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Affichage des articles du septembre, 2013

19 SEPT 2002/19 SEPT 2013 : LES LARMES DE LA FRANCIVOIRE

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Nous Ivoiriens, Africains et militants du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes sommes  ici réunis pour rendre hommage aux victimes du coup d’Etat sanglant du 19 septembre 2002 qui se poursuit avec l’installation et le maintien au pouvoir du régime liberticide d’Alassane Dramane OUATTARA. Le plus grand hommage que nous puissions rendre à toutes celles et ceux qui ont donné leur vie pour une CÔTE D’IVOIRE libre et indépendante, c’est encore de poursuivre le combat. « S’il y a une chose que je ne supporte pas, c’est la soumission. Surtout quand elle engage la vie de tout un peuple. Mes convictions ne sont pas négociables. Tant pis si j’en paie le prix. Je n’accepterai jamais que mon pays soit soumis pour l’intérêt d’un autre peuple ou d’une autre Nation fut-elle la France » Laurent GBAGBO . Fidèles aux valeurs défendues et incarnées par le Président Laurent GBAGBO, nous condamnons l’accès  au pouvoir par la force, surtout lorsque les solutions pacifiques proposées n’on

Mort pour avoir défendu la liberté syndicale

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C’est avec une profonde tristesse que nous apprenons le décès de Mahan GAHE. Nous nous inclinons tout d’abord devant la douleur de ses proches, de ses amis, des camarades de la confédération syndicale Dignité et de toutes celles et ceux qui partagent son combat pour la défense des intérêts des travailleurs contre le capitalisme néocolonial.  Arrêté en avril 2011, celui qui présidait aux destinées de  Dignité (premier syndicat libre du pays) a fini par succomber aux tortures physiques et morales qu’il avait endurées pendant près de deux ans ( http://nouveaucourrier.net/apres-avoir-ete-torture-par-les-frci-le-syndicaliste-mahan-gahe-tres-tres-malade/ ). Que lui reprochait-on ? Avoir refusé de suivre le candidat de la Communauté internationale dans son opération ville morte destinée à écarter  Laurent GAGBO du pouvoir. Voilà d’ailleurs ce qu’il répondait courageusement au juge qui l’auditionnait pour la première fois après plus d’un an d’incarcération arbitraire : «  Le juge qui p