COTE DIVOIRE : ENCORE UN PRISONNIER POLITIQUE PRO GBAGBO QUI MEURT A LA MACA
Eric Gnepa KOUE est décédé à la MACA (Maison d'arrêt et de Correction d'Abidjan) des suites "d'une longue maladie". Nos pensées les plus attristées et les plus sincères vont d'abord à ses proches. Après Boniface N'DRI, Joël PEKOULA et Martin ASSEMIAN, c'est le quatrième décès "officiel" en détention du fait des mauvais traitements et de l'absence de soins au quotidien sans parler des actes de tortures individuelles ou collectives subies par les prisonniers politiques ivoiriens. N'oublions pas non plus les cas du grand leader syndicaliste Basile Mahan Gahé et du Commissaire César Négblé qui ont succombé aux traitements inhumains et dégradants infligés durant leur longue incarcération arbitraire par les hommes de OUATTARA soutenus par la Communauté Internationale. L'élimination et/ou la neutralisation des vrais opposants se poursuit en Côte d'Ivoire dans l'indifférence totale ou plutôt avec le soutien actif de la Communauté internationale et des ONG droitsdelhommistes qui prétendent régir le monde à leur convenance. Des centaines de militants du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes sont toujours arbitrairement détenus en Côte d'Ivoire dont certains au secret.
"C'EST OUATTARA QUI M'A TUÉ'" :KOUYA GNÉPA ÉRIC
https://www.youtube.com/watch?v=dqhZOSeM3hY&spfreload=10
Ajoutée le 14 janv. 2016
Ajoutée le 14 janv. 2016
Ainsi donc, KOUYA GNÉPA ÉRIC, enlevé le 3 avril 2015 après
l’attaque de Grabo, torturé, amputé de trois orteils à l’acide, puis incarcéré
à la MACA, POUR RIEN DU TOUT, est décédé le vendredi 4 décembre 2015, en
prison, des suites des tortures que lui ont fait subir les hommes du régime
dictatorial de Dramane Ouattara, mais aussi par la faute de la France qui
n’hésite pas à tout détruire sur son passage, au gré de ses intérêts.
C’est la mort dans l’âme que, le mardi 15 décembre dernier, IROGBO GNÉPA et son épouse venus tout spécialement du village de Irato, ont été contraints, vu l’état de putréfaction avancée de son corps, d’enterrer en catimini, leur fils KOUYA GNÉPA ÉRIC, loin de sa terre natale. Un corps mal traité et volontairement mal conservé par ses geôliers, comme pour empêcher toute possibilité d’autopsie. Quelle cruauté !!!
Nous sommes encore plus inconsolables, d'apprendre qu'après la récente attaque d'Olodio (dans la nuit du 1er au 2 décembre 2015), OUÉLLÉ KOUYA DOMINIQUE, GNÉPA PÉRÉ EDISON, WERE KAPET, DJERE DJERE DAUTHET FELIX, IGBADIO SONDE EMMANUEL, N’GUESSAN KOUAME PACÔME et DJOROBO YEKEYOU MICHEL, ont été enlevés, au cours d’une opération de ratissage post attaque par les Frci et les Forces Spéciales basées à Olodio, comme il est de coutume dans ce Pays depuis avril 2011. Torturés puis déposés au sous-sol des lugubres locaux de la Dst et de la Préfecture de Police, devenues des camps de concentration du régime Ouattara, ces jeunes y ont encore subi tortures et humiliations des plus ignobles et des plus inimaginables, avant d’être aujourd’hui transférés à la MACA, où ils risquent de finir, hélas, comme KOUYA GNÉPA ÉRIC…, sans aucun jugement.
C’est le lieu de réaffirmer que, face aux attaques récurrentes dans le Département de Tabou, il est illusoire de croire que ce sont les séances d’autoflagellation suscitées par des "chefs coutumiers, des cadres et élus" et organisées ici et là depuis l’accession de monsieur Dramane Ouattara au pouvoir, qui changeront la nature de la confrérie que la France a installée à la tête de notre pays. Il faut plutôt savoir rester dignes et fermes dans nos revendications pour obliger le régime de Dramane Ouattara à libérer EFFECTIVEMENT tous les prisonniers d’opinion et toutes ces innocentes personnes qui croupissent dans les goulags et autres camps de concentration du pays que la France lui a donné à gouverner, par bombardements. C’est ma conviction. SURTOUT QUE LES POPULATIONS AUTOCHTONES ET LES CADRES DU DÉPARTEMENT DE TABOU N’ONT VRAIMENT RIEN À SE REPROCHER !!!
Merci à l’Affdo-ci qui ne ménage aucun effort pour soutenir les détenus au plan matériel et moral, mais surtout pour ses actions visant à les sortir de l’anonymat qui les tue à petit feu.
Merci à Michel GBAGBO, Secrétaire National du FPI chargé de la Politique Pénitentiaire et des Détenus d’opinion venu soutenir les parents de KOUYA GNÉPA ÉRIC lors de leur séjour douloureux à Abidjan.
ADIEU KOUYA GNÉPA ERIC !
La Côte d’Ivoire te pleure. Tu n’es plus concerné par l’hypothétique et comique grâce présidentielle de Dramane Ouattara accordée à « 3100 prisonniers inconnus ». Une annonce ridicule bruyamment relayée par les médias des forces du mal acquis à la cause de Dramane Ouattara.
La tribu Tépo-Sud et ta grande famille du Cavally, te pleurent !
ADIEU MON FILS ! MÔ LÉMOU, NA YOU !
LA LUTTE CONTINUE !
NOUS VAINCRONS !
C’est la mort dans l’âme que, le mardi 15 décembre dernier, IROGBO GNÉPA et son épouse venus tout spécialement du village de Irato, ont été contraints, vu l’état de putréfaction avancée de son corps, d’enterrer en catimini, leur fils KOUYA GNÉPA ÉRIC, loin de sa terre natale. Un corps mal traité et volontairement mal conservé par ses geôliers, comme pour empêcher toute possibilité d’autopsie. Quelle cruauté !!!
Nous sommes encore plus inconsolables, d'apprendre qu'après la récente attaque d'Olodio (dans la nuit du 1er au 2 décembre 2015), OUÉLLÉ KOUYA DOMINIQUE, GNÉPA PÉRÉ EDISON, WERE KAPET, DJERE DJERE DAUTHET FELIX, IGBADIO SONDE EMMANUEL, N’GUESSAN KOUAME PACÔME et DJOROBO YEKEYOU MICHEL, ont été enlevés, au cours d’une opération de ratissage post attaque par les Frci et les Forces Spéciales basées à Olodio, comme il est de coutume dans ce Pays depuis avril 2011. Torturés puis déposés au sous-sol des lugubres locaux de la Dst et de la Préfecture de Police, devenues des camps de concentration du régime Ouattara, ces jeunes y ont encore subi tortures et humiliations des plus ignobles et des plus inimaginables, avant d’être aujourd’hui transférés à la MACA, où ils risquent de finir, hélas, comme KOUYA GNÉPA ÉRIC…, sans aucun jugement.
C’est le lieu de réaffirmer que, face aux attaques récurrentes dans le Département de Tabou, il est illusoire de croire que ce sont les séances d’autoflagellation suscitées par des "chefs coutumiers, des cadres et élus" et organisées ici et là depuis l’accession de monsieur Dramane Ouattara au pouvoir, qui changeront la nature de la confrérie que la France a installée à la tête de notre pays. Il faut plutôt savoir rester dignes et fermes dans nos revendications pour obliger le régime de Dramane Ouattara à libérer EFFECTIVEMENT tous les prisonniers d’opinion et toutes ces innocentes personnes qui croupissent dans les goulags et autres camps de concentration du pays que la France lui a donné à gouverner, par bombardements. C’est ma conviction. SURTOUT QUE LES POPULATIONS AUTOCHTONES ET LES CADRES DU DÉPARTEMENT DE TABOU N’ONT VRAIMENT RIEN À SE REPROCHER !!!
Merci à l’Affdo-ci qui ne ménage aucun effort pour soutenir les détenus au plan matériel et moral, mais surtout pour ses actions visant à les sortir de l’anonymat qui les tue à petit feu.
Merci à Michel GBAGBO, Secrétaire National du FPI chargé de la Politique Pénitentiaire et des Détenus d’opinion venu soutenir les parents de KOUYA GNÉPA ÉRIC lors de leur séjour douloureux à Abidjan.
ADIEU KOUYA GNÉPA ERIC !
La Côte d’Ivoire te pleure. Tu n’es plus concerné par l’hypothétique et comique grâce présidentielle de Dramane Ouattara accordée à « 3100 prisonniers inconnus ». Une annonce ridicule bruyamment relayée par les médias des forces du mal acquis à la cause de Dramane Ouattara.
La tribu Tépo-Sud et ta grande famille du Cavally, te pleurent !
ADIEU MON FILS ! MÔ LÉMOU, NA YOU !
LA LUTTE CONTINUE !
NOUS VAINCRONS !
Le Front Populaire Ivoirien (FPI) a le regret d’informer la
communauté nationale et internationale du décès, le 04 décembre 2015 à 7H 30, à
la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA), de Monsieur Kouya Gnépa
Eric, détenu d’opinion. Le Front Populaire Ivoirien (FPI) présente ses
condoléances les plus sincères et les plus attristées à la famille du défunt.
Arrêté en avril 2015, Kouya Gnépa Eric a subi d’atroces tortures. Trois orteils lui ont été arrachés. Mis sous mandat de dépôt depuis le 14 avril 2015, l’Administration pénitentiaire l’a délibérément laissé sans soin médical malgré toutes les suppliques. Atteint de fièvre, d’infection, de malnutrition, de troubles cardiaques et neurologiques, de béribéri et d’ulcère gastrique aigu, Kouya Gnépa Eric a finalement succombé le 05 décembre 2015 au matin, des suites de ses tortures, dans l’indifférence totale de ses geôliers. Son décès porte au moins à quatre (4) le nombre de détenus politiques décédés suite à des tortures.
Pour rappel, trois autres détenus d’opinion ont déjà rendu l’âme dans des conditions similaires au sein des prisons ivoiriennes. Il s’agit des prisonniers Koffi N'Dri Boniface et Pekoula Joel (décédés en 2013) et Assémian Maturin (mort le 15 novembre 2014).
Le FPI, extrêmement conscient de la valeur de chaque vie humaine, rappelle le Gouvernement ivoirien à ses obligations et responsabilités en matière de justice sociale, de protection des citoyens et de respect des droits humains. Il espère que toute la lumière sera rapidement faite sur les circonstances exactes du décès d’un citoyen placé sous la responsabilité de l’Administration pénitentiaire.
Le Front Populaire Ivoirien condamne sans réserve le sort fait aux détenus d’opinion en Côte d’Ivoire et se tient auprès de toutes les familles pour leur apporter affection, soutien et aide dans ces moments difficiles.
Le Front Populaire Ivoirien tient Monsieur Alassane Ouattara, Chef de l’Etat, pour personnellement responsable de toutes les violations graves des droits de l’Homme en Côte d’Ivoire. Il condamne sans réserve l’instrumentalisation de la justice et la banalisation de la torture en Côte d’Ivoire.
Parti de dialogue, attaché aux valeurs de libertés publiques et à la démocratie, le FPI invite le Gouvernement ivoirien à libérer tous les prisonniers politiques civils et militaires détenus aussi bien dans des prisons officielles qu’officieuses afin de favoriser un le début d’un processus de réconciliation véritable en Côte d’Ivoire.
Fait à Abidjan, le 8 décembre 2015
Pour le Front Populaire Ivoirien
Boubakar KONE
Secrétaire Général par intérim ;
Porte Parole
Arrêté en avril 2015, Kouya Gnépa Eric a subi d’atroces tortures. Trois orteils lui ont été arrachés. Mis sous mandat de dépôt depuis le 14 avril 2015, l’Administration pénitentiaire l’a délibérément laissé sans soin médical malgré toutes les suppliques. Atteint de fièvre, d’infection, de malnutrition, de troubles cardiaques et neurologiques, de béribéri et d’ulcère gastrique aigu, Kouya Gnépa Eric a finalement succombé le 05 décembre 2015 au matin, des suites de ses tortures, dans l’indifférence totale de ses geôliers. Son décès porte au moins à quatre (4) le nombre de détenus politiques décédés suite à des tortures.
Pour rappel, trois autres détenus d’opinion ont déjà rendu l’âme dans des conditions similaires au sein des prisons ivoiriennes. Il s’agit des prisonniers Koffi N'Dri Boniface et Pekoula Joel (décédés en 2013) et Assémian Maturin (mort le 15 novembre 2014).
Le FPI, extrêmement conscient de la valeur de chaque vie humaine, rappelle le Gouvernement ivoirien à ses obligations et responsabilités en matière de justice sociale, de protection des citoyens et de respect des droits humains. Il espère que toute la lumière sera rapidement faite sur les circonstances exactes du décès d’un citoyen placé sous la responsabilité de l’Administration pénitentiaire.
Le Front Populaire Ivoirien condamne sans réserve le sort fait aux détenus d’opinion en Côte d’Ivoire et se tient auprès de toutes les familles pour leur apporter affection, soutien et aide dans ces moments difficiles.
Le Front Populaire Ivoirien tient Monsieur Alassane Ouattara, Chef de l’Etat, pour personnellement responsable de toutes les violations graves des droits de l’Homme en Côte d’Ivoire. Il condamne sans réserve l’instrumentalisation de la justice et la banalisation de la torture en Côte d’Ivoire.
Parti de dialogue, attaché aux valeurs de libertés publiques et à la démocratie, le FPI invite le Gouvernement ivoirien à libérer tous les prisonniers politiques civils et militaires détenus aussi bien dans des prisons officielles qu’officieuses afin de favoriser un le début d’un processus de réconciliation véritable en Côte d’Ivoire.
Fait à Abidjan, le 8 décembre 2015
Pour le Front Populaire Ivoirien
Boubakar KONE
Secrétaire Général par intérim ;
Porte Parole
Les militants du droit du peuple ivoirien à disposer de lui-même avaient pourtant alerté l'opinion publique et les ONG... Mais apparemment ils n'ont rien fait pour empêcher le décès de ce jeune civil aux mains nues artbitrairement détenu et torturé à la MACA pendant des années !
https://www.facebook.com/ung.ung.94/posts/1639986206254361
KOUYA GNEPA ÉRIC originaire de Grabo a été arbitrairement mis
aux arrêts puis torturé par les FRCI avec une brutalité et une barbarie
inouïes. Ce qui lui a valu d'avoir un ORTEIL AMPUTÉ par ses tortionnaires .
Déféré à la Maca depuis le 29/04/15 pour Atteinte à la sûreté de l'état , un
délit devenu générique et fantaisiste, KOUYA GNEPA ÉRIC souffre de douleurs
atroces aux pieds. ce qui l'a rendu quasiment Hémiplégique. A plusieurs
reprises il a bénéficié du concours du bureau des prisonniers pour des soins extérieurs
mais sans grands moyens . Sans soutien parental,il est livré à lui même. Si
Rien n'est fait , le pire reste à craindre . Son cas n'est qu'un exemple parmi
tant d'autres. Nous interpellons tous les partis d'opposition à s'impliquer
davantage pour la libération de tous les prisonniers politiques car nous
pensons qu'ils n'en font plus trop cas . C'est le lieu aussi d'interpeller la
justice afin d'accélérer le processus de mise en liberté de tous les détenus
politiques pour leur permettre de regagner leurs familles respectives au grand
bonheur de tous les ivoiriens. Que cessent maintenant les arrestations
arbitraires et les dénonciations calomnieuses. La place de la jeunesse n'est
pas dans les prisons. La côte d'ivoire a besoin de tous ses fils pour sa reconstruction.
Courage frère.
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