonnes infos, j'ai fait une capture d'écran qui reprend cet article et établit qu'OSIWA finance l'ONG "Cité de la Tolérance" de ZORO BI :
Autre preuve que la formation "Cité de la Tolérance" d'Epiphane ZORO BI est financée par OSIWA :
Comme je m'attendais à ce qu'ils supprime cet article (les nettoyeurs du Net sont rapides et efficaces pour nous délester des bonnes infos, j'ai fait une capture d'écran qui reprend cet article et établit qu'OSIWA finance l'ONG "Cité de la Tolérance" de ZORO BI :
Autre preuve que la formation "Cité de la Tolérance" d'Epiphane ZORO BI est financée par OSIWA :
Tiens, tiens, mais c'est bien le pseudo expert indépendant Epiphane ZORO BI présenté comme tel par l'avocate des victimes Mme MASSIDA à la récente audience de Blé GOUDE devant la CPI que l'on aperçoit ci-contre sous le portrait de OUATTARA.
N'oublions pas non plus que ses séminaires de formation (de désinformation serait peut-être plus adapté dans le cas d'espèce) sont organisés en partenariat avec Verbatims, une prétendue ONG de défense des Droits de l'Homme à la solde de la SOROS-OUATTARANDRIE avec à sa tête le bien connu propagandiste Benoît SCHEUER qui émarge elle aussi aux fonds européens (voir l'article complet sur : http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2014/05/benoit-scheuer-le-propagandiste-de.html) :
"Le ‘’juge de Dimbokro’’, Epiphane Zoro Bi, a son idée pour ramener la Côte d’Ivoire sur le chemin de la cohésion.
Volontariste, il a soumis, lors d’un récent séjour au pays, cette idée au président de la Commission dialogue, vérité et réconciliation, Charles Konan Banny.
Et, selon toute vraisemblance, M. Banny devrait confier au magistrat, un rôle dans le processus de réconciliation.
« Appui à la gestion des risques de conflits identitaires et à la construction de la citoyenneté en Côte d’Ivoire »,
tel est l’intitulé du projet qu’Epiphane Zoro-Bi doit conduire pour le compte de la Cdvr.
C’est sous le manteau de l’Ong belge ‘’Verbatims’’, en partenariat avec l’Ong ivoirienne ‘’Cité de la Tolérance’’ que le projet sera mené. Il s’étalera sur environ un an et demi et touchera, si l’on en croit la fiche technique que nous nous sommes procurée, les régions de l’Ouest du pays ainsi que le district d’Abidjan."
A nous de tisser des liens pour fédérer nos forces et organiser la Résistance à la même échelle mondiale que leurs attaques multiformes et multipolaires."
La plupart des ONG qui émargent au budget de l'OSF via ses branches régionales passent leur temps à minimiser, voire nier les crimes commis à l'encontre des pro-GBAGBO en inversant carrément la victime et le bourreau. C'est ainsi qu'à DUEKOUE, tandis que les femmes réfugiées du camp tenu par le HCR pleuraient leurs morts et invitaient à se lever pour dénoncer tant les disparitions de proches que leurs conditions de vie en mars 2012, une députée RDR (Flanizara TOURE) organisait une grande parade quelques mois plus tard pour célébrer une pseudo-réconciliation " :
...à quelques semaines de la destruction du camp de NAHIBLY du 20 juillet 2012 avec son lot d'horreurs et de désolation :
http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2013/03/la-deuxieme-tragedie-de-duekoue-en.html
Et pour couronner le tout, ZORO BI Ballo ne cache pas sa sympathie pour le RDR d'Alassane OUATTARA (CQFD !) :
POUR ALLER PLUS LOIN :
POUR ALLER PLUS LOIN :
Commentaires
Enregistrer un commentaire