STOP AUX ENLEVEMENTS ET AU MASSACRE D'ENFANTS EN CÔTE D'IVOIRE !
En quelques mois, 25 enfants au moins ont été enlevés en Côte d'Ivoire et 20 ont été retrouvés morts, sacrifiés sur l'autel de pratiques barbares avec souvent prélèvements d'organes. Ci-desous le portrait de quelques-unes de ces pauvres petites victimes. Les trois premiers s'appelaient Méless Essoh Emmanuel, Mareau Bénitier, Jean Aurélien Koffi. Les trois suivants, Aka chance Ezechiel, Cédric et Souleymane ont été enlevés et blessés pour deux d'entre eux mais ont réussi à échapper à leur boureau. Sandy Ornella et le dernier petit bout d'chou ont été signalés disparus... Vous avez dit rumeurs et psychose d'enlèvements ?
Enlèvements d'enfants en Côte d'Ivoire
Jean-Claude KOFFI témoigne de la mort de son fils de 10 ans
(VIDEO) Yopougon Enfants enlevés et tués: le calvaire des parents face au silence troublant du gouvernement
Plusieurs enfants et été enlevés et tués en Côte d’Ivoire, dans l’indifférence totale des autorités.
Un phénomène inquiétant se déroule en Côte d’Ivoire, notamment dans la commune de Yopougon, en cette fin d’année. Il s’agit d’enfants enlevés et tués. Quatre ont connu cette triste fin dans ce mois de décembre 2014. Nous sommes allés à la rencontre de quelques familles éplorées. Reportage.
C’était le jour de son anniversaire. Koffi Jean Aurélien David aurait eu 10 ans le mardi 16 décembre 2014. Mais, l’heure n’est pas à la fête dans la famille Koffi. Une lourde atmosphère de deuil règne. Elle est liée à la mort atroce de l’enfant. Et c’est son père Koffi Jean Claude, la voix nouée par la douleur et les yeux remplis de larmes, qui nous raconte ce lundi 1er décembre 2014, jour du drame, à jamais gravé dans leur mémoire.
Ce jour-là, en effet, des individus ont décidé de mettre un terme à la vie de sa progéniture. Parti pour l’école, Koffi Jean Aurélien David, élève en classe de Cm1 dans un établissement à Yopougon-Ananeraie, ne verra plus ses parents. « Ce lundi, je suis rentré de mes courses à 13h pour partager le repas avec ma famille et me reposer un peu. À 16h, on envoie la servante chercher les enfants. Car ce jour, le ciel était menaçant et une forte pluie s’était abattue sur Abidjan. Couché dans mon lit, j’ai eu un soudain pressentiment et j’ai voulu aller chercher mes enfants. Ils sont jumeaux, ils fréquentent la même école, et sont dans la même classe », explique Koffi Jean Claude.
La joie qui se lit sur le visage du couple Koffi a laissé place…
Mais, il était loin de s’imaginer que ce sentiment qui venait de le traverser était le signe annonciateur d’un drame. «Malgré les eaux de ruissellement, je parviens à garer la voiture derrière quatre autres véhicules dont les propriétaires étaient venus chercher leurs enfants. J’appelle mon épouse et lui demande de dire à la servante que je suis garé dehors. On me fait savoir que les enfants sont en train de balayer leur classe. Cinq minutes après, la servante apparaît, mais avec un seul des jumeaux. Mais où est David? ».
La réponse à laquelle ne s’attendait certainement pas M. Koffi, sera le début d’une triste histoire. « Je suis sorti avec tous les deux enfants. Mais quand j’ai dit à David ”attends moi dehors”, il m’a arraché sa main et a commencé à courir vers la sortie. Je ne l’ai plus vu », répond la servante. C’est le branle-bas. Comment retrouver le gamin dans cette foule, et sous une pluie battante ? « On a cherché dans toutes les voitures, les classes, le quartier, jusqu’à 19h, sans trouver l’enfant. C’est ainsi que nous nous sommes rendus au commissariat du 17e arrondissement pour signaler sa disparition », explique-t-il.
Les bourreaux menacent les victimes
Après une nuit blanche, ils reprennent les recherches et saisissent toutes les structures de police, les réseaux sociaux afin de retrouver leur enfant. Rien n’y fit, jusqu’au samedi 6 décembre 2014.
« Ce samedi, son école m’appelle pour m’informer qu’un enfant portant un kaki a été retrouvé par des pêcheurs à Lokoua, au bord de la lagune. Imaginez le choc. Je me rends sur les lieux. Et là, je vois mon fils. Sur les photos prises par les pêcheurs, on voit l’enfant couché sur la berge, la tête plongée dans l’eau. Le 17è arrondissement a été alerté, la police scientifique ainsi que les pompes funèbres pour procéder au constat d’usage et à l’enlèvement du corps. Après le constat, on s’est aperçu qu’aucune partie de son corps n’a été emportée. Mais qu’il a été torturé parce qu’il y avait des contusions sur son corps et des marques au niveau de l’abdomen qui montrent qu’ils ont extrait son sang », se rappelle-t-il, le visage plié par la douleur.
« Ça me révolte. Dans quel pays sommes-nous? Je ne peux pas comprendre que les autorités ne fassent rien pour arrêter ces fléaux », s’indigne le père d’Aurélien David. L’enfant repose à jamais au cimetière municipal de Yopougon, depuis le vendredi 12 décembre 2014. Malgré cette dure épreuve qu’ils font subir à la famille Koffi, les bourreaux ne démordent pas. Ils appellent et menacent les géniteurs.
« Vous pensez que c’est fini. Ils sont jumeaux, nous allons enlever l’autre aussi », disent-ils à travers des appels téléphoniques avec des numéros masqués, selon Koffi Jean-Claude. « On n’est plus en sécurité. Il y a un des jumeaux qui est là. Je me demande s’ils ne vont pas l’enlever lui aussi. L’enfant est traumatisé. Il ne va même plus à l’école. Lui et son frère sont voisins de classe. Comment peut-il supporter l’absence de l’autre? Si j’avais les moyens, je partirai loin d’ici, car je suis fortement persécuté et profondément troublé. Pour mon épouse, c’est encore plus difficile. Elle est totalement effondrée, en état de choc. Jamais, on avait imaginé une telle situation », avoue-t-il.
... à des larmes de douleur. Le père a du mal à se retenir. Il pleure son fils Aurélien.
Dans leur souffrance, Koffi et sa famille n’ont de soutien que des proches dont son ami D.A., et des communautés chrétienne et musulmane. « Aucune autorité, qu’elle soit municipale, gouvernementale, aucune Ong n’a manifesté de la compassion pour nous », regrette M. Koffi. Lui qui voulait fêter avec ses enfants en cette fin d’année. « J’avais promis que si je le retrouvais, on fêterait la Noël avant Noël. D’espoir en espoir, hélas! ». Hélas en effet ! Car l’enlèvement d’enfants est devenu un fléau, surtout à Yopougon.
Dans la même période, un autre enfant subit le même sort, mais de façon plus atroce. Mareau Bénitier, 5 ans, élève en classe de Cp2, a été enlevé, tué puis mutilé. Ses organes génitaux, le bras droit et la jambe droite, ainsi que la tête sont sectionnés et emportés. Le reste du corps est jeté en pâture aux oiseaux et autres poissons dans la lagune, non loin de la base navale de Locodjro. Il est retrouvé onze jours après son rapt. Son père, Mareau Alain Max, la voix encore engourdie par la souffrance due à la perte de son fils, raconte l’horreur ce lundi 15 décembre, quand nous le rencontrons à son domicile à Yopougon.
Il explique que le samedi 29 novembre 2014, jour de son enlèvement, Bénitier joue avec ses amis dans le quartier. Vers 18h, un jeune du quartier identifié selon un témoin comme Godo Freddy, l’empoigne et le force à le suivre. Le petit garçon se sait mal accompagné. Il pleure. Ses larmoiements attirent une jeune fille du quartier. Elle veut en savoir davantage. Mais, le ravisseur évite tout contact, de peur d’être démasqué. Il fait croire qu’il emmène l’enfant pour se laver. Manque de pot pour lui, il est bien identifié par la jeune fille, qui permet de mettre la main sur lui quand éclate la disparition de l’enfant, selon le récit de son père.
Les familles livrées à leur propre sort
Ils engagent les recherchent. A l’aide d’un griot, mais aussi avec plusieurs affiches à l’effigie de l’enfant, placardées partout et estampillées sur des véhicules, ils sillonnent les quartiers pour retrouver Bénitier. Ayant reconnu sur les affiches l’enfant qu’elle avait vu aux mains du jeune garçon, la jeune fille, dénommée également ” la veille ”, approche les parents pour leur raconter ce qu’elle sait.
« Elle m’a dit que si elle voit le jeune, elle peut le reconnaître parce qu’elle a suivi la scène de près et a bien identifié le ravisseur. Ce qui m’a convaincu, c’est sa description de l’enfant et de son habillement », se convainc Mareau Max. Un tour dans le quartier leur permet de rencontrer le jeune recherché, dévisant avec un groupe d’amis. Interrogé sur la disparition de Bénitier, Godo Freddy jure n’avoir jamais vu l’enfant, avant de reconnaître son forfait sur insistance de ” la vieille ”.
« Il a avoué qu’il avait effectivement vu l’enfant et a même décrit son habillement. Ce qui m’a intrigué. Comment parmi tant d’enfants, as-tu pu identifier mon fils de la sorte? Qu’avait-il de si particulier pour que tu te sois ainsi intéressé à lui”, lui-ai demandé? Mais il n’a pas pu répondre », raconte le père. La discussion prend une autre tournure, et le groupe est rejoint par les amis et parents de Godo.
Malgré l’opposition des siens, il est arrêté et conduit à la gendarmerie d’où il est déféré à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca). Le présumé bourreau refuse cependant de parler, durant son séjour dans les locaux de la gendarmerie.
Mareau Alain Max pleure son fils Bénitier (5 ans) assassiné. Il voudrait se rendre justice, mais compte sur l’État pour cela.
Le 9 décembre 2014, le corps sans vie de Mareau Bénitier est découvert. « S’il avait parlé, peut-être qu’on aurait retrouvé l’enfant vivant », regrette le père. Les responsables pénitentiaires joints par téléphone, confirment la détention de Godo à la Maca. Après l’assassinat de Bénitier, les bourreaux se montrent également menaçants à l’endroit des parents de leur victime. « Ses complices nous ont visités, ils ont agressé ma femme et menacé d’enlever d’autres personnes », explique Alain Max.
Quant à Kouko Batiyé Ange Messi, il peut dire merci à Dieu. Il n’est pas tombé dans les mains de ces tueurs. Agé de quatre (4) ans et élève en classe de Cp1, le petit Ange Messi se rend à l’école, le mardi 9 décembre 2014, dans le périmètre de l’échangeur de Marcory. Il ne revient pas à la maison à midi. Il passe habituellement sa pause à la ”cantine” de l’établissement. Mais, ce jour là, après les cours, il suit deux amis de classe, qui le refoulent une fois arrivés devant leur maison.
En rebroussant chemin, il se perd et se retrouve à Anoumabo. Flânant dans les rues jusqu’au soir, tout affamé, il se met à pleurer. C’est alors qu’un instituteur rencontre son chemin. « Heureusement qu’il s’appelle Messi. C’est le Messie qui l’a protégé. Le monsieur l’a fait passer dans les écoles de Sans fil, où personne ne l’a reconnu. Il décide alors d’aller le confier au chef du village d’Anoumabo ».
La famille constate la disparition de l’enfant, et alerte la police. Les recherches commencent et se poursuivent jusqu’au lendemain. L’inquiétude gagne les parents, le désespoir aussi. Mais, l’appel qu’ils attendent le plus vient enfin, et leur donne du baume au cœur. Il s’agit du commissariat de police de ce quartier de Marcory, qui annonce la réception d’un enfant répondant au même signalement que Batiyé Ange Messi. C’est effectivement lui. Il est sain et sauf. De bonnes personnes l’ont retrouvé.
Après cet événement, la mère, Mme Dali Suzanne, décide que son enfant n’ira plus dans cette école, à cause de l’insécurité qui y règne, selon elle. En effet, à l’en croire, l’école sert de lieu de stationnement aux véhicules, ce qui est propice à des rapts.
* L’indifférence révoltante des autorités et leaders de société
Des enfants poursuivis, enlevés et tués dans les rues d’Abidjan, surtout à Yopougon, sans que cela n’émeuve personne. Pas de réaction du gouvernement, des autorités judiciaires et municipales, ni même des partis politiques ou des organisations de la société civile, des Ong de défense des droits de l’Homme ou de l’enfant.
Ce qui aurait, sous d’autres cieux, provoqué une vive réaction et des manifestations populaires ou des actions particulières, est accueilli avec une indifférence surprenante, voire révoltante en Côte d’Ivoire. Les conseils des ministres passés sont muets sur le sujet. Les préoccupations sont ailleurs, pendant que des enfants sont traqués, tués, sacrifiés en cette fin d’année. Il faut vite finir les ponts, les routes et autres échangeurs, il faut sensibiliser autour de l’appel de Daoukro, le prochain mandat doit passer par là. Sous les sapins lumineux des arbres de Noël, organisés avec tout le tapage médiatique qu’il faut pour des enfants encore vivants, dans le seul but de soigner son image, accroître sa notoriété, gisent les corps sans vie d’autres enfants qu’on a oubliés.
Et c’est dommage ! Il est donc grand temps que le gouvernement mette fin aux activités de ces tueurs d’enfants pour assouvir des rituels sordides de fin d’année. Dans le chapitre ”Des libertés et des droits” de la Constitution ivoirienne, il est écrit à l’article 2 : « La personne humaine est sacrée. Tous les êtres humains naissent libres et égaux devant la loi. Ils jouissent des droits inaliénables que sont le droit à la vie, à la liberté, à l’épanouissement de leur personnalité et au respect de leur dignité. Les droits de la personne humaine sont inviolables. Les autorités publiques ont l’obligation d’en assurer le respect, la protection et la promotion (…)». Et l’article 3 d’ajouter: « Sont interdits et punis par la loi, l’esclavage, le travail forcé, les traitements inhumains et cruels, dégradants et humiliants, la torture physique ou morale, les violences physiques et les mutilations et toutes les formes d’avilissement de l’être humain ». Nous nous sommes librement donné ces lois, appliquons-les tout simplement.
Cesar DJEDJE MEL
L’Inter
ENLÈVEMENTS D'ENFANTS EN COTE D'IVOIRE
COULIBALY DRISSA arrêté pour avoir tenté d'égorger deux enfants DÉCLARE: '' J'ai déjà tué trois enfants. Il me fallait deux autres victimes pour atteindre cinq. C'est mon dieu qui m'a envoyé pour tuer ces enfants. Mon dieu m'a dit que je serai le roi de la Côte d'Ivoire...Que j'aurai beaucoup d'argent et que je vais dominer le monde.
( Soir Info) Via First magazine.
Voici le visage d'un égorgeur d'enfants un certain Coulibaly Drissa 39 ans actuellement aux arrêtes au commissariat du 17e à Yopougon.
L'enfant à côté c'est celui qu'il tentait d'égorger sauvé par un autre enfant lui aussi blessé au doigts.
Encore un enfant enlevé
Abidjan (Côte d’Ivoire) - bilan officiel d’enlèvement et de mutilation d’enfants« 25 cas avérés» dont « 5 cas de découvertes d’enfants mutilés et 20 cas de cadavres», a annoncé hier, mercredi 28 janvier 2015, le gouvernement par le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko . — avec Djagoyouwle Ogbawoli II
Marius Disra24 janvier
URGENT ! URGENT ! URGENT !C'Est une famille inconsolable que nous avons eu droit de rencontrer hier dans les environs de 18 H au quartier SIDECI de YOPOUGON. Deux de ses enfants allés à l'ecole le jeudi matin à 8 Heures ne sont plus rentrés en famille jusqu'à ce jour. Le phénomène d'enlevement d'enfants prend de l’ampleur de jour en jour et il faut que les ivoiriens soient très prudents en ce qui concerne la sortie de leurs enfants.Car l’émergence du mossi OUATTARA se signale ainsi.
23/12/2014
En savoir plus sur http://leblogdelamairiedeyopougon.ivoire-blog.com/archive/2014/12/23/mairie-de-yopougon-ceremonie-de-remise-de-prises-en-charge-s-454412.html#uwkle1WKmLLWeddT.99
Côte d'Ivoire: Nouvel assassinat d'un enfant à Yopougon, le
criminel arrêté
Les
enfants disparus : morts et mutilés
Les disparitions d'enfants , probablement sacrifiés à des
divinités et forces des ténèbres pour apporter chance, gloire et prospérité à
des individus qui préfèrent sacrifier des petites victimes innocentes et
inconnues, sont légion, il n'est pas un jour sans fait divers de la sorte. Tout
cela parce que nos politiques d'aujourd'hui sont en réseaux mafieux et
francs-maçons, et que leurs disciples veulent les imiter, facilement, sans trop
de travail, se collant sur la sueur et le sang des autres.
Shlomit
Un phénomène qui n’est pas nouveau est entrain de revenir à grande vitesse dans notre société. Je ne sais pas si cela est lié au mois de décembre, à la fin de l’année, au broutage ou même aux préparations des élections 2015, mais toujours est-il que le mysticisme y est pour quelque chose.
Je parle de l’enlèvement et de la disparition des enfants.
Ce phénomène devient de plus en plus récurrents. Le gouvernement ne peut pas tout faire.
Je demande aux parents d’être très vigilant, de donner des consignes de sécurité à la maison et de veiller à l’éducation des enfants pour ne pas qu’ils suivent des inconnus.
Chers amis, je souhaite aussi que chacun d’entre nous, donne des techniques de prévention afin que nous les partagions ensemble.
Cela n’arrive pas qu’aux autres.
Merci
Yasmina Ouegnin
image: http://re.ivoire-blog.com/media/02/01/2876571080.jpg
Assasinat du petit Sharon à BONOUA par un jeune de 18 ans qui l'a éviscéré et a bu son sang. Son corps sans vie et supplicié a été retrouvé le jeudi 13 septembre 2012 et a donné lieu à ce reportage :https://www.facebook.com/video.php?v=875607332459510&set=vb.857060054314238&type=2&theater
Les dessous d’un cri du cœur
AKA CHANCE EZECHIEL 7ans en classe de CP2 a disparu hier mardi 27 janvier 2015 aux environs de 11 heures à Locodjro (Attécoubé).
Une jeune fille trouvée morte dans un dépôt d'orduresAbidjan:
La psychose des enlèvements et des sacrifices humains gagne la capitale ivoirienne depuis quelques semaines. Après les enlèvements de plusieurs enfants, c’est le corps d’une femme qui a été retrouvé ce matin dans un bas-fond au Plateau Dokui.
La vigilance doit être de mise car plusieurs personnes ont été interpellé cette semaine et elles ont reconnu qu’elles étaient en mission pour ramener certaines parties du corps humain à des féticheurs pour des sacrifices rituels.
Côte d'Ivoire: 25
enfants assassinés en deux mois
«Il a sorti une machette et a essayé de me découper»
Première publication 29 janvier
2015 à 08h06
Agence France-Presse
«Le monsieur est sorti avec une machette. Je suis tombé. Il a
commencé à me taillader.» Souleymane, 10 ans, est choqué mais vivant. À
l'inverse de nombreux enfants récemment kidnappés et tués en Côte
d'Ivoire, un phénomène terrorisant le pays.
Crédit photo : Agence France-Presse
Souleymane, 10 ans, a survécu à l'attaque à la machette d'un ravisseur.
|
Dimanche, ce garçonnet à la diction précipitée se trouvait au bord de la
lagune abidjanaise pour chercher de l'eau à un puits. Malgré des travaux
d'adduction récents, les robinets de milliers d'habitants de Yopougon, un
quartier pauvre de la capitale économique, étaient encore à sec.
L'agression s'est produite sous les yeux des nombreuses femmes et d'enfants
venus remplir leurs bassines dans un coin de verdure presque sauvage, où
quelques maisons en construction font leur apparition.
Cédric a survécu à l'attaque d'un assaillant. (Crédit photo: Agence France-Presse) |
«Le gars est venu. J'ai cru qu'il venait puiser l'eau. Mais il a sorti une
machette. Il a essayé de me découper», raconte Cédric, 15 ans, une autre
victime dont la paume bandée rappelle qu'il a bloqué l'arme de sa main.
Un soldat d'un camp voisin, arrivé rapidement sur les lieux, a mis l'homme
en déroute. Ses compagnons ont ensuite quadrillé la zone pour le retrouver,
avec succès.
«Heureusement, sa machette n'était pas bien affûtée», observe le caporal
Habib Tito, qui a participé à la battue. «Il s'est acharné sur les deux
enfants. N'eût été la présence d'un de nos éléments, le plus petit était mort.»
Une vingtaine d'enfants ivoiriens n'ont pas eu sa chance. En deux ou trois
mois, la police a comptabilisé 25 dossiers d'enlèvements suivis de meurtres sur
tout le territoire. Un nombre extrêmement élevé, qualifié de «phénomène réel et
inhabituel» par la police.
La plupart des corps ont été retrouvés «mutilés, avec la disparition de
leurs parties génitales, ou décapités», explique le directeur général de la
police nationale Brindou M'Bia. La crainte d'une vague de sacrifices humains
est vive.
«On connaît bien la typologie des crimes rituels», a commenté mercredi
Hamed Bakayoko, le ministre de l'Intérieur ivoirien, annonçant la mobilisation
de 1500 policiers et militaires pour «patrouiller dans les zones hautement criminogènes».
«On fait croire à ces personnes qu'à travers ces crimes, elles pourront
avoir du pouvoir ou de l'argent», a-t-il poursuivi.
Drissa Coulibaly semble être l'incarnation des propos du ministre. Cet
homme à l'allure dégingandée, vêtu d'un survêtement rouge et blanc sale,
vestige de mois passés dans la rue, est l'agresseur de Souleymane et Cédric.
L'agresseur de Souleymane et Cédric, Drissa Coulibaly (Crédit photo: Agence France-Presse) |
«C'est Dieu qui m'a demandé de faire cela. Dieu m'a dit de couper les têtes
des enfants pour les lui porter et je serai élu le roi. Je lui ai dit que je ne
voulais pas mais il a insisté», explique-t-il à l'AFP dans les locaux de la
police criminelle, où il est détenu.
L'objectif ultime était de recevoir ses «épées» de monarque, prétend
l'homme de 38 ans au langage choisi, qui dit communiquer avec Dieu via ses
«anges» - en fait des corbeaux.
«Soit il est très intelligent (et joue au fou), soit il est très fou»,
estime un enquêteur.
«C'est un monsieur bel et bien confiant. Pas un fou. Il a l'habitude de
faire ça», rétorque Danièle Koné, la mère de Cédric. Questionné par des
militaires lors de sa capture, «il a dit qu'il avait déjà tué trois enfants
pour des brouteurs», affirme cette commerçante, présente durant l'interrogatoire.
Ce que Drissa Coulibaly nie depuis lors.
Les «brouteurs», ces délinquants spécialisés dans les escroqueries sur
internet, sont désignés, sans preuve, par la population comme les auteurs des
crimes.
Ils veulent faire «des sacrifices humains pour mieux arnaquer», haranguait
la semaine dernière l'abbé Norbert Abékan, un prêtre abidjanais charismatique,
dans un journal local.
L'hystérie, compréhensible, s'empare des insouciants ivoiriens. Aux alertes
alarmistes sur Facebook répondent les avertissements par SMS. Des cas
d'enlèvements sont désormais signalés tous les jours ou presque.
Les rumeurs les plus folles ont toujours circulé pendant les années
d'élections en Côte d'Ivoire sur les disparitions de personnes, notamment les
albinos, à des fins de sacrifices humains.
Le pays sort d'une décennie de crise politico-militaire, dont les violences
postélectorales de 2010-2011 ont constitué l'épilogue, faisant plus de 3000
morts en cinq mois. Il choisira son futur président en octobre prochain.
En attendant un autre brouteur, assassin présumé a été arrêté à Attékoubé. Cette facilité avec laquelle ils se font prendre, me donne l'impression que bientôt on aura plus d'assassins que d'enfants manquant à l'appel. Aurons la période "assassins" après la période longue des "faiseurs de coup d'état" ?
Shlomit
En savoir plus sur http://re.ivoire-blog.com/#tPURGSrcCQHwRGvO.99
Abidjan (Côte d’Ivoire) - bilan officiel d’enlèvement et de mutilation d’enfants« 25 cas avérés» dont « 5 cas de découvertes d’enfants mutilés et 20 cas de cadavres», a annoncé hier, mercredi 28 janvier 2015, le gouvernement par le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko . — avec Djagoyouwle Ogbawoli II
#sosenfantsendanger : TENTATIVE D’ENLÈVEMENT D'ENFANTS A MARCORY. UN TÉMOIN RACONTE LES FAITS
Les faits se déroulent aux environs de 12h gmt. Juste avant le commissariat du 9 ème arrondissement de #marcory vers #gmcmarcory.
Les passants vite alertés bloquent la voiture et font signe à des policiers qui appréhendent le suspect.
Pendant que les enfants interrogés disent qu'ils connaissaient pas le conducteur et que ce dernier n'était pas leur père, celui ci affirme le contraire.
L'un des enfants donne le numéro de leur père pour qu'il soit prévenu.
Un passant qui a identifié les enfants comme étant élèves d'une école primaire voisine confirme que le conducteur n'est pas le père des enfants.
Vite le suspect est appréhendé par les éléments de la police du 9è arrondissement... Ce qui a créé un attroupement devant le commissariat.
URGENT ! URGENT ! URGENT !C'Est une famille inconsolable que nous avons eu droit de rencontrer hier dans les environs de 18 H au quartier SIDECI de YOPOUGON. Deux de ses enfants allés à l'ecole le jeudi matin à 8 Heures ne sont plus rentrés en famille jusqu'à ce jour. Le phénomène d'enlevement d'enfants prend de l’ampleur de jour en jour et il faut que les ivoiriens soient très prudents en ce qui concerne la sortie de leurs enfants.Car l’émergence du mossi OUATTARA se signale ainsi.
23/12/2014
Yopougon–Koweït/Crime crapuleux : Le maire
apporte sa compassion à la famille eploréehttp://leblogdelamairiedeyopougon.ivoire-blog.com/media/02/01/401998141.JPG
A Yopougon,
quartier Koweït, Meless Essoh Emmanuel, un jeune garçon de 5 ans avait été
crapuleusement assassiné dans la nuit du 06 au 07 décembre 2014 par un inconnu,
l’œuvre, dit-on, d’un « brouteur », un cyber arnaqueur.
Ce crime odieux avait
jeté une écharpe de plomb au sein des habitants du quartier, plus
précisément dans la communauté Adjoukrou de Koweït.
Le Député-maire Gilbert
Koné KAFANA, soucieux du bien-être et de la sécurité dans sa commune s’est
rendu le lundi 22 décembre 2014 à Koweït afin d’apporter sa compassion aux
parents de la victime, monsieur Nanou Meless et dame Dade Yowel, son
épouse et à toute la communauté Adjoukrou du quartier.
« Je suis
profondément attristé et révolté par ce crime odieux. Je suis venu exprimer à
la communauté Adjoukrou les condoléances du Conseil Municipal et demander au
père d’accepter ce sort tragique car seul Dieu sait pourquoi un tel malheur
s’abat sur nous les humains. ».
Le maire exprimant sa
solidarité envers la communauté Adjoukrou a remis la somme de 600 000 F
CFA au couple, éploré, dont 50 000 F CFA à la chefferie et
50 000 autres à la communauté Adjoukrou du quartier pour dit le maire
« que la famille essuie ses larmes » comme c’est la tradition
en Afrique .
Emu par ce geste de
solidarité et de partage, le chef central de la communauté endeuillée a
remercié le maire pour cet acte « d’amour » envers les populations de
Koweït.
Service Média et
Multimédia, Mairie de Yopougon.
En savoir plus sur http://leblogdelamairiedeyopougon.ivoire-blog.com/archive/2014/12/23/mairie-de-yopougon-ceremonie-de-remise-de-prises-en-charge-s-454412.html#uwkle1WKmLLWeddT.99
Côte d'Ivoire: Nouvel assassinat d'un enfant à Yopougon, le
criminel arrêté
· dimanche, 14 décembre 2014 14:05
Nouvelle horreur dans la comme de Yopougon à
Abidjan. Un enfant de 9 ans a été découvert mort la gorge tranchée dans
un marché samedi matin. Le criminel a été arrêté et conduit au poste de police
du 19 éme arrondissement comme rapporté par des policiers à Koaci.com.
Ça ne s'arrête pas et le nouveau phénomène s'intensifie. Samedi matin la police a encore découvert un nouveau corps sans vie dans la commune de Yopougon au quartier Koweit. Il s'agit d'un enfant de sexe masculin âgé de 9ans. Le corps a été découvert très tôt le matin dans un marché.
Les traces encore fraîches prouvent que l'opération s'est faite dans la nuit. En effet à l'arrivée de la police ce matin le corps gisait encore dans une mare de sang.
C'est toujours le même mode opératoire selon la police du 19ème arrondissement. Le corps porte plusieurs entailles à différentes parties et la gorge a complètement été tranchée. L'arme du crime est très certainement la machette, comme constaté.
Avant de savoir si l'homme arreté est une fois de plus un "brouteur", l'innocente victime n'a pas encore été identifiée, car sa disparition n'avait pas, pour l'heure, été signalée.
Adriel, Abidjan
Ça ne s'arrête pas et le nouveau phénomène s'intensifie. Samedi matin la police a encore découvert un nouveau corps sans vie dans la commune de Yopougon au quartier Koweit. Il s'agit d'un enfant de sexe masculin âgé de 9ans. Le corps a été découvert très tôt le matin dans un marché.
Les traces encore fraîches prouvent que l'opération s'est faite dans la nuit. En effet à l'arrivée de la police ce matin le corps gisait encore dans une mare de sang.
C'est toujours le même mode opératoire selon la police du 19ème arrondissement. Le corps porte plusieurs entailles à différentes parties et la gorge a complètement été tranchée. L'arme du crime est très certainement la machette, comme constaté.
Avant de savoir si l'homme arreté est une fois de plus un "brouteur", l'innocente victime n'a pas encore été identifiée, car sa disparition n'avait pas, pour l'heure, été signalée.
Adriel, Abidjan
Côte d’Ivoire :
Disparition Et Assassinat D’enfants, Un Fléau Qui Grandit
AUTEUR SOURCE
Cette
image qui vient d’être publiée par un ami virtuel sur facebook serait celle
d’un de ces nombreux enfants disparus dans notre pays en cette fin d’année.
Il y’a
quelques jours j’ai dans une publication interpelé les autorités sur ce
phénomène de disparition d’enfants sur fond de crimes rituels, phénomène qui a
atteint le seuil du tolérable. Et j’avais proposé l’instauration de la peine
capitale pour tous ces lugubres et démoniaques individus impliqués dans
cette maléfique filière. Il est écœurant de constater le silence coupable et
complice des plus hautes autorités de ce pays face à cette abomination frappant
des enfants de ce pays. Plus exécrable que le travail des enfants dans nos
plantations de cacao, le phénomène des grossesses en milieu scolaire, l’usage
de la chicote à l’école et je ne sais quoi encore. Où sont les ministres de la
solidarité de la femme et de l’enfant, de l’éducation nationale ? Que dit notre
généreuse première dame, toujours soucieuse du sort des enfants de ce pays ?
Qu’attendent les ministres concernés pour faire une communication à ce sujet en
conseil de ministre ? En tout cas ce combat ne fait que commencer sur les
réseaux sociaux. Et si demain, nous devrons battre le pavé pour interpeler, nous
le ferons. Et nous mènerons ce combat avec toutes âmes charitables et sensibles
à la cause des enfants.
Abi-Daman
Kone
Les
enfants disparus : morts et mutilés
Les disparitions d'enfants , probablement sacrifiés à des
divinités et forces des ténèbres pour apporter chance, gloire et prospérité à
des individus qui préfèrent sacrifier des petites victimes innocentes et
inconnues, sont légion, il n'est pas un jour sans fait divers de la sorte. Tout
cela parce que nos politiques d'aujourd'hui sont en réseaux mafieux et
francs-maçons, et que leurs disciples veulent les imiter, facilement, sans trop
de travail, se collant sur la sueur et le sang des autres.Shlomit
Bénitier Mareau, 5 ans |
Jean Aurélien Koffi, 5 ans |
Les enfants disparus, retrouvés
morts et mutilés © koaci.com – Mercredi 10 décembre 2014 -
Le petit Mareau Bénitier enlevé samedi dernier à Yopougon Toit Rouge quartier gendarmerie a été retrouvé mort, mutilé mardi soir à Attecoubé apprend koaci.com de source familiale.
Dimanche soir, les policiers de Yopougon arrêtaient un jeune homme dans le quartier Toit Rouge, dénoncé pour avoir été aperçu avec l'enfant disparu. Ce dernier, qui aurait déjà avoué être à l'origine de l'enlèvement, est actuellement en détention à la MACA, il devrait être présenté à un juge ce mercredi à Yopougon. Dans le quartier on considère le suspect dénommé Bolé Kodo Frédy comme un "brouteur". Son surnom de brouteur est "Séké".
Le drame survient trois jours après la découverte du corps d'un autre enfant. Jean Aurélien Koffi lui aussi enlevé. Il avait également été retrouvé mort, mutilé samedi dernier dans la lagune du côté de Yopougon.
Les deux corps retrouvés présentaient les mêmes caractéristiques, les parties génitales sectionnées comme indiqué à koaci.com par les policiers de la principale commune d'Abidjan.
Ces derniers privilégient la thèse de criminels rituels et dont les crimes seraient en rapport avec les fêtes de fin d'année.,,En avril dernier un groupe qui sévissait dans la zone de Gesco à Yopougon avait été localisé par les forces de l'ordre. Ces dernières n'avaient pu mettre la main sur eux après la découverte du corps d'un enfant, enlevé à Gesco en début de soirée et retrouvé mutilé deux jours après dans un fossé non loin de Dabou.
Les brouteurs, de plus en plus nombreux et désormais dans quasi toutes les communes d'Abidjan sont bien souvent encouragés voire vénérés par la société, notamment par les artistes DJ qui constamment les valorisent dans leurs chansons. Ils s'en remettent désormais au sang pour accentuer l'efficacité de leur activité criminelle.
Ayant pignon sur rue, au yeux et su de tous ils paradent ostensiblement dans les discothèques d'Abidjan sans être inquiétés par les forces de l'ordre, passives au delà d' "arrestations coup de com' " et bien souvent de petits brouteurs. Leurs signes extérieurs de richesse soudains en font pourtant des suspects faciles à attraper mais la police ivoirienne semble peu enclin à enquêter sur l'origine de l'enrichissement de ces par ailleurs, chômeurs. Cette situation de passivité constatée par tous, tous les jours, pourrait être à l'origine de le croissance du phénomène.
Certains observateurs pensent que, compte tenu de la montée du chômage et de la galère des jeunes, l'Etat, incapable pour l'heure de proposer des solutions pour inverser la tendance, préfère tacitement fermer les yeux voire laisser faire au même titre que les nombreuses activités illégales comme les taxis banalisés ou les commerces de rue.,,Par ailleurs, alors que des pays comme le Gabon se sont engagés dans la lutte, à l'image d'autres, le crime rituel est une réalité tue en Côte d'Ivoire, comme si le système ne voulait le voir et ne pouvait le combattre.
En attendant, les deux nouvelles petites victimes innocentes en même pas une semaine viennent rappeler à la vigilance permanente dans un pays qui peine à assurer la sécurité de ses concitoyens.,,Depuis la fin de la crise, le phénomène de criminalité liée au "broutage" prend des proportions inquiétantes et jamais vues. Face à cette menace permanente nombre se sentent aussi impuissants que livrés à eux même quand ça les frappe.
Akissi Kouamé, Abidjan,
Koaci
Le petit Mareau Bénitier enlevé samedi dernier à Yopougon Toit Rouge quartier gendarmerie a été retrouvé mort, mutilé mardi soir à Attecoubé apprend koaci.com de source familiale.
Dimanche soir, les policiers de Yopougon arrêtaient un jeune homme dans le quartier Toit Rouge, dénoncé pour avoir été aperçu avec l'enfant disparu. Ce dernier, qui aurait déjà avoué être à l'origine de l'enlèvement, est actuellement en détention à la MACA, il devrait être présenté à un juge ce mercredi à Yopougon. Dans le quartier on considère le suspect dénommé Bolé Kodo Frédy comme un "brouteur". Son surnom de brouteur est "Séké".
Le drame survient trois jours après la découverte du corps d'un autre enfant. Jean Aurélien Koffi lui aussi enlevé. Il avait également été retrouvé mort, mutilé samedi dernier dans la lagune du côté de Yopougon.
Les deux corps retrouvés présentaient les mêmes caractéristiques, les parties génitales sectionnées comme indiqué à koaci.com par les policiers de la principale commune d'Abidjan.
Ces derniers privilégient la thèse de criminels rituels et dont les crimes seraient en rapport avec les fêtes de fin d'année.,,En avril dernier un groupe qui sévissait dans la zone de Gesco à Yopougon avait été localisé par les forces de l'ordre. Ces dernières n'avaient pu mettre la main sur eux après la découverte du corps d'un enfant, enlevé à Gesco en début de soirée et retrouvé mutilé deux jours après dans un fossé non loin de Dabou.
Les brouteurs, de plus en plus nombreux et désormais dans quasi toutes les communes d'Abidjan sont bien souvent encouragés voire vénérés par la société, notamment par les artistes DJ qui constamment les valorisent dans leurs chansons. Ils s'en remettent désormais au sang pour accentuer l'efficacité de leur activité criminelle.
Ayant pignon sur rue, au yeux et su de tous ils paradent ostensiblement dans les discothèques d'Abidjan sans être inquiétés par les forces de l'ordre, passives au delà d' "arrestations coup de com' " et bien souvent de petits brouteurs. Leurs signes extérieurs de richesse soudains en font pourtant des suspects faciles à attraper mais la police ivoirienne semble peu enclin à enquêter sur l'origine de l'enrichissement de ces par ailleurs, chômeurs. Cette situation de passivité constatée par tous, tous les jours, pourrait être à l'origine de le croissance du phénomène.
Certains observateurs pensent que, compte tenu de la montée du chômage et de la galère des jeunes, l'Etat, incapable pour l'heure de proposer des solutions pour inverser la tendance, préfère tacitement fermer les yeux voire laisser faire au même titre que les nombreuses activités illégales comme les taxis banalisés ou les commerces de rue.,,Par ailleurs, alors que des pays comme le Gabon se sont engagés dans la lutte, à l'image d'autres, le crime rituel est une réalité tue en Côte d'Ivoire, comme si le système ne voulait le voir et ne pouvait le combattre.
En attendant, les deux nouvelles petites victimes innocentes en même pas une semaine viennent rappeler à la vigilance permanente dans un pays qui peine à assurer la sécurité de ses concitoyens.,,Depuis la fin de la crise, le phénomène de criminalité liée au "broutage" prend des proportions inquiétantes et jamais vues. Face à cette menace permanente nombre se sentent aussi impuissants que livrés à eux même quand ça les frappe.
Akissi Kouamé, Abidjan,
Koaci
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Chers
parents,Un phénomène qui n’est pas nouveau est entrain de revenir à grande vitesse dans notre société. Je ne sais pas si cela est lié au mois de décembre, à la fin de l’année, au broutage ou même aux préparations des élections 2015, mais toujours est-il que le mysticisme y est pour quelque chose.
Je parle de l’enlèvement et de la disparition des enfants.
Ce phénomène devient de plus en plus récurrents. Le gouvernement ne peut pas tout faire.
Je demande aux parents d’être très vigilant, de donner des consignes de sécurité à la maison et de veiller à l’éducation des enfants pour ne pas qu’ils suivent des inconnus.
Chers amis, je souhaite aussi que chacun d’entre nous, donne des techniques de prévention afin que nous les partagions ensemble.
Cela n’arrive pas qu’aux autres.
Merci
Yasmina Ouegnin
image: http://re.ivoire-blog.com/media/02/01/2876571080.jpg
Yopougon / Disparu le 1er Décembre : Un élève de 9 ans retrouvé mort et vidé de son sang
Dans sa
publication du mercredi 03 décembre 2014, votre quotidien “Le Sursaut’’ donnait
l’information relative à la disparition de l’enfant Jean Aurélien David Koffi
âgé de 9 ans,en classe de CM1. Le bout de chou a malheureusement été retrouvé
mort et vidé de son sang samedi dernier, dans l’après-midi à Lokoua village.
Selon des témoins, l’enfant portait plusieurs coups de couteau sur le corps. Il aurait été étranglé auparavant avant d’être vidé de son sang. Selon un ami de la famille joint au téléphone hier, en début d’après-midi, c’est le commissariat du 17ème arrondissement qui, alerté par les habitants de Lokoua village, a appelé Jean-Claude Koffi, le père de l’enfant pour procéder à l’indentification du corps.
Pour rappel, ce lundi 1er décembre 2014, Jean-Claude Koffi le père de l’infortuné petit garçon s’était rendu au groupe scolaire LKM, en compagnie de la nounou pour y récupérer son fils. Le temps de garer sa voiture, la nounou l’avait déjà précédé dans l’enceinte de l’établissement.
Elle revenait avec l’enfant quand celle-ci aurait dit à l’enfant, selon les propres termes du père de l’enfant, que nous avons rencontré par hasard le mardi 2 décembre à Yopougon: «ton papa est là». C’est ainsi que l’enfant se serait échappé des mains de la nounou pour se fondre dans la foule d’écoliers.
Depuis, on ne l’a plus retrouvé jusqu’à ce samedi 6 décembre, où son corps a été découvert sans vie à Lokoua village. Pour l’heure, personne ne sait qui sont les auteurs de ce crime crapuleux. En attendant que les fins limiers de la Police ne livrent le résultat de leur enquête, “Le Sursaut’’ présente ses condoléances à la famille Koffi.
Jean Philippe Okann
Selon des témoins, l’enfant portait plusieurs coups de couteau sur le corps. Il aurait été étranglé auparavant avant d’être vidé de son sang. Selon un ami de la famille joint au téléphone hier, en début d’après-midi, c’est le commissariat du 17ème arrondissement qui, alerté par les habitants de Lokoua village, a appelé Jean-Claude Koffi, le père de l’enfant pour procéder à l’indentification du corps.
Pour rappel, ce lundi 1er décembre 2014, Jean-Claude Koffi le père de l’infortuné petit garçon s’était rendu au groupe scolaire LKM, en compagnie de la nounou pour y récupérer son fils. Le temps de garer sa voiture, la nounou l’avait déjà précédé dans l’enceinte de l’établissement.
Elle revenait avec l’enfant quand celle-ci aurait dit à l’enfant, selon les propres termes du père de l’enfant, que nous avons rencontré par hasard le mardi 2 décembre à Yopougon: «ton papa est là». C’est ainsi que l’enfant se serait échappé des mains de la nounou pour se fondre dans la foule d’écoliers.
Depuis, on ne l’a plus retrouvé jusqu’à ce samedi 6 décembre, où son corps a été découvert sans vie à Lokoua village. Pour l’heure, personne ne sait qui sont les auteurs de ce crime crapuleux. En attendant que les fins limiers de la Police ne livrent le résultat de leur enquête, “Le Sursaut’’ présente ses condoléances à la famille Koffi.
Jean Philippe Okann
Le Sursaut
Côte d'Ivoire: Un nouvel enfant enlevé retrouvé mort mutilé à Abidjan, un
brouteur arrêté
© koaci.com – Mercredi
10 décembre 2014 - Le petit enlevé samedi dernier à Yopougon Toit Rouge quartier gendarmerie a été retrouvé mort mutilé mardi soir à Attecoubé apprend koaci.com
de source familiale.
Dimanche soir, les policiers de Yopougon arrêtaient un jeune homme dans le quartier Toit Rouge, dénoncé pour avoir été aperçu avec l'enfant disparu. Ce dernier, qui aurait déjà avoué être à l'origine de l'enlèvement, est actuellement en détention à la MACA, il devrait être présenté à un juge ce mercredi à Yopougon. Dans le quartier on considère le suspect dénommé Bolé Kodo Frédy comme un "brouteur". Son surnom de brouteur est "Séké".
Le drame survient trois jours après la découverte du corps d'un autre enfant. Jean Aurélien Koffi lui aussi enlevé. Il avait également été retrouvé mort mutilé samedi dernier dans la lagune du côté de Yopougon.
Les deux corps retrouvés présentaient les mêmes caractéristiques, les parties génitales sectionnées comme indiqué à koaci.com par les policiers de la principale commune d'Abidjan.
Ces derniers privilégient la thèse de criminels rituels et dont les crimes seraient en rapport avec les fêtes de fin d'année.
En avril dernier un groupe qui sévissait dans la zone de Gesco à Yopougon avait été localisé par les forces de l'ordre. Ces dernières n'avaient pu mettre la main sur eux après la découverte du corps d'un enfant, enlevé à Gesco en début de soirée et retrouvé mutilé deux jours après dans un fossé non loin de Dabou.
Les brouteurs, de plus en plus nombreux et désormais dans quasi toutes les communes d'Abidjan sont bien souvent encouragés voire vénérés par la société, notamment par les artistes DJ qui constamment les valorisent dans leurs chansons. Ils s'en remettent désormais au sang pour accentuer l'efficacité de leur activité criminelle.
Ayant pignon sur rue, au yeux et su de tous ils paradent ostensiblement dans les discothèques d'Abidjan sans être inquiétés par les forces de l'ordre, passives au delà d' "arrestations coup de com' " et bien souvent de petits brouteurs. Leurs signes extérieurs de richesse soudains en font pourtant des suspects faciles à attraper mais la police ivoirienne semble peu enclin à enquêter sur l'origine de l'enrichissement de ces par ailleurs, chômeurs. Cette situation de passivité constatée par tous, tous les jours, pourrait être à l'origine de la croissance du phénomène.
Certains observateurs pensent que, compte tenu de la montée du chômage et de la galère des jeunes, l'Etat, incapable pour l'heure de proposer des solutions pour inverser la tendance, préfère tacitement fermer les yeux voire laisser faire au même titre que les nombreuses activités illégales comme les taxis banalisés ou les commerces de rue.
Par ailleurs, alors que des pays comme le Gabon se sont engagés dans la lutte, à l'image d'autres, le crime rituel est une réalité tue en Côte d'Ivoire, comme si le système ne voulait le voir et ne pouvait le combattre.
En attendant, les deux nouvelles petites victimes innocentes en même pas une semaine viennent rappeler à la vigilance permanente dans un pays qui peine à assurer la sécurité de ses concitoyens.
Depuis la fin de la crise, le phénomène de criminalité liée au "broutage" prend des proportions inquiétantes et jamais vues. Face à cette menace permanente nombre se sentent aussi impuissants que livrés à eux même quand ça les frappe.
Akissi Kouamé, Abidjan
Sur le même sujet: Côte d'Ivoire: Un enfan t de 10 ans tué et jété dans la lagune
Dimanche soir, les policiers de Yopougon arrêtaient un jeune homme dans le quartier Toit Rouge, dénoncé pour avoir été aperçu avec l'enfant disparu. Ce dernier, qui aurait déjà avoué être à l'origine de l'enlèvement, est actuellement en détention à la MACA, il devrait être présenté à un juge ce mercredi à Yopougon. Dans le quartier on considère le suspect dénommé Bolé Kodo Frédy comme un "brouteur". Son surnom de brouteur est "Séké".
Le drame survient trois jours après la découverte du corps d'un autre enfant. Jean Aurélien Koffi lui aussi enlevé. Il avait également été retrouvé mort mutilé samedi dernier dans la lagune du côté de Yopougon.
Les deux corps retrouvés présentaient les mêmes caractéristiques, les parties génitales sectionnées comme indiqué à koaci.com par les policiers de la principale commune d'Abidjan.
Ces derniers privilégient la thèse de criminels rituels et dont les crimes seraient en rapport avec les fêtes de fin d'année.
En avril dernier un groupe qui sévissait dans la zone de Gesco à Yopougon avait été localisé par les forces de l'ordre. Ces dernières n'avaient pu mettre la main sur eux après la découverte du corps d'un enfant, enlevé à Gesco en début de soirée et retrouvé mutilé deux jours après dans un fossé non loin de Dabou.
Les brouteurs, de plus en plus nombreux et désormais dans quasi toutes les communes d'Abidjan sont bien souvent encouragés voire vénérés par la société, notamment par les artistes DJ qui constamment les valorisent dans leurs chansons. Ils s'en remettent désormais au sang pour accentuer l'efficacité de leur activité criminelle.
Ayant pignon sur rue, au yeux et su de tous ils paradent ostensiblement dans les discothèques d'Abidjan sans être inquiétés par les forces de l'ordre, passives au delà d' "arrestations coup de com' " et bien souvent de petits brouteurs. Leurs signes extérieurs de richesse soudains en font pourtant des suspects faciles à attraper mais la police ivoirienne semble peu enclin à enquêter sur l'origine de l'enrichissement de ces par ailleurs, chômeurs. Cette situation de passivité constatée par tous, tous les jours, pourrait être à l'origine de la croissance du phénomène.
Certains observateurs pensent que, compte tenu de la montée du chômage et de la galère des jeunes, l'Etat, incapable pour l'heure de proposer des solutions pour inverser la tendance, préfère tacitement fermer les yeux voire laisser faire au même titre que les nombreuses activités illégales comme les taxis banalisés ou les commerces de rue.
Par ailleurs, alors que des pays comme le Gabon se sont engagés dans la lutte, à l'image d'autres, le crime rituel est une réalité tue en Côte d'Ivoire, comme si le système ne voulait le voir et ne pouvait le combattre.
En attendant, les deux nouvelles petites victimes innocentes en même pas une semaine viennent rappeler à la vigilance permanente dans un pays qui peine à assurer la sécurité de ses concitoyens.
Depuis la fin de la crise, le phénomène de criminalité liée au "broutage" prend des proportions inquiétantes et jamais vues. Face à cette menace permanente nombre se sentent aussi impuissants que livrés à eux même quand ça les frappe.
Akissi Kouamé, Abidjan
Sur le même sujet: Côte d'Ivoire: Un enfan t de 10 ans tué et jété dans la lagune
Côte d'Ivoire: Un enfant de 10 ans tué
et jété dans la lagune
© koaci.com – Lundi 08 Décembre 2014 –Ras de bol pour les enfants en cette
fin d'année. Un nouveau corps d'unenfant Rechercher enfant de 10 ans a été repêché dans la lagune samedi du côté de Yopougon, une commune d'Abidjan,
comme constaté par koaci.com.
Samedi soir dans la commune de Yopougon précisément dans le quartier de Lokoa, c'est à une nouvelle découverte macabre que les populations ont dû faire face. Le corps sans vie d'un petit garçon flottait sur l'eau de la lagune et était en décomposition très avancée.
Le corps a été retrouvé samedi soir aux environs de 18heures par des riverains et il s'agit d'un enfant de 10 ans en classe de cm1. La victime qui était en tenue kaki d'école se nomme Jean Koffi Aurélien et fréquente à l'école LKM de Yopougon Ananeraie. Sa disparition avait été signalée à la police lundi passé.
Le constat de la police privilégie l'hypothèse d'un enlèvement. Le môme aurait été enlevé sur le chemin de l'école puis tué avant d'être abandonné dans la lagune.
Malgré tout , celle-ci a décidé de pousser ses doutes encore plus loin pour tenter de situer les vraies circonstances de la mort du petit Aurélien de 10 ans qui laisse son père Jean Claude Koffi inconsolable. Lui qui avait très certainement préparer un cadeau pour son fils à l'approche de Noël.
Depuis un moment à Abidjan, les enfants sont la nouvelle cible des criminels, en moins de deux mois c'est la quatrième victime qu'on enregistre. La scène la plus atroce reste celle de la fillette de 12ans découpée à la machette en plein jour alors qu'elle allait vider sa poubelle.
Samedi soir dans la commune de Yopougon précisément dans le quartier de Lokoa, c'est à une nouvelle découverte macabre que les populations ont dû faire face. Le corps sans vie d'un petit garçon flottait sur l'eau de la lagune et était en décomposition très avancée.
Le corps a été retrouvé samedi soir aux environs de 18heures par des riverains et il s'agit d'un enfant de 10 ans en classe de cm1. La victime qui était en tenue kaki d'école se nomme Jean Koffi Aurélien et fréquente à l'école LKM de Yopougon Ananeraie. Sa disparition avait été signalée à la police lundi passé.
Le constat de la police privilégie l'hypothèse d'un enlèvement. Le môme aurait été enlevé sur le chemin de l'école puis tué avant d'être abandonné dans la lagune.
Malgré tout , celle-ci a décidé de pousser ses doutes encore plus loin pour tenter de situer les vraies circonstances de la mort du petit Aurélien de 10 ans qui laisse son père Jean Claude Koffi inconsolable. Lui qui avait très certainement préparer un cadeau pour son fils à l'approche de Noël.
Depuis un moment à Abidjan, les enfants sont la nouvelle cible des criminels, en moins de deux mois c'est la quatrième victime qu'on enregistre. La scène la plus atroce reste celle de la fillette de 12ans découpée à la machette en plein jour alors qu'elle allait vider sa poubelle.
Adriel, Abidjan
OPERATION RUBAN JAUNE
Demain JEUDI 28 JANVIER 2015, attachons tous un Ruban Jaune à notre poignée, sur les poignées des portes de nos voitures, de nos maisons ou de magasins en signe de protestation contre les enlèvements de nos enfants
28/01/2015
Les ivoiriens sont fatigués de vos publicités pompeuses d'émergence illusionniste, travaillez à la sécurité du peuple ivoirien, sinon dégagez !!!
Aucun des présumés kidnappeurs d'enfants n'a été appréhendé par la police. Ceux qui sont derrière les barreaux ont été mis hors d'état de nuire grâce à la vigilance de la population. Que font les autorités ? On autorise des marches charlie et on interdit aux mamans de crier leur désarroi face à l'incurie de nos gouvernants. Y-a-t-il un parti politique qui a fait ne serait ce qu'une déclaration pour dénoncer cette insécurité ?
On ne peut pas manger, on ne peut pas se soigner, nos enfants se font enlever et tuer impunément et le gouvernement parle de croissance. On nous parle de pont, d'éléphants qui jouent... Pffff
Galebahi Baroan
4 tueurs d'enfants arrêtés en trois jours .or donc on pouvait les arrêter et on les a laissé assassiner une vingtaine d'enfants. Comme ce n'est pas vos enfants qui sont concernés vous ne pouvez pas réagir tant qu'on ne vous met pas la pression .
Que vaut la vie d'un pauvre sous Ouattara ? Pffffffff
aidez nous a retrouver ses parents
partager cette photo au maximum
si vous le reconnaissez appelez-nous au 07 42 79 17
Puisque Anne Ouletto serait à l'origine de l'annulation de la marche, voyons ce que décidera sa collègue ministre Kandia Kamara pour endiguer cette fronde des parents...
Oui notre manifestation de protestation de ce matin contre les enlèvements d'enfants a été annulée .
Ne me demandez pas pourquoi,on me dit "annulée par décision ministérielle". Voyez vous, la première manifestation était une marche qui devrait avoir lieu le 21 janvier n'avait pas été autorisée parce que dit -on, les manifestations publiques seraient interdites. lolllll, pourtant la manifestation de "je suis Charlie " au plateau a été autorisée. Dites moi en quoi la manif de "je suis Charlie " est plus importante que notre manifestation???
Oui je viens de comprendre,vous ne vous sentez pas concernés par ces enlèvements, vos enfants sont tous en Europe,ceux qui sont avec vous dans vos châteaux et que vous transportez avec vos grosses voitures sous escorte, sont vos neveux et nièces.
Merci de nous rappeler notre pauvreté..
Vous étiez là, tapis dans un silence coupable, il aurait fallu que nous activions les réseaux sociaux pour crier notre indignation avant que vous ne vous n 'interveniez à la télé pour raconter " que jusqu à ce jours,nous avons enregistré 21 enlèvements d'enfants et seulement 1 a été retrouvé vivant
" ah ah ah donc vous saviez qu'on enlevait nos enfants ????
et vous êtes restés muets tout ce temps ????
Comme solution,vous nous donnez un numéro vert sur lequel appeler,lollllll le 116 qu'on doit appeler c'est pour quoi au juste?
dans le mois de décembre ,un homme s'est noyé à Bassam,nous avions appelé les pompiers à 10h, ils sont arrivés à 15 h ,au finish il y a eu 3 morts parce que les 2 volontaires qui sont allés en sauvetage ont été aussi emportés par la mer.
Juste vous dire que nous savions que vous ne pourriez pas faire grande chose pour nous, mais peut être ensemble vous et nous, nous pourrons venir à bout de ce phénomène . Vous voulez nous emmener à choisir entre notre boulot et nos enfants .Parce que ce sera difficile de garder nos boulots si nous devons accompagner et récupérer nos enfants chaque jours à l’école.
En attendant que vous vous intéressiez véritablement à ce fléau traumatisant pour nous, je crois que je vais retirer mon bébé de l’école. De toutes façon pour faire des études,il faut être vivant !!! je le veux saint et sauf à mes côtés ce petit gars , donc plus d’école pour lui jusqu'à nouvel ordre ; je vous attend donc avec votre affaire d'école obligatoire !
Je lance donc l'opération retrait de nos enfants des écoles pour une semaine car pour aller à l'école il faut être vivant.
Donc comme les autorités ne peuvent rien faire pour nous, par des décisions qui vont dans l'intérêt du peuple,
J’appelle chaque citoyen à être responsable car cela n'arrive pas qu'aux autres.
Soyons nos propres policiers car les autorités viennent de montrer qu'ils sont par là pour nous.
Emmanuel Nathan
Les dessous d’un cri du cœur
http://re.ivoire-blog.com/archive/2015/01/28/les-dessous-d-un-cri-du-coeur-455806.html
La première dame blonde, au sourire intemporel a ouvert la bouche hier pour taper sur la table et demander aux parents de bien veiller sur leurs enfants, la cible d’assassins. Tout le monde est en émoi parce que en l’espace de deux mois, plus de 20 enfants ont disparu ; leurs corps mutilés et martyrisés retrouvé pour la plupart. Alors que tous les parents sont en alerte, voilà qu’en deux jours seulement, la super-police a réussi à mettre la main sur des assassins, des brouteurs, diplômés es machettes. Ô miracle, en 24h chrono, ce ne sont pas moins de 5 tueurs et voleurs d’enfants que l'on arrête, alors que les massacreurs identifiés de Duékoué, Nahibly et autres sites martyrs n'ont pas été retrouvés. Merci donc à la police de cet état de droit qu’est la Côte d’Ivoire du beau vivre ensemble d’avant les élections apaisées, transparentes et sans violences!
La première dame blonde, au sourire intemporel a ouvert la bouche hier pour taper sur la table et demander aux parents de bien veiller sur leurs enfants, la cible d’assassins. Tout le monde est en émoi parce que en l’espace de deux mois, plus de 20 enfants ont disparu ; leurs corps mutilés et martyrisés retrouvé pour la plupart. Alors que tous les parents sont en alerte, voilà qu’en deux jours seulement, la super-police a réussi à mettre la main sur des assassins, des brouteurs, diplômés es machettes. Ô miracle, en 24h chrono, ce ne sont pas moins de 5 tueurs et voleurs d’enfants que l'on arrête, alors que les massacreurs identifiés de Duékoué, Nahibly et autres sites martyrs n'ont pas été retrouvés. Merci donc à la police de cet état de droit qu’est la Côte d’Ivoire du beau vivre ensemble d’avant les élections apaisées, transparentes et sans violences!
Mais revenons au discours de dame Ouattara qui semble être ce « cri jailli du cœur », comme l'écrivent les médias dominants. Ce texte rendu public par la Présidence, signé par l'épouse de Ouattara, -qu’il soit une composition personnelle ou la prose d'un quelconque scribe de son SerCom-, n'est pas l’œuvre d’un artiste de la plume, mais un « jaillissement » spontané de sa révolte, de son indignation, immédiatement repris en cœur par les commentaires d’abonnés de son fan club FaceBook qui rajoutent des strophes au refrain de la patronne, alors qu’ils ne s’expriment jamais pour donner leur avis sur d’autres causes, accoutumés probablement à la piécette sonnante et trébuchante qui tombe lorsqu’ils encensent la première dame, dans ses moindres faits et gestes, allant même jusqu’à la complimenter dans toutes ses toilettes et toutes ses fréquentations.
Oui cette lettre aurait pu jaillir spontanément de son cœur de mère et de grand-mère, comme elle l’écrit, si elle avait poussé son cri bien plus tôt, il y a plusieurs jours, voire plusieurs semaines déjà ; lorsque la maman du petit Bénitier, -disparu puis retrouvé mort et mutilé- s’était exprimée à la télévision le 13 janvier dernier dans l’émission « C’est midi » de la RTI1. Ce jour là, elle racontait son calvaire et s’indignait de l’indifférence générale en haut lieu face à ce drame, face au drame d’autres parents dans la même situation. Merci là encore aux journalistes d’avoir déjà à cette date relayé la douleur et l’inquiétude des familles, alors que les politiques étaient toujours encore muets.
Ces jours derniers, madame Ouattara était certainement trop occupée dans ses nombreux déplacements à l’étranger à côtoyer le beau monde de la diplomatie internationale et du business pour lancer son cri du cœur. Elle qui n’offre sa présence à Abidjan qu’entre deux avions, choisit de nous interpeller pendant une escale un peu plus longue, et en appelle à la réactivité et au pragmatisme du gouvernement via ses grands amis Hamed Bakayoko, l’homme au sensuel baisemain, et Anne Ouletto toujours présente à ses distributions de cadeaux et bon points aux populations défavorisées.
Mais face à tous ces meurtres non résolus et cette insécurité chronique depuis l'installation en grande pompe du certifié gagnant des élections de 2010, on aimerait toucher du doigt une véritable recherche de la vérité, palper un embryon de justice qui enfin prendrait forme.
Que nenni! Il suffit d'entendre les échos des procès en cours des « pro Gbagbo » qui filtrent dans la presse, pour comprendre que le faux témoignage est une valeur très cultivée sous les nouveaux tropiques ivoiriens, que la vérité est une denrée rare, que « cher frère, chère sœur » dans la bouche Dominique Ouattara s'adresse avant tout à une population bien ciblée, laissant de côté les nombreux autres sœurs et frères et leurs enfants en exil, en prison, trois pieds sous terre, et j'en passe.
Mais voilà, la responsable locale de l'Unicef, madame Adèle Khudr a sorti son communiqué avant notre première Dame, la veille déjà, exhortant le gouvernement non pas à se secouer, mais comme d'habitude à faire dans la Com "L’institution invite également le gouvernement à prendre des mesures pour sensibiliser les populations sur ce phénomène qui prend de l’ampleur pour réduire les risques d’enlèvements d’enfants et à renforcer le dispositif national d’alerte et de recherche en cas de disparition".
Donc notre première dame, à la tête d'une fondation très sérieuse, sponsorisée par les laboratoires et les grands de ce monde, œuvrant nuit et jour pour le bien être des enfants, -il y a des photos, des reportages (Paris-Match pour ne citer que lui) et même livre dithyrambique pour en témoigner, se devait-elle aussi de sortir rapidement de sa léthargie de Blonde au Bois Dormant, ne serait-ce que pour ajouter une deuxième voix aux couplets de sa collègue de l'Unicef.
Bien sûr, comme d’habitude, la voix sera douce, suave, ensorcelante, notre mère Teresa bis ne dérangera pas le ronron de la classe politique ivoirienne qui s'est mobilisée comme un seul homme pour protester contre la boucherie de Charlie Hebdo et de la supérette casher à plus de 6000km de là, mais qui est demeurée muette devant la boucherie quotidienne en Côte d'Ivoire, qui n'émeut pas, n'émeut plus…
Comment vibrer aux belles phrases de dame Dominique, entrecoupées peut-être de sanglots, alors que cette dame ne peut qu’être complètement solidaire d'un gouvernement sourd et muet, qui a osé refuser aux parents martyrs l’autorisation de se mobiliser, de manifester pour dénoncer ces abominables crimes d'enfants, exiger des enquêtes sur leurs auteurs et leurs commanditaires. Comment peut-elle crier une douleur en harmonie avec les familles endeuillées et toutes les autres qui craignent pour la vie de leurs enfants, en cautionnant la sécheresse et l’indifférence de ceux-là même qu’elle appelle à la réactivité et au pragmatisme, après ce N ième refus d’une marche pour attirer l’attention de tous les Ivoiriens, grands et petits confondus et de dénoncer une côte d’Ivoire de l’injustice, de la pauvreté, de la violence, du chômage et de l’absence de prise en charge médicale ? Certaines voix affirment même que ce serait sa grande amie Anne Ouletto qui serait à l’origine de ces interdictions de manifester !
Décidément la comédie politique ivoirienne, version grosse farce macabre a encore de beaux jours devant elle! La blonde actrice, à l’allure de Walkyrie, dans son message larmoyant, saura-t-elle faire diversion aujourd’hui et demain, en serrant sur sa poitrine non plus des enfants, -ils sont morts-, mais des parents inconsolables et traumatisés et en leur remettant non pas un chèque de micro crédit au macro remboursement, mais la promesse d’une indemnisation financière qui couvrira ou peut-être pas les obsèques. Et cette promesse reste toujours hypothétique, car si on prend la liste des Ivoiriens « pro-Gbagbo », promis au dégel de leurs avoirs, il semble bien que ce dégel, non amorcé soit en passe de se solidifier encore, le journaliste Paul Dokoui n’a-t-il pas affirmé hier qu’il n’avait encore rien remarqué du dégel de ses avoirs, une semaine après le déblocage des comptes ?
C’est normal, me direz-vous puisque les regards de nos décideurs sont encore et toujours braqués sur une France hivernale, qui subit la neige, le froid et le verglas. Mais attention, même à des milliers de kilomètres de la métropole, tous les dérapages ivoiriens ne seront peut-être pas contrôlés. Il faudrait bien que le gouvernement cesse de prendre les ivoiriens dans la peine et la douleur pour d’éternels moutons du sacrifice. Trop c’est trop !
Shlomit Abel, 28 janvier 2014
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Enlèvement d’enfants, le cri d’alerte de la Première Dame
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POURQUOI ASSISTEZ-VOUS AU MASSACRE DES ENFANTS IVOIRIENS SANS RÉAGIR ? AVEZ-VOUS UN DÉSIR DE DEVENIR DIEU AVEC LES SACRIFICES HUMAINS D’ENFANTS EN CÔTE D'IVOIRE ?
https://www.facebook.com/maitrenamoryfatogoma.dosso/posts/10152765392373541?pnref=story
Je viens de lire encore ce matin le récit foudroyant d’un père de famille enlevé très tôt ce matin à Yopougon, criant au secours et appelant à l’aide devant les premières femmes au marché qui étaient médusées et complètement impuissantes, ne pouvant l’aider. Ce père de famille se rendait à son lieu de travail quand il a été accosté et forcé dans une 4X4 aux vitres teintées pendant qu’il criait qu’il a une femme et des enfants par les nouveaux anges de la mort qui ont pris en otage le Sud de la Côte d’Ivoire et ont remplacé la rébellion d’Alassane Ouattara pour continuer à terroriser le Sud. Ce pauvre père de famille a été retrouvé quelques heures plus tard mort et dépecé comme du bétail avec des membres et des organes en moins. Lire cette histoire m’a déchiré le cœur.
Je viens de lire encore ce matin le récit foudroyant d’un père de famille enlevé très tôt ce matin à Yopougon, criant au secours et appelant à l’aide devant les premières femmes au marché qui étaient médusées et complètement impuissantes, ne pouvant l’aider. Ce père de famille se rendait à son lieu de travail quand il a été accosté et forcé dans une 4X4 aux vitres teintées pendant qu’il criait qu’il a une femme et des enfants par les nouveaux anges de la mort qui ont pris en otage le Sud de la Côte d’Ivoire et ont remplacé la rébellion d’Alassane Ouattara pour continuer à terroriser le Sud. Ce pauvre père de famille a été retrouvé quelques heures plus tard mort et dépecé comme du bétail avec des membres et des organes en moins. Lire cette histoire m’a déchiré le cœur.
Comme si cela n’était pas suffisant, il y a eu aussi un autre cas au Plateau Dokui ; une jeune fille retrouvée morte, elle aussi dépecée comme du bétail, avec des organes en moins. Ainsi de suite, dans chaque commune il y a presqu’un récit similaire quasi quotidiennement depuis un bon moment. La psychose a gagné la capitale, et le reste des régions du Sud du pays. C’est comme si la guerre et la rébellion n’étaient jamais fini. Ouattara a eu enfin ce qu’il voulait, mais les tueries continuent. Et les victimes sont toujours les mêmes, les gens du sud. Ils ont fait 10 ans de guerre et de rebellions, ils ont massacré des milliers d’innocents, quel pouvoir cherchent-ils encore en sacrifiant les enfants des gens ??? C’est une question de taille et on aimerait bien avoir une réponse. Ouattara cherche quel pouvoir encore ?? Il veut être Dieu ?
Ce régime vous a massacrés pendant 10 ans pour accéder au pouvoir. Une fois au pouvoir, les tueries ne se sont pas arrêtées. Si ce n’est pas un FRCI qui tire sur quelqu’un ici à Abidjan, c’est un dozo qui abat des villageois pour prendre leurs plantations. Ou un burkinabé dans le Mont Péko qui tue des ivoiriens pour arracher leurs terres. Sinon c’est un brouteur qui enlève un ou des enfants là-bas, quelque part dans un quartier ou une commune d’Abidjan pour des rituels de sacrifices humains. Le Président Bédié et tous les alliés de Ouattara seront comptables des crimes et dérives de son régime le moment venu. Ils devront répondre au même titre que lui pour tous les crimes et assassinats. Le RDR répondra assurément.Aucun régime n’est éternel et le jour du jugement arrivera tôt ou tard comme avec le tristement célèbre Augusto Pinochet et bien d’autres ; tous les alliés de Ouattara devront répondre pour les enfants enlevés, tués et mutilés sous ce régime. En attendant, la question demeure et elle reste posée : en faisant enlever, tuer et mutiler des enfants, adolescents et adultes innocents pour des rituels de sacrifices humains, Ouattara et le RDR cherchent quoi encore comme pouvoir ??? Ils ont déjà tous les pouvoirs en Côte d’Ivoire. Il n’y a même plus d’opposition ; l’opposition n’existe que de nom. Ils ont utilisé leur justice pour casser et briser l’opposition en lui dictant qui doit être son chef.
La Côte d’Ivoire doit être le SEUL et UNIQUE pays au monde où la justice se mêle de « la cuisine interne » de l’unique parti d’opposition et lui dicte qui peut et qui ne peut pas être son président. C’est un évènement sans précédent dans le monde ; ça donne froid dans le dos quand on pense que ce type a pris les armes et massacré des milliers d’innocents pendant dix ans avec l’aide de l’ONU et la France pour, dit-il, apporter la démocratie en Côte d’Ivoire. Pour ceux qui doutaient encore, c’est bien la preuve ultime, incontestable et indéniable de ce que Alassane Ouattara est un TYRAN pur et dur qui ne veut entendre aucun son discordant. Vous avez muselé tout le monde. Personne ne parle, tout le monde a peur. Alors les sacrifices humains, c’est pourquoi ? Vous voulez devenir Dieu ??? Ou bien Jean-Paul Sartre a-t-il vraiment raison quand il soutient que « l’homme est fondamentalement désir d’être Dieu ». Sartre parlait-il d’Alassane Ouattara ? Simone Veil serait foudroyée et en aurait le cœur meurtri de la pensée unique imposée en Côte d’Ivoire par la force des armes.
Vous voulez donc être Dieu certainement parce-que vous avez déjà TOUS les pouvoirs dans le pays. Votre ministre de l’intérieur Hamed Bakayoko n’a jamais entendu parler des droits de l’homme ; il a droit de vie et de mort sur toutes les personnes qu’il arrête. Et il exerce volontiers ce droit car tous ses détenus reviennent des prisons morts, mourants, traumatisés, physiquement ou moralement éprouvés et brisés, ou sévèrement mutilés, diminués, inaptes et handicapés à force de tortures, de traitements cruels, inhumains, inhabituels et rares de par leur caractère violent. Alassane Dramane Ouattara a-t-il un désir de devenir Dieu ? La question mérite d’être posée car la pratique des dictateurs qui veulent devenir Dieu lui-même n’est pas rare, ni en Afrique, ni dans le monde. En Afrique on peut aisément citer les cas de Mobutu et Bokassa. Pourquoi faites-vous tuer les enfants des gens ? Et pourquoi assistez-vous à ce phénomène odieux sans réagir ?
Hamed Bakayoko doit un jour répondre devant une instance internationale des nombreuses accusations de violations massives des droits de l’homme. Nous y veillerons le moment venu. Les crimes en Côte d’Ivoire ne doivent pas rester impunis et tous les criminels doivent être poursuivis par TOUTES LES NATIONS comme au Rwanda, en RDC et ailleurs en Afrique après la fin de ce régime.
Maintenant les ravisseurs et tueurs d’enfants ont pris du cran, un véritable zèle qui ne dit pas son nom. Ils ne se cachent pas, ils opèrent à découvert et à visage découvert, en plein air, devant des témoins, en toute confiance, de jour comme de nuit. Ils enlèvent enfants, adultes, hommes et femmes. Et ils ne sont guère inquiets encore moins inquiétés. La police ne réagit pas, le gouvernement ne réagit pas, Hamed Bakayoko le superflic et lieutenant Colombo qui est d’ordinaire si rapide à mener et boucler des enquêtes pour arrêter les opposants politiques et les jeter en prison en violant leurs droits élémentaires, et sans égard pour les droits de la défense, est soudain devenu muet.
Quand Hamed Bakayoko jette un opposant politique en prison et que son avocat vient se plaindre du non-respect des lois et règles procédurales, il jette l’avocat lui-même en prison. Après il jette l’avocat de l’avocat en prison. L’avocat de Simone Gbagbo en sait quelque chose, ayant lui-même été jeté en prison dans l’exercice de son travail. Mais voici exactement ce qui arrive dans un pays quand une rébellion arrive au pouvoir par les armes avec l’aide militaire de l’ONU et d’anciennes puissances négrières et coloniales. Et qu’on met un loubard à la tête du ministère de l’intérieur qui ne sait rien du droit et d’une société de droit. Personne ne pourra JAMAIS nous convaincre que l’ONU travaille à l’émancipation de l’Afrique. Ce sont des contes de fée pour nourrissons et allez les raconter dans les maternelles et jardins d’enfants.
L’ONU a simplement remplacé les navires négriers et elle joue exactement le même rôle qu’eux. Nous en savons quelque chose en Côte d’Ivoire, et nous en payons le prix fort avec ce régime au pouvoir. Aujourd’hui ce sont les bébés et enfants ivoiriens qui sont leurs cibles pour des rituels de sacrifices humains, après dix ans de massacres impitoyables des parents, des populations du Sud par celles du Nord, avec le soutien militaire de l’ONU et les puissances négrières – le même schéma classique comme ça se passe en ce moment au Nigeria et au Cameroun. Toujours le Nord contre le Sud, avec l’aide, le soutien actif, et la bénédiction de l’ONU et ses mandataires et commanditaires occidentaux.
Allez voir sur les réseaux sociaux sur Internet les images choquantes et insupportables des enfants et adolescents ivoiriens enlevés en Côte d’Ivoire, retrouvés après morts par leurs parents effondrés, tous avec des corps mutilés et des organes emportés. C’est RÉVOLTANT ! Alors nous posons la question, c’est quoi le but final en Côte d’Ivoire ? Les sacrifices humains visent quel ou quels objectif(s) ? Les pouvoirs de Ouattara ne sont-ils pas assez ? Il n’a plus d’opposition ou opposants. Tous les opposants sont morts, en exil, en prison ou vivent dans la peur. Ouattara aspire-t-il devenir Dieu ??? Son ministre de l’intérieur Hamed Bakayoko torture et électrocute les opposants par les testicules quand il les arrête. Et comme personne n’a envie de se faire électrocuter atrocement et inhumainement par les testicules par un régime sanguinaire, tout le monde regarde Ouattara bouche bée. Il faut donc arrêter de sacrifier les enfants de Côte d’Ivoire, nos enfants, l’avenir de ce pays. Nous interpelons ici le régime de monsieur Alassane Ouattara, ses parrains occidentaux, l’ONU, la communauté internationale et toutes les ONG et organisations de défense des droits de l’homme.
Le rigolo et plaisantin Gnénéma Coulibaly justicier tous azimuts de Ouattara qui affiche tant de fierté à enfermer même le chauffeur et le cuisinier de LG ne trouve pas ici cause de s’indigner du meurtre continu des enfants du Sud par des ravisseurs protégés par un régime Nordiste psychopathe et assoiffé de sang comme un vampire. Aucune mesure spéciale pour combattre le phénomène, partout c’est silence radio. L’État n’en parle même pas. Dominique Ouattara croit pouvoir nous tromper ou nous émouvoir en versant des larmes de crocodile, feignant de l’indignation et vomissant des discours hypocrites alors qu’elle est à la base de tous les malheurs qui arrivent à ce pays et le frappent assidument.
Venue de sa France natale misérable comme un rat d’église à l’instar de tous les colons, à la sueur de ses blondes fesses qui émerveillaient les patrons nègres, elle a parcouru tout l’appareil étatique ivoirien jusqu’au sommet pour devenir insolemment riche et aisée. Et elle a gravi tous les échelons du pouvoir. Dans son parcours et sur son chemin, elle a versé du sang nègre et laissé des tonnes d’amants morts dans des conditions aussi intrigantes et mystérieuses les unes que les autres. Ils étaient tous des personnalités à des postes stratégiques en Côte d’Ivoire ou en Afrique – l’opinion se demande encore et toujours de quoi est réellement mort le Président Houphouët-Boigny et si ce couple apocalyptique n’est pas à la base de sa mort.
Dominique fait partie des gens qui ont poussé Alassane Ouattara à prendre les armes pour massacrer les ivoiriens du Sud et brûler la Côte d’Ivoire pour enfin contrôler la caisse et les ressources. Plusieurs lui attribuent la célèbre phrase : « Même s’il doit y avoir cent mille morts, nous prendrons le pouvoir ». Oui c’est en Afrique qu’on vient pour prendre le pouvoir sur les cadavres chauds de cent mille innocents. Dans son pays à elle, ce n’est pas possible. Dominique Folleroux-Vamoussa-Bamba-Ouattara, entre autres noms qu’elle a portés et dont elle fut veuve, est une femme TRÈS DANGEREUSE. Ne vous laissez guère distraire ou émouvoir par les bonbons et cadeaux qu’elle distribue aujourd’hui dans les orphelinats. C’est elle et son acolyte d’époux qui ont rendu ces pauvres enfants orphelins.
Adolf Hitler aussi aimait les enfants et il visitait régulièrement les endroits où il y avait des enfants ; c’est caractéristique des monstres et psychopathes pour tromper la vigilance des populations naïves. C’est un trait de caractère typique et commun aux fous qui arrivent au pouvoir de façon non-conventionnelle. C’est une façon de tromper sur leur vraie nature. Dominique partage l’argent et fait des cadeaux depuis qu’ils ont pris enfin le pouvoir dans le sang en Avril 2011. Qu’est-ce qui l’empêchait d’être si généreuse avant qu’ils ne prissent le pouvoir en 2011 ??? Ou bien on se découvre subitement une âme généreuse seulement une fois qu’on est au pouvoir ?
Elle fait dons et prêts aux ivoiriens de leur propre argent dérobé illégalement des caisses de l’État pendant que les masses souffrent, et elle fait croire à des dons personnels et une quelconque magnanimité désintéressée. Ce qui est totalement faux. Pendant ce temps, son malfrat d’époux ne fout rien, il ne travaille pas, les ivoiriens vivent dans la misère, une grande misère au point où l’ONU et la Banque Mondiale en ont parlé publiquement. Ouattara passe son temps à inaugurer les projets de ses prédécesseurs dont les financements étaient déjà conclus et bouclés, les faisant passer pour les siens. Il endette sauvagement et irresponsablement le pays, mais personne ne voit l’argent ; tout le monde vit dans la misère sauf les partisans de Ouattara. Puis il voyage indécemment et baguenaude sans but à travers l’univers aux frais de la Côte d’Ivoire. C’est un véritable couple de business à la tête de la Côte d’Ivoire. Pour le plus grand malheur des ivoiriens. Par contre cette dame Dominique est une véritable NAZIE, avide et cupide, un personnage froid, sans cœur. Un personnage AFFREUX et MONSTRUEUX que les journaux de Ouattara consacrent tous les jours des Unes à présenter comme une colombe. Ne vous laissez pas abuser ; c’est un faucon de la pire espèce. Elle est le portrait caractériel craché des négriers, ces européens qui venaient ramasser les noirs en Afrique pour aller les vendre dans le nouveau monde et s’enrichir. Son fils et toute sa famille sont impliqués dans le pillage des ressources ivoiriennes. En pleine crise postélectorale, pendant que l’armée de son pays la France bombardait la Côte d’Ivoire, la société de négoces de son fils était occupée à voler et faire sortir notre cacao du port d’Abidjan sans payer. Ses larmes de crocodiles sur nos enfants ne nous intéressent pas ; arrêtez tout simplement d’enlever ou faire enlever et assassiner les enfants ivoiriens.
En un mot comme en mille, Ouattara a pris le pouvoir mais vous continuez à mourir comme des chiens. Le RDR continue les sacrifices humains. Et Ouattara n’a que faire de vos pleurnichements. Il passe son temps à voyager à travers le monde avec l’argent et les ressources de la Côte d’Ivoire.
Le phénomène d’enlèvements d’enfants ou sacrifices humains n’est pas nouveau en Côte d’Ivoire certes. Mais il n’a JAMAIS atteint les proportions actuelles, pas même le centième des proportions actuelles où c’est devenu un phénomène quotidien … plusieurs morts par jour et personne ne réagit. Avant ce régime criminel et génocidaire de Ouattara et son RDR, on entendait parler de cas isolés d’enlèvements d’enfants çà et là. C’était souvent difficile à vérifier, il n’y avait jamais de témoin, et il n’y avait même pas de preuves. C’était souvent des ragots pour semer la psychose dans la population. Mais aujourd’hui, les enlèvements d’enfants et de personnes innocentes surviennent au quotidien. Les images et vidéos-preuves sont nombreuses. Il y a des témoins. Les familles des victimes témoignent dans les journaux. Elles passent même à la télévision nationale d’Alassane Ouattara pour raconter comment leurs enfants ont été enlevés, tués, mutilés et dans quel état elles ont retrouvé les corps frêles de ces malheureux enfants avec des membres et des organes emportés.
Populations ivoiriennes, mères ivoiriennes, pères ivoiriens, allez-vous continuer à crier « oh Seigneur ! », mourir et regarder mourir chaque jour comme des chiens impurs votre progéniture qui est votre postérité selon les saintes écritures ??? Ou allez-vous vous RÉVOLTER, sortir massivement et CONFRONTER CE RÉGIME CRIMINEL QUI SÈME MORT ET DÉSOLATION DANS LE PAYS DEPUIS PLUS D’UNE DÉCENNIE.
UNE RÉVOLTE N’A JAMAIS ÉTÉ AUSSI JUSTIFIÉE --
Si les enlèvements et assassinats assortis de mutilation des corps de vos enfants ne sont pas une cause suffisante, qu’est-ce que ce régime doit vous faire pour que vous vous révoltiez ???
Maitre Namory F. Dosso
Email : Maitre.Dosso.MD@gmail.com
Mercredi 28 Janvier 2015
1 million de FCFA pour indemniser les parents.... 27/01/2015
21 enfants kidnappés , torturés, dépecés et découpés à la machette, pour des rituels sataniques. Rien n'est fait pour enrayer ce phénomène qui traumatise la société.
En guise de réponse à l'attente des parents et de la société , voilà un gouvernement qui refuse de prendre ses responsabilités, en ne limogeant pas son ministre de l'intérieur et son Directeur de la police nationale. Incapable d'assurer la sécurité des citoyens encore moins celle des enfants. Pour ce faire, il est beaucoup plus simple d'octroyer de l'argent aux parents victimes de ces crimes horribles et crapuleux, afin de cacher cette incapacité notoire et insouciante.
Le prix de la vie de nos enfants, c'est 1million de FCFA en Cote d'Ivoire. Quelle insulte et dégradante morali, une infamie tout simplement.Woodji LeliondeGahoulou
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