FRONT ANTI-CFA : MOBILISATION INTERNATIONALE DU 07 JANVIER 2017
Que
vaut l'indépendance d'un pays sans souveraineté économique ? Or la monnaie est
un attribut essentiel du droit d'un peuple à disposer de lui-même. Ce
samedi 07 janvier 2017 a été choisi pour inaugurer la naissance d'un Front
anti-CFA à travers une première journée internationale de mobilisation contre
l'esclavagisme monétaire simultanément dans 12 métropoles du monde
de Dakar (Sénégal) à Paris (France) en passant par Abidjan (Côte d'Ivoire),
Londres (Grande Bretagne), Bamako (Mali), Bologne (Italie), Ouagadougou
(Burkina Faso), Tabarre (Haïti), Ouidah (Bénin), Bruxelles (Belgique), Kinshasa
(RDC), Brazzaville (Congo)... à l'initiative de Kemi Seba et d' l'ONG Urgences Panafricanistes
(URPANAF).
A
noter la participation de nombreuses personnalités engagées dans l'émancipation
du joug impérialiste telle la militante altermondialiste Aminata TRAORE, le
professeur Nicolas AGBOHOU auteur de "Le franc CFA contre l'Afrique"
et Demba Moussa Dembele pour ne citer que celles-là parmi les plus médiatisées
dans l'espace francophone tout au moins.
Page
Facebook de Kemi Seba : https://www.facebook.com/KemiSebaOfficial/photos/a.10150368683942082.400409.181391612081/10154886142982082/?type=3&theater
Fernand Agbo
Dindé : http://regardscroises.ivoire-blog.com/archive/2017/01/03/un-front-des-africains-contre-le-franc-cfa-le-7-janvier-2017-470532.html
NOFI (NOIR
ET FIER) : http://nofi.fr/2016/12/front-historique-contre-historique-contre-franc-cfa-lafrique-diaspora-position-de-combat/34077
Afrique
Monde : http://www.afriquemonde.org/index1.php?id=15167
leral.net : http://www.leral.net/Un-front-des-Africains-contre-le-franc-CFA-le-7-janvier-2017_a188611.html
le mérite
africain : http://lemeriteafricain.com/front-africains-contre-franc-cfa-7-janvier-2017
Afrique sur
7 : http://www.afrique-sur7.fr/34550/afrique-africains-ne-veulent-plus-franc-cfa
Emission d'Africa N°1 consacrée à cette mobilisation du 7 janvier 2017 à réécouter en postcast sur le lien suivant : https://www.facebook.com/radioafrica1/posts/1334877413199364Nous recevions les panafricanistes Nicolas Agbohou, Toussaint Alain, Hery Djehuty et une autre personne qui a demandé à être retiré de cet article à l’occasion de la journée internationale de mobilisation en simultanée du 7 Janvier lancée dans 12 pays sur le thème du Franc CFA et la nécessité de se défaire de cette monnaie post-coloniale. Initiative lancée par l’activiste Kemi Seba
Emission d'Africa N°1 consacrée à cette mobilisation du 7 janvier 2017 à réécouter en postcast sur le lien suivant : https://www.facebook.com/radioafrica1/posts/1334877413199364Nous recevions les panafricanistes Nicolas Agbohou, Toussaint Alain, Hery Djehuty et une autre personne qui a demandé à être retiré de cet article à l’occasion de la journée internationale de mobilisation en simultanée du 7 Janvier lancée dans 12 pays sur le thème du Franc CFA et la nécessité de se défaire de cette monnaie post-coloniale. Initiative lancée par l’activiste Kemi Seba
Mardi, 03 janvier 2017
UN FRONT INTERNATIONAL DES AFRICAINS CONTRE LE FRANC CFA, LE 7 JANVIER 2017
Le
samedi 7 janvier, les panafricains organisent pour la première fois, de Paris à
Dakar en passant par Abidjan, Ouidah, Londres et Bruxelles, une journée
internationale de mobilisation sur le thème du franc CFA et la nécessité de se
défaire de cette monnaie
postcoloniale.
Lorsque l’Afrique et sa
diaspora s’unissent pour démanteler les jalons du colonialisme, il en découle
un événement historique : le front contre le franc des Colonies Françaises
d’Afrique (CFA). L’appel a été lancé le 26 décembre 2016 par le militant
panafricaniste, écrivain et chroniqueur Kemi
Seba et par l’ONG
Urgences Panafricanistes (URPANAF).
Créé en 1945, le franc CFA est en cours aux Comores et dans
quatorze Etats en Afrique : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire,
Gabon, Guinée-Bissau, Guinée équatoriale, Mali, Niger, République
Centrafricaine, République du Congo, Sénégal, Tchad, Togo.
En Europe, comme dans les pays de la Zone franc CFA et ailleurs
sur le continent, les citoyens et associations se mobilisent. Tous dénoncent
les effets pervers de cette monnaie postcoloniale et réclament la fin de la
servitude monétaire. Ils exigent la vérité sur les comptes d'opérations ouverts
par les banques centrales auprès du Trésor français.
Le temps est venu de mettre en œuvre des solutions alternatives
pour un développement économique qui corresponde réellement aux besoins des
populations. Au-delà, la société civile pose la question d’une autre
architecture financière, qui déboucherait sur la monnaie unique africaine.
La mobilisation a pour objectif de contribuer aux débats en
Afrique, en Europe et en Amérique concernant les moyens de sortir de cette
servitude monétaire, et d’informer l’opinion africaine, française et européenne
des conséquences du lien qui attache encore l’ancienne métropole à ses
ex-colonies.
Il s’agit également de discuter des transformations indispensables
à opérer tant au niveau institutionnel que politique pour répondre aux intérêts
des quinze pays de la Zone franc CFA dont onze sont classés parmi les pays
moins avancés (PMA) par les Nations unies.
Un défi panafricain
Penser une Afrique nouvelle, c’est penser l’émergence d’un
continent libéré du joug impérialiste, qui prend en main son économie et gère
directement l’exploitation de ses propres ressources naturelles. La
monnaie est un attribut de souveraineté. Or, le franc CFA, cheval de Troie du
néocolonialisme, empêche évidemment cette impulsion.
C’est pourquoi cette action coordonnée du 7 janvier 2017 contre
l'ordre économique du système franc CFA est une mobilisation inédite et
historique. Elle met en lumière la capacité des Africains et afro-descendants à
comprendre l’urgence de prendre part à ces discussions afin de s’impliquer
réellement dans l’avenir du continent.
Un événement mondial, des personnalités engagées
Les panafricains de la société civile, qui ont fait de cette
problématique économique un point capital de leur réflexion et de leur
argumentaire ont immédiatement répondu présents.
La coordination internationale des conférences du samedi 7 janvier
2017 et leur déroulement seront assurés par les membres de l’ONG URPANAF :
A Paris (France), la rencontre sera animée par Nicolas Agbohou,
docteur en économie politique et l’un des pères de la résistance au franc CFA,
auteur du célèbre ouvrage « Le franc CFA et l’Euro contre l’Afrique »
(1998), Toussaint
Alain, journaliste politique et ancien conseiller de
l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, etThéophile Kouamouo, journaliste
politique et écrivain.
De 15h 30 à 18h, au 4 bis, rue Henri Bergson, 92600 Asnières-sur-Seine
(en face de la tour d'Asnières) - Accès : RER C arrêt : Les Grésillons -
Métro ligne 13 : Gabriel Péri, Puis bus 177 arrêt : Tour d'Asnières
A Bamako (Mali), avec Aminata Traoré,
militante altermondialiste, écrivaine et ancienne ministre, Pape Diallo de
Jeunesse Maya, Ismaël
Youssef Koné, représentant de l’ONG Urgences Panafricanistes au
Mali.
De 15h30 à 18h, au Missira Hôtel, Le Djenne, Salle Amadou Hampâté
Bâ
A Friedberg (Allemagne), avec la Docteure Assoua Possalekambi, Médecin chirurgien urgentiste et membre du MRA (Mouvement Révolutionnaire Africain), Patrice NZIANSSE Entrepreneur Agrobusiness, agroTech et NTIC et Afoumba Dolly chercheuse en histoire politique internationale, chroniqueuse et éditrice.
De 17h à 19h Steinkaute 4 61169 Friedberg
A Ouagadougou (Burkina Faso), avec le
mouvement citoyen C.A.R, Citoyens Africains pour la Renaissance.
A 15h, au siège du C.A.R, Quartier Tanghin, non loin de l’Hôtel
Ricardo
A Abidjan (Côte d’Ivoire), avec les militants panafricanistes Pîija Souleymane Yameogo, économiste de développement, conférencier sur l’histoire et les valeurs africaines et directeur général à PER-FORM, et Thi-Mi N’guessan, responsable de l’ONG Urgences Panafricanistes en Côte d’Ivoire.
A 10h, à l’Institut des Civilisations Noires, Plateau Dokoui 1er
Feu, Abobo
A Bruxelles (Belgique), avec Jahi Muntuka,
ingénieur aérospatial, analyste en économie et administrateur du groupe
Négritude, Black Power, Claude
Wilfried, écrivain et analyste politique, et Natou Pedro Sakombi,
essayiste et fondatrice de Reines et Héroïnes d’Afrique.
De 19h à 22h, à L’Horloge du Sud, 141, rue du Trône, 1050
Bruxelles
A Londres (Royaume-Uni), avec Clarice Kamwa alias
Mamoushka, militante panafricaniste et Cheikh
Ba, Data Scientist Senior et analyste en Marketing.
De 14h30 à 16h30,
199-201 Lewisham High Street, 13 SE 6LG
Bologne (Italie), la sensibilisation sera menée par les militants panafricanistesBolivie Wakam, ingénieur en énergie, et Donfack N. Alex Leroy, entrepreneur
A 19h, Piazza
Spadolino 3
A Ouidah (Bénin), avec la Famille Jah.
A 15h, au Centre d’Eveil, d’Animation et de Stimulation pour
Enfants (CEVASTE), Ambassade culturelle de la Diaspora et du Peuple de JAH,
près d’Ouidah
A Dakar (Sénégal), avec Demba Moussa Dembele, Hulo Guilabert, Guy Marius Sagna, Ndongo Samba Sylla, Badou Kane et Ndeye Nogaye Babel Sow.
A 15h, rassemblement Place de l’Obélisque
Le militant panafricaniste Kemi Seba interviendra comme Invité d’honneur à l’Université de Zinguinchor en Casamance.
A 15h, à l’Université Assane Seck
A Haïti, avec Bayyinah Bello, écrivaine, professeur
d’Histoire et dirigeante de la Fondasyon Félicité, Camille Chalmers,
professeur d’Economie et de planification sociale à l’Université d’Etat
d’Haïti.
De 13h à 17h, à la Fondation Félicitée, 4 rue A, Village Théodat,
Tabarre
A Kinshasa
(RD-Congo), avec Rex Kazadi, homme
politique et militant panafricaniste, Ted
Beleshayin, économiste monétariste et consultant financier.
De 14h à 17h, à l’Hôtel Campo,
Beau Marché, Commune de Barumbu, en face de la Bralima
Le front anti FCFA s'étend à Brazzaville où Obambe Mboundze Ngakoso
militant panafricaniste et Fotsing NZODJOU idéologue panafricaniste et
Président du COPOJA interviendront au Café du savoir Mougali rue Lénine à
14h30.
La journée mondiale de mobilisation contre le franc CFA sera relayé en ligne sur le site www.flashmag.tv avec des débats animés par JM SOBOTH, Hubert MELINGUI et Loïc KODJAY au cours desquels les auditeurs pourront intervenir.
Pour
toute information, merci d’écrire à : urpanaf@gmail.com
LE FRANC CFA ET L'EURO CONTRE L'AFRIQUE
1 Euro = 1.54 Dollars Lorsque nous vendons
nos produits sur le marché international en Dollars, ce montant est d’abord
converti en Euro. Prenons l’exemple de vente de produits à 1.540.000.000
Dollars, converti en Euro, cela fait 1.000.000.000 d'euros CE QUI REVIENT A
DIRE QUE 540.000.000 de Dollars sont déjà perdus :
PREMIÈRE PERTE
Conformément au pacte néocolonial signé
par les 15 pays, ils sont obligé de verser au minimum au Trésor Public Français
(COMPTE D'OPÉRATIONS) 65% au départ mais ramené à 50% après plusieurs
négociations d’où 1.000.000.000 d'euros est multiplié par 50% soit 500.000.000
d'euros qui sont déjà gardé au Trésor Public Français (COMPTE D'OPÉRATIONS) qui
ne sont que perdu car selon eux, c’est l’argent des Africains qui y est gardé
mais qui n’est qu’un leurre car du vol scientifiquement organisé par LA France
qui ne cesse d’avilir les Africains :
DEUXIÈME PERTE
PARLONS DES COMPTES D'OPÉRATIONS
Dans tous les pays qui utilisent leur
propre monnaie, cette compétence relève de l’exclusivité du parlement
c’est-à-dire des représentants du peuple (les députés). Prenons le cas de la
France qui utilisait sa monnaie mais a accepté d’utiliser la monnaie européenne
à travers son parlement (Assemblée Nationale) en faisant un REFERENDUM en
Congrès à travers lequel le peuple français a accepté de rejeter sa propre
monnaie LE FRANC FRANÇAIS au profit de la monnaie européenne L'EURO. Dans le
cas des pays de la zone F CFA (Franc des Colonies Françaises d’ Afrique), ce
n’est pas le cas car crée par la France le 25 Décembre 1945 pour l’Afrique. La
France ayant hérité de ce système du Nazisme Allemands car pendant que les
allemands avaient occupés la France, ils ont créé le Mark qui était la monnaie
coloniale allemande utilisée seulement en France et non en Allemagne (1 MARK
était égale à 10F Français : imposition de manière autoritaire car à partir
d’un rien d’où une dévaluation en son temps de la monnaie Française).
On se rappellera que la France a fait la
même chose aux pays africains utilisant le F CFA avec une dévaluation en 1994
car on est passé à 1F Français = 50F CFA à 100F CFA d’où une dévaluation pas de
50% mais de 100% du F CFA.
POURQUOI LA France A CRÉÉ LE F CFA ?
Les raisons sont les suivantes : Cette
monnaie a été créée pour les peuples noirs qu’elle avait colonisés et continue
de coloniser mais sous d’autres formes pour endormir la conscience des peuples
noirs. Sortant de la Guerre, elle avait deux possibilités pour conquérir ses
anciennes colonies car SOIT DE MANIÈRE MILITAIRE SOIT ÉCONOMIQUE.
Les produits africains en ayant accès au
monde avaient la possibilité d’être directement vendu par les africains afin
d’assurer sur le territoire Africain, les devises extérieures car la France
occupée et à peine libérée des bourreaux de la guerre, en bref cette monnaie a
été créé pour rendre captives les anciennes colonies. Après la guerre, la
France étant faible à plusieurs niveau a vu sa monnaie être dévaluée après les
accords de Bretton Woods réunissant 44 pays en 1944 a conclu : 1$ = 50F
Français à 1$ = 119.70F Français en 1945, 1Franc Français = 1.70F français ; en
1948, 1F CFA = 2F français Avec cette époque de réévaluation du F CFA, les
matières premières africaines devenaient plus chères donc la France jouait ce
jeu pour empêcher les Africains d’avoir accès au Marché International. A la
veille des indépendances, précisément en 1958, la France change la donne car ne
voulant pas être la colonie de ses propres colonies, donne un nouveau visage au
F CFA, en faisant 1F CFA = 0.02F Français c’est-à-dire 2centimes d’euro (Drôle
de coïncidence car en 1948, 1F CFA = 2F français, 10 ans après 1F CFA = 0.02F
Français et cette inversion est restée comme ça jusqu’à la dévaluation en 1994
où 1F CFA = 0.01F Français.
Dans tous les pays où on parlera de la
monnaie, ça veut dire qu’on touche à la poche de chaque citoyen, ce qui revient
à dire que la monnaie relève de la compétence exclusive du citoyen africain
c’est-à-dire de ses représentants qui sont les députés puis les Présidents de
chaque nation or il n’existe dans aucun des 15 pays africains, un acte
législatif qui crée ou qui reconnait le F CFA comme étant leur monnaie,
Pourquoi à votre avis ? Tout simplement parce que c’est une propriété de la
France.
Donc il y a des superstructures
c’est-à-dire les institutions de la zone F CFA à savoir la Conférence des Chefs
d’Etats ensuite le Conseil des Ministres des finances de chaque pays et après
ce qu’on appellera, les institutions d’émissions monétaires c’est-à-dire les
Banques Centrales mais on remarquera que toutes ces structures ne sont
également rien devant la France.
Pourquoi ?
Pourquoi ?
Parce que le F CFA est d’abord une invention de la France et elle
est sous le contrôle de la France car ces 15 pays d’Afrique refusent de se
donner les moyens objectifs de leur développement et de ceux de leur concitoyen
alors ils se content d’utiliser une monnaie sui leur est étrangère or lorsqu’on
dit monnaie, ça veut dire banque centrale qui est la banque des banques en
d’autres termes celle qui fournit et contrôle les banques commerciales ( appelé
aussi les banque de second rang) où les citoyens lambda font des dépôts, des
retraits et autres. Une banque centrale est une banque publique c’est-à-dire la
propriété de l’Etat donc quand l’Etat veut injecter dans l’économie une
certaine quantité de monnaie, Il donne des instructions à la banque centrale
qui va baisser par exemple son taux d’intérêt c’est-à-dire son taux directeur
et les banques commerciales où toutes les populations ont leur argent vont
aller prendre cet argent et créer de la monnaie c’est-à-dire prêter à la
clientèle. Par contre si l’Etat ne veut pas injecter de l’argent dans
l’économie, Il donnera encore l’ordre à la banque centrale afin d’élever ses
taux directeurs
(Taux d’intérêts) d’où les banques commerciales en retour vont facturer à la clientèle à un taux élevé. Nous entendrons alors par-là que l’Etat a le libre choix de développer ou pas son pays à travers le financement de ses infrastructures de premières nécessité telles que :
Les hôpitaux
Les écoles et universités Les routes
Les usines de transformation de nos matières premières
Etc.
(Taux d’intérêts) d’où les banques commerciales en retour vont facturer à la clientèle à un taux élevé. Nous entendrons alors par-là que l’Etat a le libre choix de développer ou pas son pays à travers le financement de ses infrastructures de premières nécessité telles que :
Les hôpitaux
Les écoles et universités Les routes
Les usines de transformation de nos matières premières
Etc.
Qui sont l’un des socles de développement d’un pays.
LES QUATRE PRINCIPES DU F CFA:
1- Le principe de la libre convertibilité
du F CFA en Euro
2- Le principe de la fixité des parités
entre le F CFA et l’Euro
3- Le principe de la centralisation des
changes autrement appelé les comptes d’opérations.
4- Le principe de la libre transférabilité
des capitaux des pays de la zone F CFA vers la France et les autres pays du
monde.
On parlera plus tard de ces 04 principes.
Ces 04 principes et la Banque Centrale ont
été conçus à l’époque coloniale et tous convergent vers un même objectif, c’est
à dire : Piller les richesses de l'Afrique au profit de la métropole.
La lutte ne fait que commencer.
Merci au Pr Nicolas Agbohou, L'un des
Pères de la révolution contre le F CFA.
En savoir plus sur http://regardscroises.ivoire-blog.com/archive/2017/01/03/un-front-des-africains-contre-le-franc-cfa-le-7-janvier-2017-470532.html#WklsFB4tDGEftie0.99
Pourquoi pas s'associer au Naira, la monnaie nigérienne (200 millions d'habitants contre seulement 150 millions la zone CFA)- Ça fait un marché plus large et c'est une façon en plus de surmonter la barrière héritée par le colonialisme (union de pays anglophones et francophones).
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