Articles

Affichage des articles du 2014

Henriette EKWE infatigable combattante panafricaine

Image
Henriette EKWE est une militante panafricaine camerounaise. Combattante infatigable de la liberté, elle est connue pour être aussi fidèle en amitié qu'intransigeante sur les valeurs pour lesquelles ses compagnons de lutte de l'Union des Populations du Cameroun (UPC) ont tout sacrifié à commencer par la vie. Quelques liens vers des vidéos où elle défend ses idées comme ses amis dont Laurent GBAGBO : Gbagbo : Henriette Ekwe débat avec Saïd Penda sur STV2 http://www.afrohistorama.info/article-film-sur-laurent-gbagbo-la-panafricaniste-henriette-ekwe-demasque-le-journaliste-said-penda-122147094.html  ; 20 janvier 2014 https://www.youtube.com/watch?v=TEiJ6-Owu9U SON ITINERAIRE : http://www.journalducameroun.com/article.php?aid=8646   PLAID0YER POUR LA LIBERTE DES JOURNALISTES : http://www.bonaberi.com/ar,communique_henriette_ekwe_denonce_l_arrestation_de_simon_nko_o,7465.html AFRIQUE:MESSAGE À L’UNE DES FLEURS DE LA VIE SOCIOPOLITIQUE AFRICAINE, LA COMBATTANTE HENRIETTE E

NON VIOLENTE MAIS DETERMINEE : LA BRIGADE ANTI-NEGROPHOBIE EN ACTION

Image
La brigade anti-négrophobie est souvent présentée comme un mouvement nébuleux qui prônerait le communautarisme identitaire… Ca c’est pour l’image d’EPINAL, pour le story-telling officiel des négrophobes qui nous dirigent. Si l’on prend vraiment le temps de les écouter et de les côtoyer, alors on se rend compte qu’ils sont de toutes origines, que leur discours est d’une incroyable  pertinence  et je défie quiconque de  mettre cette dernière à mal. Certes leur expulsion manu militari de la cérémonie de commémoration de l’esclavage du 10 mai 2011 alors qu’ils y étaient officiellement invités et qu’ils avaient accepté de se soumettre au protocole en retirant leur TS a contribué de leur donner une certaine visibilité, mais la Brigade Anti-Négrophobie s’est illustrée dans de nombreux autres combats, peut-être un peu moins médiatisés, mais tout aussi nécessaires, peut-être même plus car ceux du quotidien. Petit rappel de cet épisode à la fois impensable et en même t

REPRISE DE LA GREVE DE LA FAIM DES PRISONNIERS POLITIQUES IVOIRIENS LE 01 DECEMBRE 2014

Image
Après le nouveau décès d'un prisonnier politique à la Maison d'Arrêt et de Correction d'ABIDJAN (Martin ASSEMIAN tragiquement disparu le 15 novembre 2014), alors que des centaines d'autres croupissent toujours sans jugement dans les geôles du régime de Terreur installé par la force au pouvoir depuis le 11 avril 2011 en Côte d'Ivoire, les détenus politiques de la MACA ont décidé de reprendre leur grève de la faim à compter du lundi 01 décembre 2014. En effet, ayant entrepris de jeûner pour faire reconnaître l'Etat de non droit et les conditions inhumaines de détention qu'ils subissent depuis plus de 3 ans et demi pour la plupart, ils avaient suspendu leur mouvement à plusieurs reprises suite aux promesses des autorités de donner suite à leurs principales revendications exprimées dans leur communiqué du 8 septembre 2014 ( http://contrepoids-infos.blogspot.fr/2014/09/greve-de-la-faim-des-prisonniers_6.html ). N'ayant pas obtenu de réponse sat

La CNDA commence à changer de discours : mirage ou réalité ?

Image
En ce lundi 17 novembre 2014, nous avons l'immense plaisir de vous annoncer que le recours de Jacques KOULAI DAHOU devant la Cour Nationale du Droit d'Asile a été accepté et que le statut de réfugié politique lui a été accordé. Pour tous ceux qui ont tant souffert et qui continuent de souffrir sous le régime aussi illégitime que liberticide de OUATTARA, pour toutes ses victimes dont la liste ne cesse de s'allonger, cette décision acquise de haute lutte ouvre un nouvel espoir, notamment pour les demandeurs d'asile politique ivoiriens pro-Gbagbo dont la plupart se voit refuser la protection de l'Etat français (plus de 90% des demandeurs d'asile ivoirien ont été déboutés de leur demande d'asile politique en 2012). Nous tenons à remercier toutes celles et tous ceux qui l'ont soutenu et continuent de le soutenir par leur présence, leur prière ou tout autre forme de mobilisation en sa faveur et en celle de sa famille. Le combat pour la vérité et la justice da

HOMMAGE A DESIRE OUE : DEVOIR DE MEMOIRE, DE VERITE ET DE JUSTICE UN AN APRES SON ASSASSINAT

Image
14 NOVEMBRE 2013-14 NOVEMBRE 2014 LE COMBAT CONTRE LA FALSIFICATION DE L’HISTOIRE CONTINUE :  «  Désiré OUE n’a pas été tué parce qu’il était Pro-GBAGBO. Désiré OUE a été tué par accident. »  dixit Mamadou TOURE, Conseiller à la Jeunesse et aux Sports de OUATTARA.   « Une mort par balle, vous appelez ça un accident? »    « Oui par accident. Il a été victime d’un braquage qui a mal tourné. »   Il y a un an jour pour jour disparaissait le journaliste Désiré OUE abattu par des hommes en armes sous les yeux horrifiés de sa famille notamment de sa fille de 18 ans, de son bébé de 3 mois et de sa fiancée toutes trois ligotées et muselées depuis plusieurs heures en attendant son retour. Un an après le nouvel et lâche assassinat d’un journaliste ivoirien engagé, nos pensées vont d’abord à sa famille qui paye un lourd tribut au combat pour la libération du pays. Rappelons en effet que Désiré OUE a été assassiné par des escadrons du régime illégitime et liberticide de OUATTARA après

Justice et vérité pour IBNI OUMAR MAHAMAT SALEH !

Image
IBNI OUMAR MAHAMAT SALEH est cet opposant tchadien qui a disparu le 04 février 2008. Le combat pour que justice et vérité soit faites sur les circonstances de son enlèvement et de sa probable élimination par la FRANCE de SARKOZY via Idriss DEBY continue, à commencer par l'excellent ouvrage commis par Guy LABERTIT un ami de longue date de la victime, sans oublier l'immense et courageux travail de conscientisation et d'investigation mené par ses proches dont ses fils. Sur le livre et le témoignage de son ami Guy LABERTIT, "Ibni, une vie politique assassinée au Tchad" (éd du Gri Gri) : Présence Africaine, 25 rue des écoles, 75005 Paris : http://www.legrigriinternational.com/2014/11/la-politique-africaine-de-la-france-est-decidee-par-les-militaires-guy-labertit.html http://www.legrigriinternational.com/article-guy-labertit-hollande-a-pose-a-deby-la-question-de-la-disparition-d-ibni-116208717.html http://www.legrigriinternational.com/2014/08/preface-du

La Côte d'Ivoire de OUATTARA torture les pacifistes et abrite les dictateurs !

Image
LA CÔTE D'IVOIRE DE OUATTARA EXCELLE DANS SON NOUVEAU "SPORT" FAVORI : "JE T'ARRÊTE, JE TE BASTONNE ET JE CHERCHE ENSUITE DES CHARGES CONTRE TOI QUITTE A LES INVENTER". Dans un article de Sylvain Dakouri de ce mardi 04 novembre 2014,  Le Nouveau Courrier  rend compte de l'arrestation, des mauvais traitements et du maintien en détention de  Samba David  coordinateur de la CICI (Coalition des  Indigné De Cote D'ivoire ) et de 3 de ses collaborateurs en l'absence totale de charges no tifiées à leur encontre. Une nouvelle preuve s'il en fallait encore de l'Etat de non droit qu'est devenue la Côte d'Ivoire sous OUATTARA. Un peu comme BENSOUDA s'ingénie à fabriquer des preuves contre GBAGBO à la CPI, la "police" ivoirienne a arrêté des militants pacifistes qui s'apprêtaient à commencer leur grand meeting de protestation contre l'impunité et l'injustice déjà reporté à deux reprises depuis le 04 octobre. Le jug

Lettre de Mariam SANKARA au peuple burkinabé : "COMPAORE doit répondre de ses crimes"

Image
La lettre de félicitation de Mariam Sankara au peuple Burkinabé:"Compaoré doit répondre de ses crimes" Depuis la France, où elle vit avec ses enfants, la veuve du président Thomas Sankara, Mariam Sankara, a envoyé une lettre adressée au peuple burkinabè, pour le féliciter pour son insurrection. Elle y exhorte les familles qui ont perdu des membres lors des manifestations des d erniers jours « à saisir la justice nationale et internationale pour que Blaise Compaoré réponde de ses crimes. » Communiqué de Mariam Sankara après la démission de Blaise Compaoré "J’éprouve une immense joie en ce jour historique. Ma joie est celle de la famille Sankara, ma joie est celle de vous tous, celle des amis nombreux qui suivent avec intérêt les événements du Burkina. C’est une véritable joie d’avoir réussi avec le vaillant peuple burkinabè : les femmes, la jeunesse, les organisations de la société civile, les partis d’opposition ainsi qu’une grande partie de l’armé