Le FPI fonctionne avec Aboudramane Sangaré par Kamayiti Kamafrique
Hortense Adé Assalé la représentante du FPI FRANCE rappelle que cette conférence fait suite à la rencontre que la représentation FRANCE du FPI avait tenue à PARIS le 28 décembre 2014 à son retour d'ABIDJAN pour informer ses militants et sympathisants des suites du 4ème Congrès avorté du FPI. A cette occasion, la représentation du FPI FRANCE s'était engagée à nous tenir régulièrement informés de ce qui se passait tant sur le plan de l'actualité politique du pays que de la crise interne au FPI.
Elle revient d'abord sur les lourdes peines infligées par la Cour d'Assises à certains accusés tandis que d'autres comme Pascal Affi N'Guessan n'écopent que de peines d'emprisonnement avec sursis. Il appartiendra à Maître Habiba Touré de nous entretenir de cette parodie de procès.
Elle évoque ensuite la suspension de Pascal Affi N'Guessan et la désignation du Président Aboudramane Sangaré à la tête de la Direction intérimaire du FPI. Le Président Aboudramane Sangaré est seul désormais habilité à parler au nom du FPI. Il s'est entouré d'hommes de combat dans le respect des dispositions statutaires du parti. Le camarade Abdon Georges Bayeto qui était représentant du FPI GB est passé Secrétaire National chargé des relations avec les représentations et la Diaspora.
Maître Habiba Touré revient sur la parodie de procès des personnalités pro-Gbagbo poursuivies et jugées par la Cour d'Assises d'ABIDJAN. Elle insiste sur l'inexistence de faits au regard des infractions pour lesquelles ont les renvoie devant la Cour d'Assises. On ne peut pas accuser de meurtre s'il n'y a pas de cadavre. Elle revient sur la comparution qui a le plus retenu l'attention du public comme de toutes les personnes présentes, celle de la Première Dame qui a même été applaudie par l'assistance, policiers y compris. La Première Dame s'est posée sur le terrain du droit. Maître Habiba Touré a ironisé sur les témoins de l'accusation qui admettaient n'avoir aucun lien avec la Première Dame , ni aucun élément probant à lui reprocher. Elle est revenue sur réponse de la Première Dame à la question d'un des avocats de la partie civile (l'Etat ivoirien puisque c'est lui seul qui s'est constitué partie civile) qui lui demandait de justifier le fait qu'elle pense que c'est Laurent GBAGBO qui a gagné les élections. Elle a répondu en deux phases :
-Je ne suis pas là pour ce que je pense en principe, mais pour ce que j'ai fait, alors présentez-moi des preuves concrètes sur les actes que vous m'accusez d'avoir commis ;
-Sur la victoire de Laurent GBAGBO aux élections présidentielles, ce n'est pas ce que je pense, c'est ce que le Conseil Constitutionnel a dit dans sa décision de décembre 2010 qui a proclamé Laurent GBAGBO vainqueur des élections présidentielles de 2010 tandis que la deuxième décision du Conseil Constitutionnel de mai 2011 reconnaît une situation de fait, à savoir que l'Union Africaine et la Communauté Internationale reconnaissent OUATTARA comme Président de la République. Donc elle a persisté et signé en réaffirmant que c'est bien Laurent Gbagbo qui a gagné les élections.
Ce procès n'était pas juridique mais bien politique. Le rôle de l'avocat, c'est de confondre l'accusé, mais ce n'est pas un think-tank. Devant la gravité des accusations portées, on persiste et on signe : c'est une décision politique. Quand avant même la tenue des Assises, le Ministre de la Justice -enfin celui qui se présente comme tel- qui arrive sur un plateau télé et qui explique qu'eux, au nom de la Réconciliation, ils vont libérer des individus, avant même que la chambre d'accusation ait à se prononcer sur la mise en liberté ou non de ces individus, comment peut-on appeler cela si ce n'est une décision politique ? Quand vous avez un Monsieur qui indique que ces personnes doivent être jugées, mais bon je vais peut-être utiliser mon droit de grâce... C'est qu'il part du principe qu'elles vont être condamnées. On est donc bien en face d'une décision politique, d'une Justice politique. Maître Habiba Touré conclue donc en implorant qu'on ne fasse pas insulte à l'intelligence des Ivoiriens, qu'on ne fasse pas insulte à notre propre intelligence. Elle ne voit même pas en termes de droit comment on peut condamner des gens sans fait. C'est d'ailleurs ce qui a justifié le pourvoi en Cassation. Elle ne parle même pas des témoins qui ont vu Michel Gbagbo conduire une voiture la nuit aux vitres teintées alors que Michel Gbagbo ne conduit même pas.
Jérôme Balou Bi salue Maître Habiba Touré, son courage sur la voie qu'elle a choisie. Il rappelle que tout le monde avait peur pour elle quand elle est partie pour Abidjan. Elle est quand même partie car elle veut que le droit soit dit. Malheureusement rien n'est droit en ce moment en Côte d'Ivoire.
Concernant Affi N'Guessan, il l'a dit depuis longtemps qu'il n'avait pas confiance en lui. Depuis Bouna, on savait qu'Affi avait retourné sa veste. Il était en contact avec Alcide Djédjé. Pendant deux ans, on a chauffé le fauteuil d'Affi pour qu'il vienne nous poser des problèmes. Affi poursuit les affaires de son ventre. La préoccupation d'Affi, ce sont ses indemnités de Premier Ministre, la maison qu'on a détruite et qu'on doit reconstruire.
Le parti n'inéresse pas Affi en tant que tel. Affi veut s'en servir pour faire ce qu'il fait aujourd'hui. Lui on a débloqué ses comptes ; on a rétabli ses indemnités de Premier Ministre.
Les Ivoiriens ne méritent pas ce qu'on leur fait. On a trop souffert. On a tué des Ivoiriens qui sont encore dans des puits aujourd'hui. Jérôme Balou Bi pense que c'est malsain ce qu'il est train de faire. Il évoque par exemple le fait qu'Affi voulait refaire sa cellule comme s'il prenait la prison comme sa maison. Ils lui ont dit "Président, nous on veut sortir, toi tu veux réaménager ta cellule. Là où on est, on ne s'amuse pas. On ne s'amuse pas avec la vie des gens. On a perdu des gens. Il témoigne de son arrestation et de ce qui est arrivé à son neveu. On est venu le chercher. Ils l'ont attaché et l'ont emmené dans un camion. On ne l'a jamais retrouvé. Ils ont occupé sa maison. Ils ont épousé sa femme dans son village. Quand on voit ses choses et puis Affi N'Guessan s'amuse. Il n'a qu'à faire ce qu'il veut. Il n'a qu'à créer son parti. Mais il faut que la nouvelle Direction du FPI travaille. La Diaspora doit peser dans la politique ivoirienne. Il y a longtemps qu'Affi est vendu. Koffi Aka son Directeur financier vient deux fois par moi à PARIS. On sait ce qu'il gagne comme professeur d'Université et on se demande comment il peut financer deux voyages par moi. C'est son ami, mais il n'a pas eu le courage de le rencontrer.
C'est Abdon qu'on doit regarder. Abdon tu as du boulot. Il faut que le FPI s'organise.
Il insiste sur le fait que les élections ne l'intéressent pas. On ne peut pas aller aux élections dans ce contexte. On avait le pouvoir. Il nous ont arraché le pouvoir. C'est quand ils organisent que vous allez gagner le pouvoir ? On avait toutes les manettes du pouvoir. On a perdu les manettes du pouvoir bien qu'on ait gagné les élections. On sait comment ils ont procédé. Maintenant qu'eux ont tout le pouvoir, vous allez aux élections pour faire quoi ? Mais il n'a qu'à prendre ! La Côte d'Ivoire ne vit pas 5 ans, 10 ans. C'est un pays ! Si notre lutte doit durer 20 ans, qu'elle dure 20 ans. Mai qu'on reprenne notre pays. C'est ça qui est important. On cite Mandela, mais il a fait 27 ans de prison quand-même. Mandela a lutté. Mais lutter, c'est avoir des valeurs. Et ces valeurs, on les défend au prix même de sa vie. Moi je n'ai jamais eu de poste avec Gbagbo. Je suis universitaire et j'ai été élu au niveau de l'Université et c'est pas Gbagbo qui m'a mis là La première prison que j'ai fait, c'était en 1981. J'étais étudiant. Gbagbo devait faire une conférence et ils l'ont interdite. J'ai fait 3 jours à Akouédo. On sait ce qu'on fait aux gens à Akouédo. Gbagbo, c'est un esprit. Et ça si l'Afrique veut se libérer, on n'a pas le choix. Il faut qu'on libère notre pays, qu'on libère l'Afrique. Ca peut durer. On peut même ne pas en profiter. Mais c'est ça le combat du FPI aujourd'hui. Les élections, ce n'est pas le plus important. Affi là, ce n'est même pas un événement. Depuis Bouna, on savait. On l'a pris en hélicoptère pour l'envoyer. C'est quel prisonnier ça ? Les gens s'amusent là. Ce dont on parle là, c'est la vie des gens. Des gens sont morts. Il y en a beaucoup qui sont au Ghana et qui ne peuvent pas payer leurs médicaments. Vous avez mis Laurent Gbagbo en prison et maintenant vous allez le consulter, c'est pour faire quoi ? Les manifs là, des machins, c'est pour quoi ? Nous on va lutter. Mais Gbagbo, il va être libre. Ca je peux vous le confirmer. J'ai la conviction, j'ai la Foi... Donc frères, laissez Affi là. Avançons avec le FPI et puis notre combat. Je vous remercie.
Abdon Georges Bayeto salue d'abord les femmes de l'Assemblée et en profite pour adresser une pensée particulière à Simone Gbagbo qui l'a recruté au FPI et qu'il a connue avant son mari.
Il remercie également la galaxie patriotique qui s'est mobilisée quand il a été arrêté au Ghana en 2012. Personne ne savait où il était et on me menaçait de me rapatrier en Côte d'Ivoire. C'est grâce à une large mobilisation de la Diaspora qu'il a pu être rapatrié à Londres où il avait de nombreuses connections plutôt qu'en Côte d'Ivoire.
Le nouveau secrétaire National du FPI chargé des relations avec les représentations et la Diaspora remercie la société civile et les Patriotes. Cette mission, c'est ensemble qu'on va la réussir. J'ai passé toute ma vie dans la Diaspora, donc mon souci doit être la promotion de la Diaspora. Aujourd'hui dans la lutte ivoirienne là, on ne peut pas encore quitter ici et aller CHERCHER du travail en Côte d'Ivoire. C'est ici qu'on va prendre nos retraites, c'est ici qu'on va repartir. Donc c'est ensemble dans la Diaspora que nous allons mener des réflexions et que nous allons imposer cela aux partis politiques en Côte d'Ivoire. Donc il voulait dire à cette Diaspora qu'on est ensemble, que son bilan sera notre bilan. S'il échoue, nous aurons aussi échoué.
Conférence de la représentation France du FPI du dimanche 28 décembre 2015 à PARIS [2]
-Je ne suis pas là pour ce que je pense en principe, mais pour ce que j'ai fait, alors présentez-moi des preuves concrètes sur les actes que vous m'accusez d'avoir commis ;
-Sur la victoire de Laurent GBAGBO aux élections présidentielles, ce n'est pas ce que je pense, c'est ce que le Conseil Constitutionnel a dit dans sa décision de décembre 2010 qui a proclamé Laurent GBAGBO vainqueur des élections présidentielles de 2010 tandis que la deuxième décision du Conseil Constitutionnel de mai 2011 reconnaît une situation de fait, à savoir que l'Union Africaine et la Communauté Internationale reconnaissent OUATTARA comme Président de la République. Donc elle a persisté et signé en réaffirmant que c'est bien Laurent Gbagbo qui a gagné les élections.
Ce procès n'était pas juridique mais bien politique. Le rôle de l'avocat, c'est de confondre l'accusé, mais ce n'est pas un think-tank. Devant la gravité des accusations portées, on persiste et on signe : c'est une décision politique. Quand avant même la tenue des Assises, le Ministre de la Justice -enfin celui qui se présente comme tel- qui arrive sur un plateau télé et qui explique qu'eux, au nom de la Réconciliation, ils vont libérer des individus, avant même que la chambre d'accusation ait à se prononcer sur la mise en liberté ou non de ces individus, comment peut-on appeler cela si ce n'est une décision politique ? Quand vous avez un Monsieur qui indique que ces personnes doivent être jugées, mais bon je vais peut-être utiliser mon droit de grâce... C'est qu'il part du principe qu'elles vont être condamnées. On est donc bien en face d'une décision politique, d'une Justice politique. Maître Habiba Touré conclue donc en implorant qu'on ne fasse pas insulte à l'intelligence des Ivoiriens, qu'on ne fasse pas insulte à notre propre intelligence. Elle ne voit même pas en termes de droit comment on peut condamner des gens sans fait. C'est d'ailleurs ce qui a justifié le pourvoi en Cassation. Elle ne parle même pas des témoins qui ont vu Michel Gbagbo conduire une voiture la nuit aux vitres teintées alors que Michel Gbagbo ne conduit même pas.
Jérôme Balou Bi salue Maître Habiba Touré, son courage sur la voie qu'elle a choisie. Il rappelle que tout le monde avait peur pour elle quand elle est partie pour Abidjan. Elle est quand même partie car elle veut que le droit soit dit. Malheureusement rien n'est droit en ce moment en Côte d'Ivoire.
Concernant Affi N'Guessan, il l'a dit depuis longtemps qu'il n'avait pas confiance en lui. Depuis Bouna, on savait qu'Affi avait retourné sa veste. Il était en contact avec Alcide Djédjé. Pendant deux ans, on a chauffé le fauteuil d'Affi pour qu'il vienne nous poser des problèmes. Affi poursuit les affaires de son ventre. La préoccupation d'Affi, ce sont ses indemnités de Premier Ministre, la maison qu'on a détruite et qu'on doit reconstruire.
Le parti n'inéresse pas Affi en tant que tel. Affi veut s'en servir pour faire ce qu'il fait aujourd'hui. Lui on a débloqué ses comptes ; on a rétabli ses indemnités de Premier Ministre.
Les Ivoiriens ne méritent pas ce qu'on leur fait. On a trop souffert. On a tué des Ivoiriens qui sont encore dans des puits aujourd'hui. Jérôme Balou Bi pense que c'est malsain ce qu'il est train de faire. Il évoque par exemple le fait qu'Affi voulait refaire sa cellule comme s'il prenait la prison comme sa maison. Ils lui ont dit "Président, nous on veut sortir, toi tu veux réaménager ta cellule. Là où on est, on ne s'amuse pas. On ne s'amuse pas avec la vie des gens. On a perdu des gens. Il témoigne de son arrestation et de ce qui est arrivé à son neveu. On est venu le chercher. Ils l'ont attaché et l'ont emmené dans un camion. On ne l'a jamais retrouvé. Ils ont occupé sa maison. Ils ont épousé sa femme dans son village. Quand on voit ses choses et puis Affi N'Guessan s'amuse. Il n'a qu'à faire ce qu'il veut. Il n'a qu'à créer son parti. Mais il faut que la nouvelle Direction du FPI travaille. La Diaspora doit peser dans la politique ivoirienne. Il y a longtemps qu'Affi est vendu. Koffi Aka son Directeur financier vient deux fois par moi à PARIS. On sait ce qu'il gagne comme professeur d'Université et on se demande comment il peut financer deux voyages par moi. C'est son ami, mais il n'a pas eu le courage de le rencontrer.
C'est Abdon qu'on doit regarder. Abdon tu as du boulot. Il faut que le FPI s'organise.
Il insiste sur le fait que les élections ne l'intéressent pas. On ne peut pas aller aux élections dans ce contexte. On avait le pouvoir. Il nous ont arraché le pouvoir. C'est quand ils organisent que vous allez gagner le pouvoir ? On avait toutes les manettes du pouvoir. On a perdu les manettes du pouvoir bien qu'on ait gagné les élections. On sait comment ils ont procédé. Maintenant qu'eux ont tout le pouvoir, vous allez aux élections pour faire quoi ? Mais il n'a qu'à prendre ! La Côte d'Ivoire ne vit pas 5 ans, 10 ans. C'est un pays ! Si notre lutte doit durer 20 ans, qu'elle dure 20 ans. Mai qu'on reprenne notre pays. C'est ça qui est important. On cite Mandela, mais il a fait 27 ans de prison quand-même. Mandela a lutté. Mais lutter, c'est avoir des valeurs. Et ces valeurs, on les défend au prix même de sa vie. Moi je n'ai jamais eu de poste avec Gbagbo. Je suis universitaire et j'ai été élu au niveau de l'Université et c'est pas Gbagbo qui m'a mis là La première prison que j'ai fait, c'était en 1981. J'étais étudiant. Gbagbo devait faire une conférence et ils l'ont interdite. J'ai fait 3 jours à Akouédo. On sait ce qu'on fait aux gens à Akouédo. Gbagbo, c'est un esprit. Et ça si l'Afrique veut se libérer, on n'a pas le choix. Il faut qu'on libère notre pays, qu'on libère l'Afrique. Ca peut durer. On peut même ne pas en profiter. Mais c'est ça le combat du FPI aujourd'hui. Les élections, ce n'est pas le plus important. Affi là, ce n'est même pas un événement. Depuis Bouna, on savait. On l'a pris en hélicoptère pour l'envoyer. C'est quel prisonnier ça ? Les gens s'amusent là. Ce dont on parle là, c'est la vie des gens. Des gens sont morts. Il y en a beaucoup qui sont au Ghana et qui ne peuvent pas payer leurs médicaments. Vous avez mis Laurent Gbagbo en prison et maintenant vous allez le consulter, c'est pour faire quoi ? Les manifs là, des machins, c'est pour quoi ? Nous on va lutter. Mais Gbagbo, il va être libre. Ca je peux vous le confirmer. J'ai la conviction, j'ai la Foi... Donc frères, laissez Affi là. Avançons avec le FPI et puis notre combat. Je vous remercie.
Abdon Georges Bayeto salue d'abord les femmes de l'Assemblée et en profite pour adresser une pensée particulière à Simone Gbagbo qui l'a recruté au FPI et qu'il a connue avant son mari.
Il remercie également la galaxie patriotique qui s'est mobilisée quand il a été arrêté au Ghana en 2012. Personne ne savait où il était et on me menaçait de me rapatrier en Côte d'Ivoire. C'est grâce à une large mobilisation de la Diaspora qu'il a pu être rapatrié à Londres où il avait de nombreuses connections plutôt qu'en Côte d'Ivoire.
Conférence de la représentation France du FPI du dimanche 28 décembre 2015 à PARIS [2]
LE FPI VIRE LE "TRAITRE AFFI N'GUESSAN
Ajoutée le 30 déc. 2014
[1] https://www.youtube.com/watch?v=YRrpnezSS-s#t=1790
[2] https://www.youtube.com/watch?v=bBoBrVHHDyg
"OMBRE ET LUMIERE SUR LE FPI
Dimanche 28 Décembre 2014 à la maison de l’Afrique la représentante du FPI en France tenait une conférence pour disait-elle « apporter un peu de lumière sur les zones d’ombres » planant sur le FPI conduisant à l’annulation du congrès du parti.
Cette conférence en deux parties s’encadre de trois motions essentielles à savoir:
- la condamnation des actes d’Affi N’guessan ;
- le soutien total au président Gbagbo ;
- d’inciter à la création de nouvelles sections d’au moins 15 personnes partout où c’est possible.
En effet, le Congrès devant aboutir à l’élection du nouveau président du FPI avait été annulé du seul fait d’Affi N’guessan. D’après les intervenants, sentant sa fin arriver à la tête du parti et peut-être par peur d’être confronté au fondateur du parti Laurent Gbagbo, Mr Affi N’guessan avait décidé de porter l’affaire devant la Justice afin d’éliminer son adversaire. Selon les membres dirigeants du FPI, cet acte fort et autres sont interprétés comme de la haute trahison. Affi N’Guessan est donc considéré comme un traître.
Les cadres du Parti décident de ne plus voir Affi N’guessan comme leur Président et que tout doit être fait pour le bloquer car Mr Affi N’guessan agit contre la libération du Président Gbagbo.
Les cadres du FPI ont décidé que toutes les représentations soient une zone rouge pour Affi N’guessan.
Mme Hortense Adé Assalé et son équipe ont répondu à de nombreuses interrogations dans la salle portant la majeure partie au fonctionnement interne du parti.
Une Motion de condamnation collégiale sera rédigée ultérieurement."
[1] https://www.youtube.com/watch?v=YRrpnezSS-s#t=1790
[2] https://www.youtube.com/watch?v=bBoBrVHHDyg
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