TIKEN JAH FAKOLY LE CHANTRE CRIMINEL MANGE-MIL DE OUATTARA



Allons-nous laisser Tiken Jah Fakoly le griot de OUATTARA se pavaner à la fête de l’Humanité 2015[1] sous la bannière de  la défense du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes avec tout le sang des Ivoiriens qu’il a sur les mains, lui qui a appelé à l’intervention française et soutenu activement les rebelles criminels en Côte d’Ivoire depuis 2002[2] ?

Tiken Jah Fakoly  était peut-être crédible et apprécié quand il participait aux albums  « Décolonisons », « Africa wants to be free » ou encore quand il dénonçait l’assassinat du journaliste Norbert Zongo par Blaise Compaoré au Burkina Faso,  grand ami de la Françafrique récemment déchu et réfugié chez son ami et complice criminel Ouattara. N’est-ce pas Tiken Jah Fakoly qui chantait pour que vérité et justice soient rendues après les assassinats sauvages de Thomas Sankara et Norbert Zongo par le même Blaise Compaoré ? Pourquoi ne l’entend-t-on pas demander que Compaoré soit extradé de la Côte d’Ivoire de son ami Ouattara vers laquelle la France l’a exfiltré avec ses proches collaborateurs pour être traduit devant les juridictions de son pays ? Pourquoi le « grand » Tiken Jah ne  dénonce-t-il pas les dictatures des riches sous-préfets africains de ses non moins riches amis comme au Togo où Eyadéma fils vient d’être reconduit à la Présidence au mépris du choix du peuple, la famille régnant d’une main particulièrement sadique et liberticide sur le pays depuis plus de 50 ans, dictature de père en fils encouragée par la bonne vieille France néocoloniale que Tiken Jah prétend combattre avec ladite Communauté Internationale bienpensante à ses côtés[3] ? Comment Tiken Jah concilie-t-il son amitié pour Ouattara avec sa prétendue détestation de Compaoré, le meilleur ami et allié de Ouattara ? Que ne l’entend-t-on pas dénoncer le palmarès des dictateurs françafricains et des leaders souverainistes assassinés par la France via ses servants locaux depuis les guerres dites d’indépendance tant il est vrai que derrière la main noire qui tient l’arme, il y a  presque toujours un cerveau de nanti occidental qui donne l’ordre de tirer  quand ce ne sont pas directement les barbouzes et autres mercenaires de l’ancienne colonie qui s’en chargent directement[4] !



Pour présenter Tiken Jah Fakoly, les organisateurs de l’édition 2015 de la Fête de l’Humanité nous renvoient vers sa page concert[5] et voici ce qu’on y lit : 
« L'Ivoirien est devenu le porte-parole de l'Afrique opprimée grâce à ses Coups de Gueule version reggae, certes militant mais toujours festif. » Est-ce bien du même Alassane Ouattara dont nous parlons ? Celui que nous dénonçons est un ancien responsable du FMI et de la Banque mondiale, artisan de la dévaluation du franc CFA en 1994, de la privatisation de pans entiers du patrimoine de la Côte d’Ivoire dans les années 90, auteur et bénéficiaire évincé du coup d’Etat de Robert Guei en 1999 (d’ailleurs assassiné par le même Ouattara 3 ans plus tard à l’occasion putsch manqué du 19 septembre 2002 qui a entraîné de nombreuses exactions en lien avec les trafics juteux de ses chefs rebelles dont ceux du diamant, de l’or, du cacao).


Le même OUATTARA a été installé au pouvoir par la force et dans le sang à la tête de la Côte d’Ivoire le 11 avril 2011 par ses amis franco-onusiens à la solde des dirigeants du CAC 40, tel Nicolas Sarkozy son principal allié dans la conquête du pouvoir ou encore le milliardaire criminel en col blanc Georges SOROS qui plaça Ouattara à la tête de l’OSIWA (Open Society Institute for West Africa) en 1999, son ONG barbouze qui finance HRW que l’on retrouve sous d’autres formes dans d’autres régions d’Afrique et sur tous les continents en lien avec les services secrets des grandes puissances occidentales[6]… En quoi soutenir un mercenaire barbouze criminel récidiviste tel que Ouattara en appelant qui plus est à sa réélection en octobre 2015[7] fait-il de Tiken Jah Fakoly un porte-parole de l’Afrique opprimée ?


Dans la même présentation de Tiken Jah Fakoly un peu plus loin[8],  voilà ce que l’on peut lire et qui donne la nausée quand on connait l’implication réelle et concrète de Tiken Jah sur le terrain aux côtés des rebelles : «  Chanteur militant, il prône pourtant la paix et l'unité et revendique ses idées sans violence. « Notre rôle en tant qu'artiste est de calmer le jeu et d'informer les gens sur ce qui se passe vraiment » ».  Qu’il aille donc raconter ça aux milliers de familles endeuillées à Duékoué et dans tout le pays qui n’en finissent pas de pleurer leurs morts[9], les viols, les tortures, les arrestations et emprisonnements arbitraires[10], les expropriations et autres exactions jusqu’à l’exil de centaines de milliers de personnes encore d’actualité puisque l’épuration ethnicopolitique des pro-OUATTARA sur les partisans réels ou supposés de l’ancien régime se poursuit dans l’indifférence la plus totale des médias main-stream du monde entier, intérêts économiques à préserver obligent. Tiken Jah Fakoly n’a d’ailleurs pas hésité à s’afficher avec les Dozos et rebelles qui ensanglantent la Côte d’Ivoire depuis 2002 sur la couverture de son album « L’Africain »[11], ce qui en dit long sur l’hypocrisie de son affichage pour la défense de la paix.

Tiken Jah Fakoly  se revendique ainsi de la non-violence, mais c’est pourtant lui qui a appelé à l’intervention militaire de la France en Côte d’Ivoire  le 30 mars 2011 en tant que Red’chef d’un jour du quotidien gratuit Métro News[12]. C’est au même moment que les  mal rebaptisées FRCI (Forces Républicaines de Côte d’Ivoire) s’adonnaient à des massacres massifs dans la ville martyre de Duékoué[13] avec plus de 1000 victimes en une seule nuit sous les yeux de l’ONUCI et de la Communauté Internationale qui jusqu’ici n’a rien entrepris pour que Justice leur soit rendue tandis que les responsables directs de ce massacre ont été promus à de hauts grades militaires par le régime de Ouattara.

Depuis septembre 2002, soit au moment du lancement du plus long coup d’Etat de la France-à-fric qui conduira à l’installation son ami Ouattara au pouvoir par la force et dans le sang du 11 avril 2011,  Tiken Jah a toujours diabolisé le régime de Laurent Gbagbo. En 2007 par exemple, voici ce que Thomas Hofnung journaliste aux ordres bien connu du marigot françafricain disait de lui : « Depuis le début de sa carrière, au milieu des années 90, l'artiste s'est fait le chroniqueur lucide et sans concession de la descente aux enfers de son pays, jadis considéré comme un modèle de stabilité en Afrique de l'Ouest. Né en 1968 à Odienné (nord-ouest) dans une famille d'ethnie dioula, Tiken Jah - Moussa Doumbia de son vrai nom - n'a cessé de dénoncer le poison de l'ivoirité, cette pseudo-idéologie qui distingue les «vrais Ivoiriens» des «faux», originaires du Nord comme lui et considérés par ses promoteurs comme des étrangers. A l'automne 2002, en tournée à l'étranger, il décide de ne pas rentrer à Abidjan, se sachant dans le collimateur du pouvoir de Laurent Gbagbo. Sans aller jusqu'à s'afficher avec eux, Tiken Jah Fakoly affirme publiquement «comprendre» les motivations des rebelles, pour la plupart originaires du Nord, qui exigent la fin des discriminations, le départ de Gbagbo et de nouvelles élections. »[14] La date de la sortie de cet article est loin d’être anodine. Nous sommes en décembre 2007 et l’accord politique de Ouagadougou qui échappe au contrôle de la France et remet Gbagbo en selle dérange les officines françafricaines au point de susciter des vraix/faux attentats comme la tentative d’assassinat de Soro par les rebelles ou encore la tentative de putsch désamorcé d’IB préparé avec cet épisode tragicomique pour ne pas dire abracadabrantesque de l’arrestation de JP Ney et de quelques-uns des «apprentis-putschistes » du moment. Je vous renvoie à l’excellent documentaire de CAPA : « Manipulations sous haute tension »[15] qui même s’il ne va pas jusqu’au bout d’une investigation digne de ce nom pose quand même la question de la collusion entre la barbouzerie françafricaine (avec des personnalités comme des ex-directeurs de la DST, de la DGSE toujours actifs en 2015 : Yves Bonnet, Alain Juillet, Philippe Martinet)[16], JP NEY arrêté et incarcéré pendant 18 mois à la MACA d’Abidjan, IB qui sera jugé en France en 2008 et condamné à 4 ans de prison avant d’être amnistié en France sans doute pour lui permettre de sévir dans le cadre du Commando invisible d’Abobo et de ses 700 miliciens pro-Ouattara pour ne pas dire franco-onusiens lors de la récente crise postélectorale. IB sera lui-même assassiné avec tous ses proches collaborateurs, nettoyage des chiens de garde de la Françafrique oblige… IB aura quand même le temps d’enregistrer une vidéo testament largement diffusée à titre posthume[17] avant de disparaître fin avril jusqu’à aujourd’hui dans les  oubliettes des médias mange-mil qui nous désinforment.

Cette tendance du pouvoir Ouattara et de ses commanditaires occidentaux à éliminer ceux-là même de ses partisans quand ils deviennent compromettants – on se souvient de l’épisode de KORHOGO en 2003 et des partisans d’IB (lui-même exfiltré en France) où les rebelles éliminèrent l’aile anti-Soro de leur rangs en les laissant cuire au soleil dans des containers bondés- est peut-être aussi à l’origine des hésitations de Tiken Jah à accorder toute sa confiance à Ouattara en gardant toujours un pied chez ses parrains criminels en col blanc occidentaux comme le révélait un article du Gri Gri International en 2012 qui relatait comment Tiken Jah Fakoly était toujours réfugié politique en France alors que son mentor Ouattara était à la tête du pays[18]. C’est dire la méfiance de Tiken Jah à l’endroit de Ouattara : d’accord pour appeler à voter Ouattara en empochant l’argent et/ ou les contrats de la corruption politique, mais pas fou au point de se mettre sous le joug de celui qui emprisonne et assassine certes ses opposants (Boga Doudou, Désiré Tagro,…) mais aussi ses alliés ou ex-alliés (Bala Keita, Robert Guei, Louis Dacoury Tabley, IB,…) quand ils deviennent gênants !

Fin 2014, le même Tiken Jah fait bien semblant d’atténuer son soutien habituel à Ouattara en mettant un seul bémol à la réélection de Ouattara : courant octobre 2014, il lui adresse une lettre publique déplorant que le triste sieur Youssouf Bakayoko soit reconduit à la tête de ladite CEI (Commission Electorale Indépendante)[19]. C’est un peu comme si l’on reprochait seulement à Pétain la poignée de main de Montoire, en occultant totalement la collaboration active et zélée du régime de Vichy avec les nazis et son cortège de victimes juives, tsiganes, noires, homosexuels, communises,…

Tiken Jah ne défend plus les valeurs panafricaines qu’il prétendait incarner (si tant est qu’il les ai jamais réellement défendues)  mais bien l’ordre néocolonial incarné par le valet local Ouattara installé par la France en Côte d’Ivoire pour sécuriser ses juteux marchés africains ainsi que ses filières d’approvisionnement en cacao, café et pétrole, et autres débouchés nécessaires aux Etats prédateurs du Nord.

Lien vers un article complémentaire consacré à la schizophrénie manipulée deTiken Jah Fakoly : http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2015/09/tiken-jah-fakoly-un-faux-nez-de.html 




[2] Liens vers l’Article de Yacouba GBANE publié le 13 août 2010 dans Lebanco.net (on ne le trouve plus sur cette source mais beaucoup d’autres l’ont repris = voir liens ci-dessous) dans lequel le journaliste interviewe Abdoulaye Traoré alias AB, ex-chef de guerre de Man qui accuse Alassane Ouattara d’être le véritable instigateur de la guerre en Côte d’Ivoire et Tiken Jah d’avoir joué un rôle essentiel dans cette dernière : « Notre arrestation au Mali a été menée par Tiken Jah. C’est l’un des pions essentiels de la rébellion. Il a joué un rôle très important. C’était un pion essentiel. Il était chargé d’héberger tous les éléments à Bamako. C’est lui le tuteur. Il nous a mis dans toutes les conditions. Il organisait des concerts. Les fonds recueillis étaient mis en notre disposition. Il s’est enrichi dans la rébellion. Il faisait du trafic du coton. C’est son petit frère qui était chargé de convoyer les camions vers le Mali. Il était dans un deal avec Kouakou Fofié. C’est lui qui était chargé de galvaniser les troupes à travers des chansons. Il nous encourageait à réussir notre mission. »
[3] Dans un article consacré de Tiken Jah Fakoly sur lequel je reviendrai plus loin (http://www.afrik.com/article12536.html), Tiken Jah dénonce pourtant la corruption et appelle à des élections libres sans ingérence extérieure. A moins d’être schizophrène, dites-moi comment il peut considérer le Togo comme un pays libre en 2007, soutenir Ouattara depuis 2002 par rebelles interposés et ne pas dénoncer la confiscation du pouvoir au Togo sous Eyadéma fils comme il le  faisait d’ailleurs à l’ère d’Eyadéma père ?

[4] Lien vers le palmarès non exhaustif des dictateurs africains soutenus par la France et de quelques-unes de leurs illustres victimes : http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2014/03/les-amis-et-les-victimes-de-la.html

[5] Lien vers le texte de présentation du milicien-chanteur de OUATTARA du site infoconcert : http://www.infoconcert.com/artiste/tiken-jah-fakoly-13106/biographie.html

[6] Lien vers un article consacré aux ONG criminelles qui vampirisent l’Afrique autour de l’Empire Soros : http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2014/10/ces-ong-criminelles-qui-vampirisent.html

[7] Lien vers article d'août 2014 dans lequel Tiken Jah souhaite que Ouattara reste au pouvoir jusqu'en 2020 : http://news.abidjan.net/h/507469.html

[8] Ibid note [5] 

[9] Lien vers un mémorandum en images non exhaustif de la crise ivoirienne depuis 2002 : http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2012/12/memorandum-en-images-sur-la-cote-divoire.html

[10] Lien vers un rapport sommaire sur la situation des prisonniers politiques ivoiriens du 04 août 2015 quatrième édition : https://soutienetliberte.files.wordpress.com/2015/08/rapport-prisonniers-ed4-20150804-doc.pdf. Liste des prisonniers politiques ivoiriens connus à cette date : http://lavanemurphy.canalblog.com/archives/2015/08/11/32472675.html
[11]Lien vers un article de septembre 2007 qui parle de cet album avec cette photo incroyable de Tiken Jah en compagnie de ses frères dozos  ces miliciens membre d’une chefferie de chasseurs traditionnels qui ont tant sévi et continuent de sévir en Côte d’Ivoire : http://www.afrik.com/article12536.html
[12]Voir Métronews du 31 mars 2011 où Tiken Jah Fakoly fait sa promo pour ses concerts tandis que les FRCI et autres hordes de rebelles à la solde de son mentor OUATTARA assassinent, violent et pillent à Duékoué et dans tout l’Ouest ivoirien avant de monter sur Abidjan aidés des forces franco-onusiennes  : http://www.metronews.fr/culture/tiken-jah-fakoly-l-afrique-c-est-le-continent-de-l-avenir/mkcD!CL15d5k19Pz2/. Le ménage ayant été bien fait sur le Net l’article dans lequel il appelle à une intervention armée de la France et de la Communauté internationale a été retiré du Net mais vous pouvez le trouver dans le lien ci-dessous vers deux photos prises  à la Bibliothèque François Mitterrand où l’on peut consulter  cet exemplaire de Métronews du   31 mars 2011 où Tiken Jah apparaît bien en première page et en page intérieure  : http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2015/08/dans-metronews-du-31-mars-2011-tiken.html

[13] Lien vers une vidéo qui retrace le massacre de tout un village en le comparant à celui d’Oradour sur Glane : https://www.youtube.com/watch?v=1fe6rneD5G0 ou encore vidéo de Sylvestro Montanaro qui retrace la tragédie ivoirienne, de l’Ouest du pays plus particulièrement : https://www.youtube.com/watch?v=eSumHaxLh4U

[14] Lire l’intégralité de l’article de Thomas Hofnung dans Libération du 8 décembre 2007 : http://www.liberation.fr/jour/2007/12/08/tiken-jah-fakoly-le-grand-frere-de-retour-d-exil_108166

[15] Vidéo de la préparation de ce putsch avec IB, JF Cazé, JP Ney et Alain Juillet ancien de la DST sur le lien suivant. 1ère partie : https://vimeo.com/44061055 ; 2ème partie : https://vimeo.com/44154718

[16] Quelques liens vers des sites d’infoguerre où l’on retrouve une grande partie de tous les barbouzes et officines françafricaines qui ont participé à la déstabilisation de l’Afrique en général et de la Côte d’Ivoire en particulier : http://www.corpguard.fr/Direction_r18.html ; http://www.digital-network.net/partenaires.php ;

[17] Série de vidéos où l’on entend IB donner sa « part de vérité » quelques semaines avant le nettoyage des chiens de guerre de la rebellion par ceux-là mêmes qui devaient désormais présenter  une face respectable aux yeux de la Communauté Internationale après 8 années d’épuration ethnicopolitique dans la zone occupée par les rebelles depuis 2002 sans oublier les crimes abject imputés à tort ou à raison au Commando Invisible d’Abobo durant la crise postélectorale 2010/2011 : Lien vers la partie 1 de cette vidéo d’IB du 7 avril 2011 : https://www.youtube.com/watch?v=KXt0ReasdKY. Les 4 autres parties suivent : https://www.youtube.com/watch?v=WSJ0qtDsDhU ; https://www.youtube.com/watch?v=HM-kbhvHJ_o ; https://www.youtube.com/watch?v=I0mMxjHJY7g ; https://www.youtube.com/watch?v=r8MBMqlJL-k

[18] Ainsi en octobre 2012 des informations filtrent difficilement vérifiables sur le fait que Tiken Jah serait réfugié politique en France en à cette date comme s’il craignait d’habiter le pays de celui qu’il a pourtant aidé à installer aux côtés de la rebellion : http://www.legrigriinternational.com/article-le-rasta-fran-africain-ouattariste-tiken-jah-fakoly-est-il-toujours-refugie-politique-en-france-111079772.html

[19] Voir le contenu de cette lettre de Tiken Jah Fakoly qui fait semblant de s’émouvoir de la reconduction de Youssouf Bakayoko à la tête de la CEI alors qu’il ne dit pas un mot des massacres, tortures, arrestations et détentions abusives sous l’empire des rebelles qui ont renversé l’Etat de droit le 11 avril 2011 après avoir semé la désolation depuis 2002 : http://times24.info/cote-divoire-les-inquietudes-tiken-jah-au-election-presidentielle-en-2015/


Christine COLIN-TIBALA

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