La lettre de félicitation de Mariam Sankara au peuple Burkinabé:"Compaoré doit répondre de ses crimes" Depuis la France, où elle vit avec ses enfants, la veuve du président Thomas Sankara, Mariam Sankara, a envoyé une lettre adressée au peuple burkinabè, pour le féliciter pour son insurrection. Elle y exhorte les familles qui ont perdu des membres lors des manifestations des d erniers jours « à saisir la justice nationale et internationale pour que Blaise Compaoré réponde de ses crimes. » Communiqué de Mariam Sankara après la démission de Blaise Compaoré "J’éprouve une immense joie en ce jour historique. Ma joie est celle de la famille Sankara, ma joie est celle de vous tous, celle des amis nombreux qui suivent avec intérêt les événements du Burkina. C’est une véritable joie d’avoir réussi avec le vaillant peuple burkinabè : les femmes, la jeunesse, les organisations de la société civile, les partis d’opposition ainsi qu’une grande partie de l’armé...
J ean-Paul BENOÎT admet que les partisans du Président Laurent GBAGBO ne sont pas dangereux pas même avec l'avocat de leur bourreau OUATTARA. Depuis des années que nous manifestons devant l'ambassade de Côte d'Ivoire sise en FRANCE au 102 avenue Poincaré 75116 PARIS, nous rencontrons régulièrement Maître Jean-Paul BENOÎT un des deux avocats qui représente l'imposteur OUATTARA à la CPI. Hier encore dimanche 15 septembre 2018, il n'a pas hésité à traverser notre rassemblement au bras d’une femme pour vaquer à ses occupations comme il l'avait fait à de nombreuses reprises auparavant [1] . Quand on pense que les partisans de Laurent GBAGBO continuent d'être taxés de "miliciens sanguinaires" dans la plupart des rapports des ONG et des jugements des juridictions françaises, que la CPI refuse d'accorder la liberté à Laurent GBAGBO en prétendant que ses partisans seraient dangereux et séditieux, on est en droit de s'interroger sur leur ra...
RETOUR SUR L'ASSASSINAT DE FIRMIN MAHE (Première partie) Il y a 10 ans, le 13 mai 2005, sur la route de Bangolo cette riche terre cacaoyère du sud-ouest de la Côte d'Ivoire, Firmin Mahé, jeune civil de 28/29 ans a été sauvagement torturé et assassiné par l'Armée française sur ordre des plus hautes autorités de cette dernière. Après un hommage à l’occasion du 10 ème anniversaire de la commémoration de sa tragique disparition en essayant de lui rendre sa dignité de fils, de frère, de père et tout simplement d’homme engagé dans la défense de son village et des institutions républicaines de son pays (I) , nous continuerons de revisiter l’affaire Mahé en trois temps. En deuxième partie que nous vous livrerons prochainement, nous nous attacherons à faire l’état des lieux de cette affaire non seulement dans sa dimension judiciaire mais également dans le traitement corollaire de sa dimension humaine ou plutôt inhumaine, à travers l’acharnement physique et ...
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