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Affichage des articles du octobre, 2019

FAUSSE BIENFAISANCE ET CULTE DE LA PERSONNALITE : A QUAND UN CIMETIERE « DOMINIQUE OUATTARA » ?

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Il est courant que les hommes et femmes politiques de tous bords dont les dents rayent le parquet utilisent le charity business pour se faire une réputation et se tailler un chemin vers les hautes sphères du pouvoir d’Etat. A ce jeu-là, je défie quiconque de faire mieux que Dominique OUATTARA. Pas un mois sans qu’on la voit se pavaner toute siliconée recomposée à la tête de son ONG SOROSSIENNE CHILDREN OF AFRICA en train de distribuer des kits scolaires, informatiques, agricoles et surtout de remettre des nouveaux prix. Mais son activité favorite reste bien les inaugurations. Et une école par ci et un dispensaire par là. Le clou quand même de cette passion reste cependant d’inaugurer des rues, des parcs, des bâtiments, des écoles, des dispensaires… à sa propre effigie. Je propose que l’on crée un nouveau jeu : LE BACCADOMINI’OUATTARA ! A chaque lettre il s’agira de trouver une œuvre à sa gloire ou plutôt à celle de sa domination criminelle. Ce jeu marche aussi bien par catégorie

MOCARES KOUASSI NGUESSAN : POUR L’AMOUR ET LA MEMOIRE DES SIENS !

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Soyons nombreux à le soutenir les mardi 12 et mercredi 13 novembre 2019 au Palais de Justice de PARIS à partir de 13h Porte de Clichy chambre 33. Après avoir perdu sa première femme et ses 3 enfants assassinés par les rebelles de OUATTARA en 2002 , Mocarès dit « Momo la caresse de GBAGBO » comparaîtra devant le Tribunal Correctionnel de PARIS Porte de Clichy les 12 et 13 novembre.                                [1]                                       [2]   Mocarès est injustement et arbitrairement incarcéré depuis plus d'un an pour avoir essayé de permettre à des exilés Ivoiriens fuyant la dictature criminelle de OUATTARA de venir en Europe via la LIBYE. Il avait lui-même pu venir en France par ce biais et en a témoigné devant des fidèles de son Eglise qui lui ont demandé son aide pour faire sortir des proches retenus en otages et en esclavage dans des prisons libyennes et libérables contre rançons. Il a lui-même survécu à la traversée de la Méditerranée fin 2015