Il est courant que les hommes et femmes politiques de tous bords dont les dents rayent le parquet utilisent le charity business pour se faire une réputation et se tailler un chemin vers les hautes sphères du pouvoir d’Etat. A ce jeu-là, je défie quiconque de faire mieux que Dominique OUATTARA. Pas un mois sans qu’on la voit se pavaner toute siliconée recomposée à la tête de son ONG SOROSSIENNE CHILDREN OF AFRICA en train de distribuer des kits scolaires, informatiques, agricoles et surtout de remettre des nouveaux prix. Mais son activité favorite reste bien les inaugurations. Et une école par ci et un dispensaire par là. Le clou quand même de cette passion reste cependant d’inaugurer des rues, des parcs, des bâtiments, des écoles, des dispensaires… à sa propre effigie. Je propose que l’on crée un nouveau jeu : LE BACCADOMINI’OUATTARA ! A chaque lettre il s’agira de trouver une œuvre à sa gloire ou plutôt à celle de sa domination criminelle. Ce jeu marche aussi bien par catégorie